Cette recherche a révélé, en ce qui concerne l’inflation et la balance commerciale, la présence d’une signification négative (cela pourrait être illustré par l’équation économique qui rencontre le fait que chaque fois que les prix augmentent, les exportations en retour diminuent, ce qui a un impact défavorable crucial sur la balance commerciale). Parallèlement, l’augmentation des prix a un impact négatif sur les opportunités de fabrication et le développement, ce qui entraîne une baisse des productions nationales. En fait ceci est une combinaison de deux recherches de master et d’une étude scientifique discutant de tout ceci. Les auteurs respectifs m’ayant donné permission de résenter ce bref compte rendu.

Les données acquises présentaient une signification positive entre l’équilibre budgétaire et le PIB, ce qui reflète le rôle pivot des politiques gouvernementales et monétaires dans l’évolution des opportunités économiques et financières sur les deux fronts: les investissements nationaux et étrangers. Le problème majeur au Liban est le ratio de l dette au PIB estimé à 454% depuis la fin 2020, et la dégringolade la devise locale face au Dollar US, atteignant 11,000 LL au marché noir. L’ancienne Suisse Du Moyen Orient resseble plus au Vénézuela qu’autre chose en l’état actuel. Malgré cela, le Liban s’est battu et a survécu à un déficit budgétaire massif pendant 10 années consécutives, mais les moteurs sectoriels derrière l’économie libanaise, les secteurs du tourisme et de la banque ont pu accélérer la stabilisation de l’économie libanaise (REF).

Bien qu’il n’y ait pas eu de relations significatives entre les variables indépendantes suivantes: l’IDE, l’inflation et la balance commerciale dans l’économie du Liban. Néanmoins, une politique budgétaire et monétaire expansionniste efficace est une nécessité absolue pour aider à améliorer l’écosystème commercial libanais en offrant aux investisseurs de bonnes opportunités de relancer, et de faire fructifier leurs investissements. Cela devrait se faire en adoptant des politiques fiscales et monétaires encourageantes qui se traduisent par une réduction des impôts (à l’inverse de la betise du minstres des télécoms 2 jours avant la révolution contre la corruption de l’elite politiaue libanaise du 17 octobre 1019; en pause à cause de la covid 19) sur le revenu et les bénéfices et qui offrent des facilités plus souples aux investisseurs étrangers grâce à la politique budgétaire ou monétaire adoptée, qui depuis 1993 est axée sur des politiaues contractionnelles.

Donc cette investigation présente une autre approche sur la manière dont les politiques budgétaires et monétaires au sein de ces secteurs ont une influence directe sur la détérioration des investissements intérieurs étrangers (IDE); l’amélioration du taux d’inflation, la déficience de la balance commerciale et la paralysie du solde budgétaire sur leur direct avec leurs impacts cruciaux sur le PIB de l’économie libanaise et présente une nouvelle ligne de pensée pour travailler strictement sur la priorisation des six moteurs sectoriels libanais – Agriculture, industrie et tourisme, économie de la connaissance, services financiers et diaspora. Les principales initiatives prioritaires qui pourraient être examinées pour faire progresser la croissance du secteur agricole sont les suivantes: Autonomiser les agriculteurs en encourageant la coopération et en donnant la priorité aux cultures à fort potentiel de croissance des exportations.

Parallèlement, la relance de la croissance de l’industrie pourrait être atteinte en priorisant les sous-secteurs potentiels: bijouterie, agro-alimentaire, assainissement, cosmétique, parfums, pharmacie et mobilier, en plus de la mise en place d’industries de reconstruction (pour la Syrie et l’Irak): soit des bâtiments préfabriqués et amovibles. Une voie à suivre proposée pour stimuler le secteur du tourisme, qui comporte à affiner l’offre touristique libanaise, à nourrir les pôles d’écotourisme, à renforcer les infrastructures, la connectivité et la communication, et à employer des équipes nationales pour un marketing et une image de marque ciblés (REF).

Enfin, l’adoption d’une politique d’immigration proactive avec une diaspora libanaise très engagée contribuerait activement au développement durable. Hélas, sans combattre la corruption de l’élite politipue libanaise, sans stoppant net les transactions de blanchiement d’argent, ou des acxtes terrotistes, et sans  trouver une solution aux agendas politiques contradictoires  on n’atteinfra jamais le déceloppemlent duraqble, ou meme trouver une solution à la crise écomomiaue feappant le pays de plein fouet. Ceci dit, l’énoncé nécessite un cadre visant à renforcer les liens nationaux avec la diaspora et à mieux préparer les prochaines générations aux marchés mondiaux. Enfin, exploiter le pouvoir de lobbying du Liban serait un excellent moteur pour une mise en œuvre efficace au sein du secteur. Mais la diaspora avant perdu toute confiance ne déversera aucun centime tant que cette mafia ne soit pas destituée.

Georges Bellos
Georges Bellos est un auteur libano-grec et hollandais. Né à Beyrouth, il a poursuivi la majorité de sa scolarité au Liban, sauf les années collège entre la France et les USA. Géologue de formation, [option sédimentologie et diagénèse] et titulaire d’un master de géologie [juin 2008], et une license d’archéologie [février 2012], et d'un master d’archéologie [thème: période phénicienne, août 2019], il s’oriente vers la gestion et le management [diplôme de master 2e cycle en Management septembre 2019], puis s'affirme dans les sciences de l’éducation [diplôme d'enseignant, juin 2020, et diplôme de master 2e cycle en éducation et management, Juin 2020]. Il est actuellement investi dans plusieurs projets de recherche. voir ses recherches sur ResearchGate, sa page officielle sur Academia.edu et sa page secondaire à Academia.edu

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