A powerless world celebrates Christmas

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“We are all at risk of a reflexive physical, emotional, cognitive and spiritual contraction in the face of a perceived threat- and that risk is always seriously compounded by our conditioning and the dominant but tacit assomptions of our own culture, especially if as a culture, we are suffering from post-traumatic stress, wish as a nation we certainly are.” Jon Kabat-Zinn.

Le monde dérape sous la bannière de vieilles républiques, des pouvoirs incapables ou instables, du risque inéluctable des graves changements climatiques, des crises économiques et des superpuissances fragilisées à l’intérieur mais manipulatrices du tiers monde au nom du consensus obsolète appelé: La Paix. Elle s’annonce tristement par des promesses infinies dans un contexte global d’insécurité, faute d’avoir été prémunie par les indispensables préventions. L’occident est allé combattre Daesh et ses alliés. Il détient pourtant surtout l’expérience de développer remarquablement des cultures. Elles continuent de promouvoir fièrement les valeurs créatrices comme un indispensable et légitime droit d’expression libre des hommes. Néanmoins, la clairvoyance et la sagesse des gouvernants manquent amèrement à la protection des valeurs humaines pour élaborer la modération et la véritable coexistence. Elles représentent ces éléments clefs qui favorisent ce qui manque au consommateur: La confiance d’appartenir à des contextes sûrs pour entreprendre des investissements stables. Cependant, à fur et à mesure que les aspects concrets au présent sont analysés, la logique des experts finit souvent par conduire à l’inévitable justification de projets décalés au gré des facteurs à risques ou défavorables. Les perspectives économiques sont plus fréquemment minées par les restrictions des gens, la précarité et ce qu’on a tendance à négliger: le sentiment profond d’insécurité physique et psychologique des individus dans de nombreux pays. La courbe de croissance peine à gravir des échelons précis sans l’engagement ferme des gouvernements et des dirigeants du monde pour des résolutions effectivement rassurantes. Elles seraient alors gérées en faveur d’une confiance mondiale non exclusivement matérialiste, de la reconduction des systèmes démocratiques vers des consensus nouveaux qui répondent aux faillites de l’humain et d’accords définitifs entre les superpuissances pour empêcher qu’une génération d’Hérodes ne répande partout la mort! Le but ultime serait évidemment de défendre la vie humaine sur terre.

Joe Acoury.

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