Des familles de détenus bloquent les routes au niveau du quartier de Bir Hassan dans la capitale ou encore devant le Sérail de la ville de Tripoli au Nord du Liban.
En cause, le report de l’examen du projet de loi d’amnistie, déjà repoussé à 4 reprises en raison de l’opposition d’une partie des partis politiques qui dénoncent un texte permettant la libération de personnes impliquées dans des actes terroristes.