Les «chants» des sirènes… par A. Djerrad

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Depuis quelques mois, des officines reprennent du service en s’acharnant sur l’Algérie pour espérer cette fois « réussir » à la déstabiliser après la cuisante défaite en Algérie et ailleurs!

Ils refont dans la sape via des pseudo-journalistes algériens mercenaires et cupides ; via le Maroc ; via le MAK qui a appelé la Kabylie à prendre des armes ; via les salmigondis de Layla Haddad depuis le siège de l’UE à Bruxelles, sous la bannière de l’UE, (qui s’est excusée officiellement) ; puis (au même moment) via la Suisse où des terroristes de l’ex FIS (dont Dhina) sous «el Karama »  (fondation financée par des frères musulmans qataries), par TRIAL interposée, s’échinent à poursuivre pour «crime contre l’humanité» notre brave ex Ministre de la défense «Nezzar», le tombeur des terroristes du GIA/Fis et de leur régime théocratique sanguinaire !

Ce ne sont que d’exécrables pantins qui relaient la propagande qui a commencé avec le mirage «Printemps arabe» ; qui a déstabilisé la Libye et l’Irak ; qui a échoué en Syrie après une guerre civile ; qui a été étouffée dans l’œuf à Tiguentourine (Algérie), sans compter les multiples et vaines tentatives de faire infiltrer les terroristes depuis la Libye, le Mali et la Tunisie !

À cours d’innovation, ils reprennent les mêmes tactiques, les mêmes slogans, les mêmes «partitions» sur les libertés, les droits de l’homme et tutti quanti pour nous dicter nos intérêts ; nous conseiller ce qui est bon pour nous et ce qui ne l’est pas ; ce qui nous convient et ce qui ne l’est pas ! Pour eux, on est libre, bien-sûr, de faire ce que « l’on veut », mais perfidement « dans le cadre de ce qu’ils veulent bien que l’on fasse » !

Les algériens connaissent bien toutes les «éloquences» de leurs chansons ainsi que les marionnettistes ; seuls les refrains et les marionnettes changent ! Ils savent parfaitement d’où viennent ces immixtions, comment et pourquoi ! Ils ne font que rabâcher, depuis des années, les mêmes «arguments sociaux» éculés (ou à l’occasion exacerber les faits divers) que le moindre algérien néglige ou juge insignifiants, croyant en faire de sérieux motifs de soulèvement populaire et de trouble.

Il faudra vraiment être un pays, en faillite, sans ressources, sans institutions, sans culture, sans journaux, sans Histoire, sans armée, sans principe avec un peuple ignorant, en plus d’être vassal pour espérer réussir une telle entreprise !

L’Algérie est bien loin de cela et le monde le sait en référence à sa glorieuse histoire récente face au terrorisme le plus barbare (instrumentalisé et soutenu insidieusement par des états connus) !  

Si la politique algérienne, nos gouvernants, notre armée inquiètent et dérangent à ce point les milieux hostiles qui nous « veulent du bien », c’est que l’on est assurément, au moins, sur la bonne voie !

Conséquence logique : Nous devons poursuivre cette voie, l’améliorer voire faire l’inverse de ce qu’ils nous souhaitent de « bien » … sans même réfléchir !

À entendre ces porte-voix et leurs viles propagandes, nous ne pensons pas qu’ils soient dotés suffisamment de connaissances de la vie, de rationalité et d’Histoire pour accepter agir de la sorte en espérant paraitre crédibles et intéressants !

Le clairon des traîtres et le chant des sirènes n’attirent que les égarés, les cupides et les imbéciles !

Ils se battent donc contre les moulins à vent !

A. Djerrad

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5 COMMENTAIRES

  1. LECTURE:
    —-
    L’exemple algérien

    Ils ont essayé et échoué en Algérie, il y a 22 ans, par leurs ingérences puis l’extermination de leurs terroristes et de leurs soutiens. Les revoilà avec presque les mêmes stratégies et tactiques vouloir recomposer le monde arabe avec l’aide des arabes eux-mêmes, comme chair à canon, à qui l’on a fait croire qu’ils évoluent dans un « Printemps » de renouveau et de changement pour leur bien-être. Ils les trompent jusqu’à leur faire admettre qu’ils peuvent « sucer du miel du c… d’une guêpe ».
    Il a fallu, pour l’Algérie, une mobilisation des citoyens à grande échelle avec les services de sécurités composés d’éléments de l’armée, de la gendarmerie, de la police et surtout de milliers de citoyens organisés dans le cadre de « groupes de légitime défense (GLD) » pour protéger en permanence villes, villages, bourgades, hameaux, infrastructures économiques et sociales. Leur efficacité était telle qu’en l’espace de deux ans ils ont été mis en déroute. Les pouvoirs publics leur ont laissé, alors, deux choix : la reddition ou le suicide ! Les plus ‘chanceux’ se sont livrés avec armes, bagages et informations. Les plus abêtis se sont sacrifiés dans des opérations- suicide. Si l’on ajoute les règlements de comptes entre les groupes pour des histoires de ‘leadership’, de partages des richesses volées ou fournies par d’autres forces ou pays, on devine l’enfer dans lequel ils se trouvaient. Les grandes opérations où des groupes importants ont été anéantis l’ont été suite à des informations précises et détaillées fournis par leurs propres éléments. S’en est suivi comme toujours des épurations entre eux, des vengeances par des massacres de villageois sans défense ou l’adoption d’ultimes méthodes viles qui consistent à piéger les endroits publics, les cimetières et les… cadavres etc. La population a été le fer de lance dans leur éradication. Les moindres mouvements ou objets suspects sont signalés sur- le- champ. Les terroristes étaient acculés nuit et jour sans la moindre possibilité de mouvement d’où leurs méthodes extrêmes pour tuer le maximum de civils afin de les imputer, aidés par leurs relais internes et externes, aux « forces de l’ordre et l’armée ». Le quadrillage était tel que même les attentats suicides ou les voitures piégées étaient repérés avant même d’arriver à leurs objectifs. « La concorde civile » adoptée par le Président Bouteflika n’était que le son du glas de ces « groupes islamistes armées ».

  2. En novembre 2002, un courrier adressé par François Gèze à ses officiers traitants avait été rendu public par un journal algérien qui révélait que ce natif de Casablanca, au Maroc, avait été chargé par sa hiérarchie, au sein des services secrets, de construire un gros mensonge sur l’armée algérienne pour l’affaiblir dans sa lutte contre le terrorisme islamiste …. l’agent Gèze reçut l’ordre de recruter des «félons» algériens et de leur faire révéler des «secrets compromettants» sur l’armée algérienne. L’opération était appuyée par les services secrets marocains. Gèze créera alors un noyau de traîtres composé de Souaïdia, Laribi, Chouchène, Tigha, Samraoui, Zitout et d’autres, rameutés par les sergents recruteurs de Rachad, du MAOL et des résidus du FIS à l’étranger. A ceux-là s’ajoute Hichem Aboud, auteur de La Mafia des généraux, qui, lors du procès de Paris en juillet 2002, s’était assis à portée d’oreille de Souaïdia…..
    LIRE l’article complet:
    https://www.algeriepatriotique.com/2018/06/16/tue-lennemi-de-lalgerie-francois-geze-reprend-service/

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