L’heure est à soigner les victimes, à panser les plaies d’une capitale, d’un coeur d’un pays ravagé par l’explosion du 4 août 2020.
Rappelant les heures sombres de la guerre civile, on voit déjà dans nos rues des voitures devenues épaves rouler pourtant, comme ce pays, meurtri mais toujours vivant, qui tente tout de même de poursuivre sa route, espérons vers un avenir meilleur.