Etiquette: Europe
Liban: La fuite des capitaux se poursuit en 2024
#ECO: En 2024, 3,2 milliards USD d’investissements ont fui le Liban, avec des projets comme Carrefour (Majid Al Futtaim) suspendus et QIA reportant ses initiatives. Les restrictions bancaires (Blom, Byblos, Audi) imposent 15 % de frais sur les dollars, tandis que Najib Mikati et Bahaa Hariri investissent en Turquie/Europe. La confiance est au plus bas, menaçant une économie en crise, malgré les pressions du FMI.
Macron face à Trump : une Europe en quête d’autonomie stratégique
#EUROPE: Le 5 mars 2025, Macron a proposé d’étendre la dissuasion nucléaire française à l’Europe et d’envoyer des troupes pour garantir un accord de paix en Ukraine, face à une Russie menaçante et un Trump isolationniste. « La paix ne peut être à n’importe quel prix », a-t-il averti, appelant à un réarmement européen. Cette annonce, dans un contexte de tensions transatlantiques, vise à repositionner la France comme leader d’une Europe autonome.
Perspective: Trump coupe les vivres à l’Ukraine et secoue l’ordre mondial
#ANALYSE: Donald Trump annonce une réduction progressive de l’aide militaire à l’Ukraine, estimant que les États-Unis ne peuvent financer une guerre sans fin. Kyiv ralentit sa contre-offensive faute de munitions, tandis que la Russie gagne du terrain à l’est. L’Europe tente de compenser, mais l’OTAN se divise : France et Pologne poussent, Allemagne et Hongrie freinent. Poutine jubile, voyant dans ce retrait la faillite de l’Occident, alors que les tensions transatlantiques s’accentuent.
L’Autonomie Stratégique Européenne et le Rapatriement des Achats Militaires : Impacts Économiques, Industriels et...
#IDEE: L’autonomie stratégique européenne pourrait réduire la dépendance aux États-Unis en rapatriant les achats militaires, dopant le PIB de 0,6-1 % et captant 35-40 % du marché mondial des armes d’ici 2040. Avec des projets comme le SCAF et le MGCS, l’Europe rivalise technologiquement, créant 150 000-300 000 emplois et forgeant des alliances avec l’Inde ou le Brésil.
Lumière obscure : Vance et la gestion d’un pays sous une doctrine controversée
#USA: La "Lumière obscure", doctrine de J.D. Vance sous Trump, prône une gestion autoritaire : exécutif dominant, économie au service de la puissance, identité homogène. Elle marginalise les minorités, soutient les extrêmes droites et sacrifie l’Ukraine à la Russie. Perçue comme un fascisme moderne, elle redessine le pouvoir, défiant la démocratie. Vance, son gourou, impose une vision où la souveraineté prime, reléguant l’équité dans l’obscurité d’un monde en mutation.
Edito: L’humiliation en série, symptôme d’une diplomatie brutale et unilatérale
EDITO: L’humiliation a frappé l’Ukraine hier, avec Zelensky rabaissé par Trump et Vance, menacé d’abandon s’il ne cédait pas sur un cessez-le-feu. L’Europe, avant-hier, subit les provocations de Vance, qui soutient l’extrême droite et juge ses démocraties faibles. Le Liban, lui, souffre quotidiennement : Israël occupe son sud malgré un cessez-le-feu, avec l’aval tacite des États-Unis, marginalisant la France. Une diplomatie brutale qui impose et divise, foulant au pied respect et concertation.
Clash orchestré : Trump se jouerait-il de Zelensky pour dealer avec Poutine
ANALYSE: Le clash Trump-Zelensky du 28 février 2025 à la Maison Blanche pourrait cacher une stratégie : sacrifier l’Ukraine pour un deal avec Poutine, visant à fissurer l’axe sino-russe. En humiliant Kiev, Trump justifierait un désengagement américain, offrant à Moscou une victoire symbolique contre un refroidissement avec Pékin. Pari risqué : l’Europe s’indigne, la Russie jubile, et l’OTAN vacille. Ce coup de théâtre redessinerait-il l’ordre mondial ou précipiterait-il un chaos géopolitique ?
