Suite au camouflet infligé lors de l’examen du projet de loi de contrôle des capitaux, projet repoussé par les commissions interparlementaires en raison de plusieurs points polémiques, le premier ministre Najib Mikati aurait suggéré de transformer la session parlementaire actuelle en question de confiance, indique-t-on de source médiatique

Pour sa part, le président du parlement Nabih Berri a réfuté toute proposition allant dans ce sens alors que Najib Mikati a indiqué que le gouvernement ne démissionnera pas avant l’organisation des prochaines élections législatives de mai 2022. Le premier ministre estimerait ainsi que démissionner pourrait être perçu comme une raison afin de reporter le scrutin législatif.

Par ailleurs, le texte relatif au contrôle des capitaux devrait être soumis ce mercredi au conseil des ministres puis déféré devant le parlement alors que désormais, celui, très impopulaire, ne pourrait être adopté que par le prochain parlement.

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