Tag: élites politiques
Ghada Aoun : Une magistrate sous pression dans la lutte contre la corruption
La juge Ghada Aoun, figure clé de la lutte contre la corruption au Liban, fait face à des pressions croissantes. Connue pour ses enquêtes sur les crimes financiers, notamment les transferts bancaires frauduleux, elle se heurte aux interventions politiques et judiciaires qui tentent de limiter son action. Alors que le Liban s’enfonce dans la crise, son travail soulève des questions cruciales sur l’indépendance de la justice et la possibilité d’une réelle réforme du système.
Nawaf Salam et la réforme du système bancaire : entre pression internationale et réalités...
Un système bancaire en crise : un héritage du passéLe secteur bancaire libanais, autrefois considéré comme le pilier de l’économie du pays, traverse l’une des pires crises...
Dans la presse: Une opposition féroce des élites bancaires et politiques face à Nawaf...
Les réformes proposées par Nawaf Salam se heurtent à une résistance massive des milieux bancaires et politiques libanais, qui perçoivent ces changements comme une menace existentielle à leur emprise sur l'économie du pays. Depuis des décennies, les banques libanaises ont fonctionné comme des acteurs quasi-indépendants, jouissant d’une autonomie excessive et entretenant des liens étroits avec la classe politique.
Liban : L’État de droit ou le règne des mafias, il faut choisir
Le Liban oscille entre état de droit et règne des mafias. La corruption et le clientélisme étouffent les institutions, empêchant toute réforme. Les élites politiques verrouillent le pouvoir, imposant leurs réseaux d’influence. La peur et la répression maintiennent leur domination, annihilant toute opposition et condamnant le pays à l’impasse.
Nabih Berri : Une mainmise sur le ministère des finances et les dossiers de...
Nabih Berri, président du Parlement libanais et leader du mouvement Amal, exerce une emprise stratégique sur le ministère des finances, clé dans le système politique libanais. Ce contrôle alimente l’opacité et bloque les enquêtes sur la corruption, paralysant les réformes et exacerbant la crise économique. En freinant toute transparence et en protégeant les intérêts des élites, Berri symbolise les blocages institutionnels qui empêchent le Liban d’avancer vers un avenir où l’État de droit prévaudrait.