Etiquette: Bank of Lebanon’s net monetary reserves

Le 28 mars 2025, Israël menace de frapper la banlieue sud de Beyrouth près du Lycée des Arts, alors que Joseph Aoun rencontre Macron à Paris. Israel Katz menace : « Pas de calme à Beyrouth sans calme en Galilée. » Des survols à Saïda et des frappes dans le sud violent le cessez-le-feu, fermant écoles à Tyr et plongeant la capitale dans la peur d’une escalade.

#OPINION: Je parle de ces enseignants, piliers de la société, réduits à quémander leur dignité. Jadis respectés et honorés, ils se retrouvent aujourd’hui prisonniers d’un système qui les condamne à l’indigence. Leur salaire, autrefois suffisant pour mener une vie décente, ne représente plus qu’un simulacre de revenu, une somme dérisoire face à la flambée des prix et à la voracité d’une crise économique sans pitié.

#PRESSE: La revue de presse du 28 mars 2025 dresse un état des lieux précis du Liban à travers ses tensions politiques internes, ses reconfigurations diplomatiques, les défis de la justice, la crise sociale et économique persistante, et la vitalité de ses scènes culturelle et sportive malgré les crises. Elle s’appuie uniquement sur les journaux locaux et arabes pour restituer l’information factuellement, sans extrapolation, avec une attention particulière portée aux décisions politiques, aux figures publiques et aux enjeux géostratégiques.

Jean-Éric Branaa, Auteurs fondateurs The Conversation FranceÀ 17h à...

#EDITO: La nomination probable de Karim Souaid à la Banque du Liban consacre une stratégie d’inaction des banques depuis 2019 : laisser pourrir la situation. Son plan, accordant 100 000 dollars aux petits comptes, ne relance pas l’économie et reporte les pertes sur l’État, donc sur tous, au profit des banques. Loin du discours de Joseph Aoun, elle révèle un gouvernement au service des intérêts bancaires, un lobby politico-bancaire résistant aux réformes

#EDITO: Hier, Charlie Chaplin fut exilé pour avoir ri des puissants ; aujourd’hui, Mahmoud Khalil est emprisonné pour avoir pleuré Gaza. Les États-Unis, jadis phare de liberté, répètent leur vieille faute : punir la pensée. Le maccarthysme d’antan, drapé de peur rouge, renaît sous le voile de la sécurité nationale. Que reste-t-il de leur idéal quand un homme est menotté pour sa voix ? Cette dérive n’est pas un accident ; c’est une trahison morale.