Confrontation explosive à la Maison-Blanche entre Trump et Zelensky
ACTU: Vendredi, dans le Bureau ovale, Donald Trump a réprimandé Volodymyr Zelensky, critiquant son attitude envers les États-Unis. ‘Vous devez être reconnaissant’, aurait-il lancé, avant que J.D. Vance n’ajoute : ‘L’Amérique n’est pas votre caisse enregistreuse.’ Face à l’appel de Trump à négocier avec la Russie, Zelensky a tenu bon, qualifiant Poutine de ‘tueur’. Cet échange tendu, conclu par un sarcastique ‘Ça va faire de la bonne télévision’, révèle des fractures profondes alors que l’Ukraine dépend du soutien américain.
Édito : Une altercation diplomatique à la Maison Blanche – Vance, Zelensky, Trump et...
À la Maison Blanche, l’altercation entre Vance, Zelensky et Trump a révélé une diplomatie de force brute. Vance a accusé Zelensky d’ingratitude, lançant les hostilités, avant que Trump n’exige un accord avec la Russie sous peine d’abandon. L’humiliation publique de Zelensky, chassé sans accord sur les minerais, reflète une administration où l’extrémisme de Vance domine. Ce clash, amplifié par une rhétorique populiste, trahit les valeurs américaines, évoquant les sombres dynamiques des années 1930.
Le deuxième mandat de Trump redéfinit l’alliance transatlantique au-delà du point de rupture
En 2025, l’Amérique de Trump abandonne l’Ukraine et défie l’Europe, brisant l’alliance transatlantique. Sur l’échiquier géopolitique de Brzezinski, ce retrait cède l’Eurasie à la Russie et à la Chine, tandis que les guerres économiques de Trump sapent l’équilibre prôné par Kissinger. L’OTAN vacille, l’Europe s’interroge : autonomie ou déclin ? Entre un États-Unis en perte de primauté et des puissances émergentes, un nouvel ordre mondial se dessine.
Trump et le Nouvel Ordre Mondial : Stratège ou Fossoyeur de l’Occident ?
Trump applique à la diplomatie une logique transactionnelle inspirée du monde des affaires, où tout peut être négocié et révisé selon les intérêts du moment. Cette approche peut sembler efficace à court terme, mais elle comporte des risques majeurs. Les relations internationales ne se résument pas à des contrats commerciaux ; elles sont ancrées dans des alliances historiques, des équilibres de pouvoir et des dynamiques culturelles et idéologiques
Edito: Guerre en Ukraine, l’Oreille cassée, saison 2 ?
Trois ans de guerre, des milliers de morts, des milliards engloutis… et soudain, on parle de paix. Pas par altruisme, non. Juste parce qu’en fouillant sous le sol ukrainien, on a trouvé plus précieux que l’or noir : les terres rares. L’Europe découvre qu’elle a soutenu un conflit sans retour sur investissement, pendant que Poutine, Trump et consorts s’arrangent en coulisses. Une guerre pour la liberté ? Non, une simple négociation commerciale sur fond de ruines.
Vote à l’ONU : l’Europe et les États-Unis en désaccord sur l’Ukraine
Les États-Unis et l’Europe s’affrontent à l’ONU sur l’Ukraine. Tandis que l’Union européenne exige un retrait immédiat des forces russes, Washington privilégie une approche plus diplomatique, appelant simplement à une paix négociée. Ce revirement s’inscrit dans la volonté de l’administration Trump d’ouvrir des discussions directes avec Moscou, sans Kiev ni Bruxelles. Le vote de lundi révélera si le soutien international à l’Ukraine reste intact ou si la lassitude diplomatique favorise la position russe.
Edito: De l’outrecuidance d’un président réélu et des empires ressuscités
#Edito: Au final, la scène ressemble à une farce: l’Ukraine se voit présentée une dette fictive, Gaza subit un projet immobilier brutal, et l’Europe proteste en vain. Trump, enivré par l’admiration de dictateurs et de princes coupeurs d’os, poursuit son expansionnisme sans vergogne, foulant aux pieds droits humains et diplomatie internationale.