Touchés par les sanctions visant les entreprises russes suite au conflit avec l’Ukraine, l’entreprise russe Novatek annoncé aux autorités libanaises se retirer du consortium formé avec les français de Total et les italiens d’ENI afin d’exploiter les ressources gazières et pétrolières potentiellement présentes dans les blocs 4 et 9 de la zone maritime exclusive libanaise en 2017.

Si la participation de Total et d’ENI atteignent 80%, la part restante de 20% désormais laissée par Novatek pourrait revenir à la direction générale du pétrole, indiquent des sources bien informées, une première pour le Liban.

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