Divers chercheurs ont discuté des effets de la COVID-19 entre 2019 et 2020 pour comprendre comment on en est arrivé là, avec une pandémie globale, et une récession sans précédent. L’article en cours, met à jour le lien entre le coronavirus et les performances des entreprises étudiées à ce jour. Cette étude visait à discuter de la façon dont les départements des RH pourraient réglementer les licenciements élevés qui ont été remarqués pour se produire dans entreprises dans le monde entier, si les organisations n’ont pas une politique de roulement de masse salariale efficace.

La performance organisationnelle, avec la situation au Liban depuis juillet 2019 et dans le monde depuis le blocage de la COVID-19 en mars 2020, a connu de nombreux ralentissements économiques, des récessions majeures et des taux de chômage élevés. Par conséquent, comme on l’a remarqué au centre médical de l’Université américaine de Beyrouth et l’Hôtel Al Habtoor ont fait face respectivement à des licenciements massifs et totaux des employés. C’est le premier cas de la recherche, le Liban.

Bien que de nombreuses institutions aient été confrontées à des situations similaires, les effets de la récession de COVID-19 dans le monde entier ont été mondiaux, répandus et affectant gravement les activités de l’entreprise. Contrairement au Liban, en France, le deuxième cas que nous avons choisi pour cette recherche a vu une possibilité de reprise que l’État renfloué les entreprises qui avaient subi des pertes au cours de la période du confinement dû à la COVID-19.

À ce titre, le rendement organisationnel est lié à la motivation des employés, à la sécurité mentale (et autres), et à la sureté de l’emploi ainsi qu’à la satisfaction des employés. Ainsi, comme des études antérieures avaient établi une relation avec la prise de décision de l’entreprise et la motivation des employés, décrite par « un changement dans le comportement des employés après que la décision administrative est adoptée» montre également un lien avec la COVID-19, comme précisé dans cet article. Ceci pourrait faire l’objet d’une future étude plus poussée.

Cette crise est le résultat des effets de 30 années de mauvaise gestion financière au Liban. Cela a été démontré dans les cas où les entreprises qui ont favorisé les décisions supportant le licenciement massif des employés entravent non seulement à la motivation des employés restants mais également à la productivité. Ceci explique pourquoi, sous la COVID-19, les choses ont empiré. Considérant que les décisions qui contribuent à stimuler la motivation encourageront la motivation et la productivité du personnel, indépendamment de la récession induite par le coronavirus.

Georges Bellos
Georges Bellos est un auteur libano-grec et hollandais. Né à Beyrouth, il a poursuivi la majorité de sa scolarité au Liban, sauf les années collège entre la France et les USA. Géologue de formation, [option sédimentologie et diagénèse] et titulaire d’un master de géologie [juin 2008], et une license d’archéologie [février 2012], et d'un master d’archéologie [thème: période phénicienne, août 2019], il s’oriente vers la gestion et le management [diplôme de master 2e cycle en Management septembre 2019], puis s'affirme dans les sciences de l’éducation [diplôme d'enseignant, juin 2020, et diplôme de master 2e cycle en éducation et management, Juin 2020]. Il est actuellement investi dans plusieurs projets de recherche. voir ses recherches sur ResearchGate, sa page officielle sur Academia.edu et sa page secondaire à Academia.edu

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