De nombreux adhérents aux politiques partisanes ont voté. Des blocs parlementaires se renforcent et testent entre eux des positionnements et les limites des uns et des autres juste avant le prochain gouvernement.
Néanmoins, ce qui compte dès aujourd’hui est que les assises partisanes composent entre elles des tractations qui servent à secourir les gens du fossé économique dans une région très critique. Il est demandé à toutes les parties de transparaître un réel dialogue salvateur et ce pour initier un changement accessible au plus tôt. Celles-ci gagneraient à devenir plus revendicatrices afin de mettre en marche tous les moyens consensuels possibles pour alléger la crise socio-économique. Les gens sont avides de palper à nouveau des mesures exceptionnelles adéquates et des réponses appropriées de la par de nos députés et ministres et ce, en marge de toute tension conflictuelle!
“Observons maintenant le désespéré. Pour lui, un problème est juste une nouvelle occasion de se confronter à l’échec et à la défaite. Toute la différence entre l’optimiste et le désespéré est là: l’un voit dans le problème une occasion de gagner, l’autre un moyen de perdre. Un problème est donc ce qu’on en fait.”
Paul G. Quinnett. Cependant, il faudrait craindre qu’avec les vieilles habitudes des mentalités défensives, les acquis et les exacerbations en avant, nous risquons sérieusement de cheminer vers les logiques dissociatives plurielles face à un constat majeur et national prioritaire. Ce fait indéniable ne peut attendre les chamailles des uns et les reports de bien d’autres. La réalité terrible que nous tous côtoyons parfois sans le savoir est faite de plus en plus de tragédies humaines, de cumuls insolvables, de désarrois extrêmes, d’abandons progressifs, de faillites totales et de risques suicidaires!