Présidentielle

Camille Rogier, explorateur du XIXe siècle, nous transporte à travers son récit "Les Échos Orientaux" dans une aventure captivante en Orient. En 1832, il découvre des paysages fascinants, des traditions riches et des rencontres marquantes. Son voyage mêle émerveillement et introspection, révélant un monde de couleurs, de senteurs et d'histoires. À travers sa plume poétique, Rogier invite ses lecteurs à embrasser la diversité culturelle et à célébrer les mystères de chaque terre visitée.

#JUSTICE: Hier, le juge Tarek Bitar a interrogé Mohammed Hassan Moqled, ex-brigadier de la Sûreté générale, dans l’enquête sur l’explosion du port de Beyrouth. Après avoir rejeté ses défenses, Bitar l’a libéré sous engagement de résidence. Une audience est prévue le 21 mars pour entendre des témoins. Le nouveau procureur général, Jamal Hajjar, coopère désormais avec Bitar, marquant un tournant dans ce dossier sensible.

#DIPLOMATIE: Emmanuel Macron a appelé Nawaf Salam, chef du gouvernement libanais, pour saluer ses efforts en faveur de l’unité et de la stabilité du pays. Reconstruction et réformes étaient au menu des discussions, jugées vitales pour le Liban et la région. Le président français a annoncé accueillir Joseph Aoun à Paris le 28 mars, réaffirmant un soutien indéfectible de la France au Liban, entre aide concrète et défense de sa souveraineté.

#COMMUNIQUE: Le 29 mars 2025, la ville de Villepreux (France), vivra un événement marquant avec l'inauguration officielle du partenariat qui sera signé entre la commune yvelinoise de Villepreux, représentée par son maire Jean-Baptiste HAMONIC, et le village libanais d'Azour, représentée par le maire de Azour Joseph AZOURY, en présence de la députée libanaise Ghada AYOUB.

#Arabie: L’Arabie saoudite conditionne son aide au Liban à des réformes radicales : transparence, restructuration bancaire, lutte contre la corruption. Jadis généreuse, Riyad se méfie d’un pays miné par la crise et l’influence du Hezbollah. Sans ces changements, Beyrouth reste dans l’impasse, ses réserves s’épuisant et ses alternatives (UE, Chine) limitées. Pour Nawaf Salam, céder risque des tensions internes ; refuser, un effondrement total. Le Liban joue sa survie.

#EDITO: Il y a vingt ans, le 14 mars 2005, Beyrouth vibrait d’un espoir ténu. Une foule réclamait liberté et souveraineté après l’assassinat de Rafic Hariri. Mais le soir, des politiciens pressaient les manifestants de rentrer. On voit le résultat en 2025 : un pays brisé. Le haririsme, mirage vendu par Hariri et les banques, nous a ruinés. Le Hezbollah, après s’être renforcé, vacille. Et maintenant, où allons-nous ? Vers un vide que l’espoir ne comble plus.