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#SECURITE: Les Forces de Sécurité Intérieure ont arrêté H.A. le 18 mars 2025 à Dahr el-Baïdar avec une carte falsifiée dans une Toyota FJ Cruiser. Transféré à la brigade de Zahlé, une perquisition à son domicile à Baalbeck a révélé un lance-roquettes LAW, un B-7 avec deux projectiles, deux Kalachnikovs, un fusil à pompe, une baïonnette, des menottes et des vêtements militaires, remis au juge compétent.

#AGENDA: Ce 1er mars 2025, le Liban lance le Mois de la Francophonie avec l’Institut français. À Beyrouth, cinéma, poésie et expos vibrent ; dans les antennes – Tripoli à Baalbeck – concours d’écriture et spectacles enchantent. Du cycle ciné du 4 mars à l’anthologie « Crépuscule » le 6, ce mois célèbre une francophonie moderne dans un Liban plurilingue, culminant le 20 mars. Un rempart culturel dans un pays en quête d’espoir ?

Les festivals libanais, pilier de la scène culturelle, sont gravement affectés par la crise économique et l’instabilité politique. Malgré une baisse des financements et des spectateurs, des solutions émergent : événements numériques, soutien international et partenariats locaux. Ces innovations permettent de réinventer ces rendez-vous emblématiques, essentiels pour l’économie et la cohésion sociale.

Le ministre de la Culture dans le gouvernement de gestion des affaires courantes, le juge Mohammad Wissam Al-Mourtada, a récemment pris des mesures pour protéger les éléments architecturaux et historiques du site patrimonial "Al-Manshieh" à Baalbek, endommagé lors d’une récente attaque israélienne. Ce bâtiment avait été à l'origine construit par la famille Bacha de Baalbeck. Dans une initiative visant à préserver l’héritage culturel et historique du Liban, le ministre a chargé le directeur général des Antiquités, le professeur Sarkis Khoury, de collaborer avec les autorités locales, y compris le gouverneur de Baalbek-Hermel, le président de la municipalité de Baalbek, et les forces de sécurité, pour sécuriser les pierres et éléments de construction du bâtiment détruit.

Le 18 novembre 2024, l'UNESCO tiendra une session extraordinaire de son Comité pour la protection des biens culturels en cas de conflit armé, dédiée à la situation au Liban. Cette réunion fait suite aux récentes attaques israéliennes qui ont gravement endommagé plusieurs sites historiques libanais, notamment à Baalbek, Tyr et Saïda.

Depuis le début des tensions accrues entre Israël et le Hezbollah, Baalbeck, ville historique située dans la région de la Békaa au Liban, est de nouveau frappée par les événements. Le 6 novembre 2024, une vague de bombardements israéliens a touché plusieurs points stratégiques de la ville, y compris des infrastructures civiles et patrimoniales. Parmi les édifices emblématiques durement touchés figure l’hôtel Palmyra, un monument historique et culturel du Liban, ainsi que les habitations et commerces environnants, situés en face des célèbres ruines romaines.

Une frappe israélienne a visé le quartier grec catholique de Baalbeck, ville du nord-est du Liban réputée pour ses ruines romaines classées au patrimoine mondial de l’UNESCO. Le gouverneur de la région de Baalbeck a confirmé qu’un missile israélien a touché un parking situé à proximité immédiate des ruines antiques et du quartier grec catholique de la ville, suscitant des inquiétudes non seulement pour la sécurité des résidents, mais aussi pour l'intégrité des monuments historiques de cette zone emblématique.

La coordinatrice spéciale des Nations Unies pour le Liban, Jeanine Hennis-Plasschaert, a exprimé des préoccupations similaires, déclarant que les frappes israéliennes mettent en grave péril les anciennes cités libanaises, en particulier Tyr et Baalbeck. Elle a souligné la vulnérabilité de ces "cités phéniciennes anciennes, imprégnées d'histoire," affirmant que le patrimoine culturel du Liban ne doit pas devenir une autre victime de ce conflit dévastateur.

L'armée israélienne a également émis un avertissement à l'adresse des habitants de Douris et des zones proches de Baalbeck, les appelant à quitter immédiatement leurs domiciles, cela au lendemain de frappes qui ont touché ces localités. Cette alerte concerne particulièrement les habitants situés dans la "zone rouge", où Israël prévoit des opérations militaires pour frapper les infrastructures et les positions du Hezbollah.

Depuis des décennies, le Liban a vu ses trésors historiques menacés par des conflits successifs, mais les frappes israéliennes récentes sur des sites comme Tyr, Baalbek, Douris, les souks de Nabatiyeh et d’autres zones historiques ajoutent une dimension plus sombre : celle de l’effacement programmé de l’identité culturelle propre au Liban. Certes, les vies humaines ne peuvent être comparées à des monuments de pierre. Cependant, dans le cas de sites comme Tyr et Baalbek, ces pierres elles-mêmes portent une histoire identitaire, des preuves des racines profondes du Liban et de sa culture unique au Levant. Détruire ces sites, c’est bien plus que détruire des artefacts antiques ; c'est effacer une histoire commune, nier une identité nationale et régionale qui a survécu aux épreuves des millénaires.

Cette annonce intervient alors que l'Armée Israëlienne a publié un ultimatum en vue de faire évacuer la ville de Baalbeck, une ville présente sur la liste du patrimoine mondial de l'humanité selon l'Unesco.

Les tensions dans le sud du Liban atteignent des niveaux critiques, avec des avertissements israéliens adressés aux habitants de Baalbeck et des villages voisins dont Douris ou le mausolé de l'ère Ayyoubite a déjà été endommagé par une frappe israélienne. L'armée israélienne a appelé la population locale à évacuer la zone en prévision d'opérations militaires imminentes. La ville de Baalbeck, célèbre pour ses ruines romaines inscrites au patrimoine mondial de l'UNESCO, est désormais exposée aux risques de bombardements, soulevant des inquiétudes quant à la préservation de ce patrimoine unique.

The main museum in Lebanon, the National Museum's primary mission is to bring together archaeological artifacts discovered in the territory of the Land of...

According to the legend in its best-known version, Saint Barbara was born in Nicomedia, daughter of a satrap named Dioscuri, who locked her in...