C’est un marché en grave crise que décrit le dernier rapport de la société immobilière Ramco avec un taux d’invendu de 72% pour les unités terminées au cours de l’année 2012 pour Beyrouth, les transactions immobilières n’ayant également atteint que 400 millions de dollars.

Ce dernier rapport confirme le risque de récession structurel que nous avons décrit, récession principalement dû aux prix pratiqués dans la capitale libanaise et le retrait de la clientèle arabe. Ainsi, le marché s’est rétracté sur une demande locale pour les surfaces considérées comme petites et moyennes et à l’extérieur de Beyrouth contrairement aux pratiques jusque là qui consistait à promouvoir les appartements dits de luxe.

Copyright François el Bacha. Tous droits réservés

Un commentaire?

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.