Le patrimoine humain au piège des bienveillances.

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“..Aussi le “bien” n’est-il pas quelque chose d’extrinsèque, d’extérieur, que je m’efforce d’acquérir. Le véritable bien, le véritable bonheur, ce par quoi je me sens d’autant plus vivre, c’est au contraire de m’épancher, dans une sorte de générosité vitale.” Nicolas Grimaldi. 

L’espace mental et émotionnel sont des lieux  intimes qui démarquent la capacité d’adaptater la personne au monde.  La mémoire nous permet de récupérer au fil des années de la découverte qui fascine à la routine du préjugé l’allure d’une inéluctable confirmation: La personnalité vieillissante. Ainsi nous nous attardons avec une terrible et légitime inquiétude au sujet de l’avenir immédiat des trésors archéologiques de Palmyre comme si la réminiscence de l’histoire attire encore fortement un regard  nouveau. Celui de clamer la récupération d’un patrimoine mondial de l’Unesco.

Il a été pourtant délaissé au hasard des événements. Il demeure dramatiquement une réalité essentielle pour la préservation des racines de nos richesses au détriment  d’accourir pour secourir bien avant et urgemment la coexistence des vivants au présent. L’histoire des plus valeureux vestiges pèse lourdement de cette froideur effarante et pathologique de la part de la communauté internationale. Le monde “libre” fait la différence terrible entre des horreures qu’il combat et d’autres qu’il abandonne à leurs sorts. Face aux guerres au Moyen Orient et ailleurs dans le monde les humains demeurent des pièces animées et sacrifiées à l’autel des “bienveillances” verbales!

Joe Acoury

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