Un écrivain libanais figure parmi les finalistes du prix Goncourt 2022. Le gagnant devrait être annoncé le 3 novembre prochain Il s’agit de Sabir Ghoussoub, pour son troisième roman Beyrouth sur Seine aux éditions Stock, dans lequel il raconte le départ de ses parents du Liban et leur arrivée en France.
Le livre se présente avec une couverture qui rappellera beaucoup de souvenirs à beaucoup de gens, une photographie suggérant le départ d’un père avec son enfant, en face de l’ancien aéroport international de Beyrouth.
Prochaine étape, les 4 finalistes devraient être désignés le mardi 25 octobre à l’ouverture du festival littéraire Beyrouth Livres, un évènement organisé par l’Institut Français.
Il fait cependant face à de sérieux adversaires dont Muriel Barbery déjà récipiendaire de plusieurs prix. Elle se présente avec “Une Heure de Ferveur” aux éditions Actes Sud,
Ainsi figurent aux côtés de Sabir Ghoussoub et Muriel Barbery, Grégoire Bouillier, “Le coeur ne cède pas” (Flammarion), Nathan Devers, “Les Liens artificiels” (Albin Michel), Giuliano da Empoli, “Le Mage du Kremlin” (Gallimard), Carole Fives, “Quelque chose à te dire” (Gallimard), Brigitte Giraud, “Vivre vite” (Flammarion), Sarah Jollien-Fardel, “Sa préférée” (Sabine Wespieser), Cloé Korman, “Les presque soeurs” (Seuil), Makenzy Orcel, “Une somme humaine” (Rivages), Yves Ravey, “Taormine” (Minuit), Pascale Robert-Diard, “La Petite Menteuse” (L’Iconoclaste), Emmanuel Ruben, “Les Méditerranéennes” (Stock), Monica Sabolo, “La Vie clandestine” (Gallimard), et Anne Serre avec “Notre si chère vieille dame auteur” (Mercure de France).