« A world in which the leading liberal-democratic nation does not assume its role as world policeman will become a world in which dictatorships contend, or unite, to fill the breach. Americans seeking a return to an isolationism garden of Eden-alone and undisturbed in the world, knowing neither good nor evil-will soon find themselves living within shooting range of global pandemonium » (1)
La Terre est jusqu’à ce jour notre lieu de vie. Jérusalem est sa marque de Sainteté. Les pères du Judaïsme, la Chrétienté fondée par le Christ, crucifié pour son Amour Divin et l’Islam du Coran transmis par Dieu au prophète Mohammed, ont tracé la voix du monothéisme là où continuent de se déchirer les hommes.
Les Saints du Liban témoignent d’une cruciale valeur d’éternité pour les coeurs ouverts. Ils nous guérissent de l’impossible, pénètrent l’insondable et veillent à maintenir la paix malgré le chaos de nos drames. La piété rappelle le croyant à la prière, au pardon et à la conciliation malgré les tumultes démocratiques et les guerres sauvages dans la région du Moyen Orient.
« J’ai compris que le précepte « oeil pour oeil » n’avait d’autre conséquence que de rendre l’humanité aveugle, et que la vraie violence, la pire, c’était la misère » (2 ). Cependant, un éveil avisé ne pourrait suffire pour rassurer. On devrait certes dénoncer et accuser les atrocités mais surtout, chercher à sauver l’innocence. Elle est cette part humaine qui procure l’élan lumineux pour la sollicitation des saints.
Saint Charbel visiteur inlassable de tant de croyants, répand ses miracles de par le monde. Il est le cultivateur de la terre intérieure et le messager de Jésus Christ, bien au delà des petites gens, des épais brouillards, du scandale et du mal.
1. Bret Stephens.
2. Gilbert Sinoue.
Joe Acoury.
