Lettre ouverte à Monsieur Alain JUPPE

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Lettre ouverte à Monsieur Alain JUPPE

Citoyenne française en quête de vérité, j’ai décidé de vous écrire à travers les réseaux sociaux afin que ma lettre ouverte puisse vous parvenir à vous et à mes compatriotes.
L’audace de la vérité est celle de tout français désireux de voir la France rebondir et récupérer sa santé économique, sociale et sécuritaire.

Dans cette course folle à la primaire vous étiez nombreux, et ô combien j’aurai préféré que l’accord au sein des Républicains soit un accord entre vous 7 avant que vous deveniez concurrents les uns contre les autres. Démocratie oblige et la majorité silencieuse a eu son mot à dire. Chacun de vous candidat a eu le temps nécessaire pour préparer sa campagne, certains avaient de l’avance sur les autres étant plus présents sur le terrain que d’autres.
En début de campagne, nous avons tous assistés à ce jeu médiatique vous annonçant déjà vainqueur des élections du 20 novembre aux côtés de l’ancien Président Nicolas Sarkozy, mettant Fillon au 3e rang.
Depuis le 20 novembre, vous êtes gagnant avec (28%) en duel avec François Fillon (44,1%) qui vous dépassait largement. 71% des électeurs ont voté pour François Fillon et 46% pour vous. Vous commencez alors à tacler le programme de celui qui a crée la vague bleue dans toute la France métropolitaine attaquant ainsi ces français qui se sont prononcés. Plutôt que vous remettre en cause, votre ton a changé et vous avez choisi comme tactique médiatique d’attaquer votre adversaire au lieu de poursuivre dignement votre campagne et vous concentrer sur votre programme à vous qui, probablement, n’a pas été assez convaincant pour cette bonne majorité et qui a fait le choix d’un autre.

Dans cette course à la présidentielle, et en tant que citoyenne, je n’aurai ni de titre, ni de fonction ni de grade. J’espère tout simplement que la citoyenne que je suis, puisse vivre dans une France Forte, une France qui saura encore protéger ses citoyens sans pour autant basculer dans l’extrême ; et espère tout simplement que mes enfants pourront vivre dans cette France que j’ai connu et qu’ils pourront vivre en paix et à l’abri du besoin. C’est la différence entre vous homme politique et moi citoyenne lambda…

Ce qui se prépare dans vos coulisses à cette présidentielle se traduit par des messages et un programme que le peuple interprétera et fera son choix. Je suis au regret de constater, depuis la réussite de François Fillon, le changement de ton de votre discours qui passe à l’attaque, voire à l’agression verbale, faisant le déni de cette vague bleue qui s’est prononcée. En dépit de tout ce que j’essaye de comprendre de votre programme, malheureusement, je ne trouve pas qu’il a été assez étayé, ou assez convaincant, sinon les électeurs ne seraient pas « trompés » comme vous le sous-entendez, dans leur choix.

Si 71% ont fait le choix de François Fillon, c’est qu’on est plusieurs à avoir compris et accepté son programme largement expliqué à travers ses discours et ses rassemblements : un programme partagé par une bonne majorité alors que vous étiez, vous et l’ancien Président Sarkozy, les deux favoris des médias. Soit votre programme est incomplet, mal expliqué, mal diffusé, soit votre campagne mal organisée, et vos discours mal ciblés. Mais dans les deux cas, les 44,1% de français qui ont voté le 20 novembre dernier, ont bien compris la nécessité d’une politique qui va dans le sens de celle que propose M. Fillon : Une politique d’alternance, de transparence et de redressement nécessaires pour nous donner l’espoir de voir rebondir la France.

Pour avoir le cœur net, j’ai été visualisé vos conférences et je vous invite à les revoir maintenant que c’est Fillon qui vous a dépassé largement. Certes vous êtes un homme incontournable, mais j’ai vite déchanté quand j’ai commencé à comparer point par point vos deux démarches à travers vos programmes à vous deux, si l’on peut parler de programme vous concernant.

Quand Fillon pointe du doigt le mal des Français, quand Fillon a compris la douleur des français choqués par ces attentats, quand Fillon répond point par point sur des questions élémentaires de notre vie au quotidien, vous restez évasif sur plusieurs points qui nécessitent l’audace d’en parler. Votre programme surfe sur des généralités et évite des engagements clairs.

Quand Fillon a sillonné la France après trois ans de travail sur le terrain, exprimant le mal des français, je vois dans votre programme un oubli de cette France lointaine ou de cette France du terrain.

Excusez moi Monsieur, j’ai décidé de vous écrire avec la plume du cœur et non pas celle d’un politologue car il me peine de voir un homme comme vous, changer le ton de sa campagne en attaquant le favori des électeurs français ; ça me déçoit de vous voir critiquer le programme de M. Fillon après qu’il ait obtenu le score le plus élevé de vous tous. La surprise provoquée chez vous et chez certains médias, n’était pas vraiment une surprise pour ceux qui ont suivi de près Fillon et lu ses écrits point par point.

Les Français ne sont pas dupes et il est temps de crever l’abcès et de pointer les maux de notre société. Oui, le programme de François Fillon est possible ! Mais pour cela, il faut avoir l’audace de la vérité et dire ce que d’autres n’osent pas dire.

