Après l’annonce d’une mise en état de défaut samedi dernier, les représentants légaux de la République Libanaise, la Banque Lazard, et le cabinet d’avocats Cleary Gottlieb Steen & Hamilton LLP auraient pris contact avec 3 fonds détenant des volumes importants de la dette libanaise, à savoir Ashmore Group Plc, Fidelity Investments et Goldman Sachs, indique le quotidien libanais Al Joumhouriah.
Il s’agirait peut-être d’éviter des poursuites légales, ce que craignent les autorités libanaises confrontées, outre à une importante crise économique, à de possibles troubles sociaux de grande ampleur. Ainsi, en cas de poursuites, les répercussions seraient plus sévères pour le Liban, ce qui pourrait encore aggraver la crise financière locale.