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Réserves en devises du Liban : une économie au bord du gouffre
Les réserves utilisables en devises du Liban sont tombées sous 7,5 milliards de dollars, un seuil critique qui ne couvre que trois mois d’importations essentielles. Cette chute dramatique aggrave la crise économique, les pénuries de carburant et de médicaments, et alimente la pauvreté. Sans réformes et soutien international, l’effondrement paraît inévitable.
L’effondrement du commerce extérieur libanais : causes et conséquences macroéconomiques
#ECO: Le Liban enregistre un déficit commercial dépassant 15 milliards de dollars par an, aggravé par la chute des exportations et la dépendance aux importations essentielles. Sans financement externe ni soutien multilatéral, le pays consomme ses réserves en devises. Le port de Beyrouth, en déclin, ralentit la logistique. L’économie, privée d’industries exportatrices, subit les hausses de prix mondiales, dans un contexte de désorganisation monétaire et d’absence de politique industrielle ou commerciale cohérente.
Revue de presse du 9/07/25: tensions israélo-libanaises et médiation diplomatique américaine
Crise économique persistante, diplomatie intense autour de la sécurité du sud, paralysie judiciaire, et mobilisations citoyennes sur fond de précarité : la revue de presse du 9 juillet 2025 brosse un tableau contrasté du Liban, entre vulnérabilité et résilience. Les déclarations des figures politiques, l’état du secteur bancaire, les défis sanitaires et les tensions sociales témoignent d’un pays sous pression, mais encore traversé par des dynamiques d’initiative et de survie.
Haïfa sous missiles, Beyrouth sous pression logistique
La paralysie partielle du terminal israélien de Haïfa déclenche une surprime maritime de 400 USD par conteneur et dévie les routes pétrolières via Port-Saïd. Beyrouth, dépendante du transbordement régional, voit ses coûts grimper : blé, carburant, pièces détachées, tout s’alourdit tandis que la livre fléchit. Tripoli n’est pas assez profond, Limassol sature et le dragage d’urgence reste théorique. Le risque logistique se traduit en hausse du pain, du diesel et en ponction accélérée des réserves en devises.
Importations en péril : le risque systémique pour l’économie libanaise en cas de guerre...
La guerre entre Israël et l’Iran compromet les routes commerciales vitales pour le Liban. Dépendant des importations pour ses produits essentiels, le pays fait face à des hausses de prix, des ruptures de stocks, des ralentissements de production et une pression monétaire intense. Le secteur énergétique, les PME et les importateurs sont les plus exposés, tandis que les consommateurs redoutent une nouvelle vague de pénuries. L’économie libanaise, fragilisée, vacille à chaque tension régionale prolongée.
Revue de presse du 16/06/25: Une guerre aux portes du Liban
La revue de presse du 16 juin 2025 révèle un Liban fragilisé par l’intensification du conflit israélo-iranien. Entre prudence diplomatique, crise énergétique croissante, inflation galopante et tensions sociales, les autorités peinent à contenir les multiples fronts. Les réactions internationales se multiplient tandis que la société libanaise manifeste son exaspération. Sur fond de discours ambivalents, la stratégie de neutralité est mise à rude épreuve.
Le déficit commercial du Liban chute de 44,6 % en 2024 pour s’établir à...
#ECO: Le déficit commercial du Liban a chuté de 44,6 % en 2024, atteignant 7,8 milliards de dollars selon les données officielles. Cette baisse résulte d'une forte contraction des importations (-36 %) combinée à une stabilité des exportations. Les produits agroalimentaires et les bijoux restent les principales exportations. Bien que cette évolution améliore temporairement les comptes extérieurs, elle reflète avant tout une chute de la consommation intérieure.
Le volume de marchandises au port de Beyrouth augmente de 9 % sur un...
#ECO: Le port de Beyrouth a enregistré une hausse de 9,1 % de son trafic de marchandises sur les deux premiers mois de 2025, atteignant 880 100 tonnes, son niveau le plus élevé depuis 2019. Le nombre de conteneurs a également progressé de 9,5 %, tandis que le nombre de navires a baissé. Le transbordement, lui, chute de 32,9 %, révélant des fragilités dans la stratégie logistique du port.
Liban: Baisse des importations et crise économique
#IMPORTATIONS: Ad Diyar note une chute de 12 % des importations libanaises, freinée par la crise logistique et la liste grise du GAFI. La dépendance au blé ukrainien (85 %) menace la sécurité alimentaire, tandis que l’insolvabilité des banques bloque les lettres de crédit. Les agences exclusives et les retards au port de Beyrouth aggravent les risques de pénuries de médicaments et de denrées, exposant un Liban vulnérable.
L’instabilité régionale, la hausse des primes d’assurance et l’inclusion dans la liste grise du...
#FOCUSLIBAN: L'’instabilité régionale et l’inclusion du Liban dans la liste grise du GAFI aggravent sa crise économique. La hausse des primes d’assurance sur le fret maritime, liée à la guerre à Gaza et aux tensions au sud, renchérit les importations, tandis que la liste grise repousse les investisseurs. Avec des exportations en chute et une inflation galopante, le Liban s’enfonce dans la précarité.
La GAFI et la liste grise : menace sur l’économie libanaise
#FOCUS: Le Liban, sur la liste grise du GAFI, voit son économie s’effondrer, selon Al Sharq Al Awsat (3 mars 2025). L’opacité bancaire bloque importations et exportations, l’inflation grimpe à 60 %, et des sanctions menacent, avec un risque de liste noire d’ici 2026. Le gouvernement Salam tente des réformes, mais divisions et révoltes populaires entravent tout progrès. Sans sortie rapide, le pays s’enfonce vers un isolement total, amplifiant une crise déjà insoutenable.












