Etiquette: FMI
Liban : Nawaf Salam désavoué sur la nomination de Karim Souaid à la BDL
#POLITIQUE: Nawaf Salam s’oppose à la nomination de Karim Souaid à la BDL (17 sur 24), votée par FL, Hezbollah et Amal contre Tarek Mitri et Amer Bsat. Défendant les déposants et l’accord FMI, il est mis en minorité par une entente Aoun-Berri sauvegardant les banques. Ce revers fragilise les réformes, menaçant un Liban en crise d’un chaos coûteux.
Liban : Les conséquences de la mise en minorité de Nawaf Salam dans son propre gouvernement
Le 27 mars 2025, Nawaf Salam est mis en minorité avec Karim Souaid nommé à la BDL (17 sur 24), voté par les FL et Hezbollah contre Tarek Mitri et Amer Bsat. L’entente Aoun-Berri bloque l’accord FMI vital. Le parti des banques domine, augurant mal des réformes financières coûteuses, fragilisant Salam et le Liban en crise.
Liban : Karim Souaid nommé gouverneur de la BDL par 17 voix sur 24...
#BDL: Le 27 mars 2025, Karim Souaid est nommé gouverneur de la BDL par 17 voix contre 24, malgré l’opposition majoritaire et les tensions entre Aoun et Salam. Critiqué pour son lien à une étude prônant un haircut de 80-90 % et son rejet des réformes du FMI, il manque de soutien international. Cette décision clivante, imposée par Aoun et le tandem chiite, fragilise un Liban en crise, loin d’un consensus salvateur.
Liban : Polémique autour de la nomination du gouverneur de la Banque du Liban
Michel Doueihi s’oppose à la nomination du gouverneur de la Banque du Liban, critiquant un candidat lié à une étude de Harvard prônant un haircut de 80-90 % sur les dépôts. Soutenu par des anti-réformes, il rejette la transparence et les exigences du FMI, menaçant les droits des déposants. Ce vote au Conseil des ministres, un « moment de vérité », pourrait sceller l’avenir économique du Liban en crise.
La France intensifie son implication diplomatique : Jean-Yves Le Drian à Beyrouth
#DIPLOMATIE: Jean-Yves Le Drian, envoyé de Macron, a visité Beyrouth, rencontrant Aoun, Berri, Salam et Raji. Selon Al Joumhouriyat, il a poussé pour des réformes administratives et judiciaires, conditionnant l’aide française au déblocage des nominations clés. Aoun a promis des avancées et une coopération régionale, tandis que la France réaffirme son soutien à la souveraineté libanaise, cherchant à relancer son influence dans un pays en crise profonde.
Karim Souaid : Un choix controversé à la tête de la Banque du Liban qui menace l’avenir du pays
#ANALYSE: Karim Souaid, soutenu par Joseph Aoun et une élite bancaire, propose d’utiliser les réserves d’or de la BdL pour compenser les déposants, une idée irresponsable face à une insolvabilité de 65 milliards de dollars. Hostile au FMI, il rejette les réformes nécessaires à un prêt de 3 milliards, préférant protéger les banques. Le Growth Lab prône dollarisation et restructuration, mais Souaid risque de prolonger la crise, sacrifiant une population déjà exsangue sur l’autel des intérêts particuliers.
Visite prochaine de l’envoyée américaine au Liban pour discuter du désarmement du Hezbollah
#BALLET (diplomatique): Morgan Ortagus, envoyée américaine, visitera le Liban la semaine prochaine pour pousser au désarmement total du Hezbollah, proposant une aide à la reconstruction en échange, selon MTV. Un appel avec le Premier ministre Nawaf Salam a précédé ce déplacement, visant à coordonner cette initiative. Dans un Liban en crise, accueillant des réfugiés syriens et sous pression internationale, cette proposition pourrait relancer les tensions internes autour du rôle du Hezbollah et des besoins de reconstruction.
Pas de réforme fondamentale du secteur financier, pas de confiance des investisseurs
#ECO: Le Parlement libanais, paralysé, retarde les réformes et le budget 2025, menaçant les finances publiques. La confiance des investisseurs reste faible, et le secteur bancaire, sans fonds locaux pour se recapitaliser, stagne. Les fonds étrangers refusent d’intervenir sans garanties et avec les acteurs actuels, limitant l’accès aux dépôts et freinant la croissance. Cette incertitude institutionnelle aggrave une crise économique déjà profonde dans un pays en quête de stabilité.
Dans la presse: un taux de change de 92 000 LL/USD dans les marchés...
#ECO: La livre libanaise reste stable à 89 000 pour un dollar sur Sayrafa, mais dépasse 92 000 sur le marché parallèle, selon Al Sharq Al Awsat. Avec une économie dollarisée à 85 %, l’inflation érode le pouvoir d’achat, malgré une accalmie du taux officiel. Le déficit public atteint 11 % du PIB en 2025, compliquant les défis du futur gouverneur de la Banque du Liban face à une crise monétaire persistante.
Baisse des prix de l’essence et du fioul, hausse du gaz au Liban
#ECO: L’essence 95 et 98 octane baissent de 2000 livres au Liban, à 1 380 000 et 1 420 000 livres, et le fioul de 7000 livres à 1 294 000 livres, selon l’Agence nationale. Le gaz grimpe de 3000 livres à 1 103 000 livres. Ces nouveaux tarifs, fixés par le ministère de l’Énergie, offrent un léger répit aux ménages et aux professionnels, mais soulignent la dépendance aux importations dans un pays en crise énergétique.
Débat sur les nominations : entre transparence et équilibres politiques
#CONTROVERSE: Le Liban prépare la nomination du gouverneur de la Banque du Liban, avec Karim Saïd favori selon Nahar, tandis que Souaid émerge comme alternative. Entre transparence et équilibres confessionnels, le gouvernement Salam fait face à des tensions. Les réformes piétinent, bloquées par le clientélisme, sous le regard du FMI et d’une société civile exigeant un changement dans un pays en crise.
EDITO: Secret bancaire au Liban, Nawaf Salam tendre d’ouvrir la boîte de Pandore
EDITO: Nawaf Salam veut lever le secret bancaire pour révéler les magouilles des banques et politiciens libanais, promettant aux déposants leurs sous. Pendant qu’ils le supplient, l’ABL court chez Yassine Jaber pour protéger ses arrières.
Ghada Aoun: la levée du secret bancaire, clé de la réforme financière au Liban
#BANQUES: Ghada Aoun a salué sur X les propos de Nawaf Salam, qui voit dans la levée du secret bancaire une clé pour la réforme financière au Liban. Soulignant son combat pour cette cause, elle propose des mesures radicales, comme la liquidation des banques récalcitrantes, pour assainir un secteur en crise. Face à un système judiciaire et bancaire résistants, cette convergence offre un espoir fragile de transparence et de justice.
Yassine Jaber et l’ABL : un dialogue sous tension alors que Nawaf Salam pousse...
#DEPOTS: Yassine Jaber a rencontré l’ABL pour préparer les négociations avec le FMI, mais l’association, critiquée pour son inertie, bloque les réformes. Le même jour, Nawaf Salam, recevant des déposants, a exigé un audit juricomptable et la levée du secret bancaire.