Le premier ministre désigné s’est rendu auprès du président de la république. Il pourrait annoncer soit sa démission, soit la constitution d’un gouvernement de facto sans entente avec le duo chiite, Amal et Hezbollah, qui insistent tous les deux à garder le contrôle du ministère des finances, un ministère clé dans le cadre des réformes à mener pour débloquer l’aide de la communauté internationale.