Le processus du rétablissement au Liban transparaît par un raffermissement de la sécurité et selon la norme de l’effort gouvernemental. Les divergences ministérielles s’expriment sans ambages et la politique du changement prépare son courant. La gouvernance perd considérablement la confiance de nombreux citoyens et cherche à renflouer sa côte auprès de ses adhérents à l’extérieur.

Chez nous on n’a pas besoin de se nourrir de discours glorieux ni de réalisme mais de la décence qui précède les actes ou du silence adéquat faute de mieux. Le libanais veut désormais tourner le dos aux attentes supplementaires et donc insupportables.  Il cherche à convenir à sa cohérence par des actions faites à sa mesure. Il va suivre l’historique des comptes et poursuivre en justice les accapareurs de l’Etat et donc de ses poches.

La culture qui nous instruit, nous unit et que nous pouvons exporter fièrement présente les particularités suivantes:
Elle facilite la transmission de la tolérance, permet de discuter des angoisses au lieu de tacites indifférences et qui nous fait redécouvrir la complexité de l’autre sans intermédiaires nireprésentants.
C’est bien là où le patrimoine des connaissances historiques initiales, culturelles et religieuses de nos composantes se réactualise par la culture explicite des vécus. Là où l’indissociable lien d’appartenance entre l’Etat et le citoyen se renforce par le suivi des droits légitimes, des responsabilités plurielles et des conséquences mutuelles.

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