Tag: réformes financières
Visite de Morgan Ortagus à Beyrouth
#DIPLOMATIE: Joseph Aoun a reçu Morgan Ortagus à Baabda pour évoquer le sud du Liban, le retrait israélien, la frontière libano-syrienne et les réformes anti-corruption. Avec Natasha Francesca et Lisa Johnson, elle a tenu une réunion constructive, précédée d’un tête-à-tête de 30 minutes. Nawaf Salam a poursuivi les discussions dans la foulée.
FocusLiban: Peut-on encore sauver le secteur bancaire libanais ?
En mars 2025, le secteur bancaire libanais, avec 70 milliards de pertes, vacille. Karim Souaïd mise sur l’or, évitant l’audit FMI, mais une restructuration ordonnée (bail-in, aide internationale) reste possible. Inspirée de Chypre ou de la Grèce, elle exige un consensus politique improbable. Sans réformes, l’effondrement menace, avec des conséquences sociales dévastatrices pour une population déjà à 80 % pauvre.
Le secret bancaire et gestion des pertes au centre du débat de la nomination...
#CONTROVERSE: le Liban approuve un projet pour lever le secret bancaire, visant la transparence, selon Al Joumhouriyat. Mais Karim Souaid, gouverneur de la BDL, défend les banques face aux pertes de 72 milliards de dollars, invoquant la Constitution, suscitant des critiques (Al Liwa’). ONG et ministres exigent audits et fonds pour les déposants, dans un pays en crise où justice et confiance restent hors de porté
Le bras de fer Aoun-Salam sur la nomination de Karim Souaid : un coup fatal aux réformes au Liban
#CRISE: Le 27 mars 2025, la nomination de Karim Souaid à la BDL (17 sur 24) par Aoun contre Salam torpille les réformes. Proposant l’or (24 milliards de dollars) pour compenser les déposants, évitant un audit juricomptable des malversations, Souaid protège les banques et le secret bancaire. Soutenu par Berri et des politiciens, il bloque l’accord FMI, plongeant le Liban dans une impasse réformatrice coûteuse.
Liban : Nawaf Salam désavoué sur la nomination de Karim Souaid à la BDL
#POLITIQUE: Nawaf Salam s’oppose à la nomination de Karim Souaid à la BDL (17 sur 24), votée par FL, Hezbollah et Amal contre Tarek Mitri et Amer Bsat. Défendant les déposants et l’accord FMI, il est mis en minorité par une entente Aoun-Berri sauvegardant les banques. Ce revers fragilise les réformes, menaçant un Liban en crise d’un chaos coûteux.
Liban : Les conséquences de la mise en minorité de Nawaf Salam dans son propre gouvernement
Le 27 mars 2025, Nawaf Salam est mis en minorité avec Karim Souaid nommé à la BDL (17 sur 24), voté par les FL et Hezbollah contre Tarek Mitri et Amer Bsat. L’entente Aoun-Berri bloque l’accord FMI vital. Le parti des banques domine, augurant mal des réformes financières coûteuses, fragilisant Salam et le Liban en crise.
Blanchiment d’argent : prochaines sanctions internationales contre des banques libanaises?
#BRASDEFER: Les États-Unis et l’UE ciblent des banques libanaises pour blanchiment, menaçant d’exclusion financière. Nawaf Salam propose des réformes jugées insuffisantes, tandis que Washington pourrait forcer la nomination d’un gouverneur BDL favorable, comme Karim Souaid, soutenu par Joseph Aoun, contre un Salam attaché à l’indépendance, aggravant la crise en mars 2025.
Dans la presse: Nawaf Salam à la tête du Liban, un gouvernement réellement pour...
Le 9 février 2025, le président libanais Joseph Aoun a officialisé la formation du gouvernement de Nawaf Salam. Composé de 24 ministres, dont 11 proches du secteur bancaire, ce cabinet se retrouve face au défi de restructurer l’économie tout en négociant avec le FMI. La forte influence des banques risque de compliquer les réformes essentielles, notamment dans le domaine financier. Un test majeur pour l’avenir du Liban.
Les banques libanaises asphyxiées par la fuite des capitaux et la méfiance des déposants
Au 30 novembre 2024, les dépôts totaux du secteur privé au Liban s’élevaient à 89 milliards USD, selon les données publiées par la Banque...
Crise bancaire au Liban : quand l’économie s’effondre avec les banques
Le système bancaire libanais, autrefois pilier économique, est au bord de l’effondrement. Les restrictions sur les retraits, la méfiance des épargnants et la paralysie des entreprises reflètent une crise systémique. Les solutions envisagées, telles que la restructuration des banques ou la dollarisation de l’économie, nécessitent des réformes et un soutien international. Sans une action rapide et coordonnée, cette crise bancaire pourrait compromettre la stabilité économique et sociale du Liban pour les années à venir.