Je vais tenter dans ma lettre de répondre à vos attaques et démontrer en tant que citoyenne que le programme de François Fillon étant le plus solide et plébiscité par les français, est possible, telle que moi la française lambda, celle du peuple, loin des projecteurs médiatiques et des guerres de coulisses, l’a compris. Car attaquer Fillon sur son programme c’est attaquer mon choix libre et celui de la majorité. Rien n’est encore joué et ce n’est pas par l’attaque que vous allez nous convaincre de votre programme. C’est plutôt de la diffamation haineuse que vous êtes en train de véhiculer sur votre image.

Depuis que Fillon est déclaré le favori et le grand gagnant, des déformations et caricatures circulent pour véhiculer des contre-vérités. J’aurai pu me taire contre ces ragots, si ces attaques ne venaient pas de vous. Mais quand vous pilonnez François Fillon en attaquant son programme économique ” brutal “ et ses positions sur l’avortement et vous dénoncez « un Fillon rétrograde sur les femmes », « extrêmement traditionaliste », « que François Fillon clarifie sa position sur l’avortement » alors que, tout au long de ses meetings et ses discours, François Fillon n’a jamais envisagé de remettre en cause l’IVG et jamais il ne le fera pas, vous m’obligez à vous écrire.

Laisser entendre le contraire, Monsieur, est malhonnête et c’est induire les français en erreur sur un programme dont le porteur a été le plus grand gagnant. Le favori des sondages avait en effet expliqué en juin que “philosophiquement et compte tenu de sa foi personnelle”, il ne pouvait pas ” approuver l’avortement “. Interrogé sur le sujet fin octobre, il distinguait toutefois ses ” convictions et l’intérêt général “. ” Jamais personne et certainement pas moi ne reviendra sur l’avortement”, tranchait Fillon. Est-ce qu’une seule fois M Fillon a pris une position contraire à l’avortement ? Ne s’agit-il pas de votre part d’une polémique haineuse ?

Et si vous repreniez votre campagne en prenant votre temps d’expliquer votre programme et de le clarifier davantage plutôt qu’attaquer celui de votre adversaire qui a déjà été validé par le choix des ses électeurs ?

Vous l’attaquez aussi sur ces 500 000 postes de fonctionnaires. Mais qu’en est-il de votre programme ? Pourquoi, à quelques jours des prochaines élections, pointez-vous des doigts le programme d’un autre alors que vous êtes encore en plein campagne électorale ? N’est-ce pas une façon de détourner médiatiquement l’opinion publique ? Plutôt que dénoncer celui de votre concurrent pourquoi ne pas défendre le votre et essayer de convaincre la majorité de la droite qui s’est exprimée dimanche dernier sur son choix ? Plutôt que mettre le doute dans le projet de l’un des vôtres qui a fait ses preuves dimanche dernier en vous surprenant, pourquoi ne pas vous unir autour de l’alternance menée par François Fillon ?

Si Votre France à vous, M. Juppé est celle des Pouvoirs et des valises ministérielles, ma France à moi est celle du terroir et la vie au quotidien. Si votre France est celle de l’élite, ma France est celle des familles, des travailleurs et ceux qui sont terre à terre. Si votre France est celle des accords des partis politiques, ma France est celle des citoyens qui veulent voir leur France rebondir et voir leurs enfants grandir en paix. Vous avez la France des coulisses, j’ai ma France, celle de l’audace ! Vous avez la France avec ses combines et j’ai ma France, celle de la vérité !

François Fillon a été clair sur son programme depuis 3 ans. Lors du premier tour de la primaire, 44,1% des 4,3 millions de français qui sont venus voter ont approuvé ce programme : ceux qui critiquent le programme veulent ils dire que les Français n’ont rien compris? Non Monsieur, les français ont bien compris et ne se sont pas trompés dans leur choix. C’est pour ces raisons, je tiens à vous expliquer publiquement le pourquoi de mon choix, celui aussi de mes compatriotes, nous les 44,1%.

En matière d’économie, quand vous polémiquez sur la faisabilité du programme de M. Fillon, vous savez bien que c’est faisable, vos homologues l’ont dit aussi. Lorsque François Fillon était à 10% d’intention de vote, les autres candidats admettaient qu’il a le meilleur programme et ils s’en sont inspirés. Depuis qu’il a obtenu 44% des suffrages, on dit maintenant que son programme est ultra libéral et n’est plus crédible, voire irréaliste ? Qu’il ne pourra pas le mettre en œuvre ? Les principales attaques portent sur la réduction de 100 milliards de la dépense publique, sur la suppression de 500.000 postes dans la fonction publique, sur le déficit et sur le risque de casser la croissance. Pourtant c’est le projet dont la France a besoin. « La dépense publique française consomme chaque année 56% de notre richesse nationale. La France emprunte chaque mois sur les marchés financiers pour boucler ses fins de mois, ce qui augmente la dette que nous léguerons à nos enfants. Il faut donc réduire la dépense publique ». Lorsqu’il était Premier ministre, il avait réduit en 5 ans de 11% la dépense d’un périmètre limité à l’Etat central (ministères, administrations). Son projet prévoit de réduire l’ensemble de la dépense publique de 100 milliards d’euros en cinq ans, soit 8% : rien d’irréaliste là dedans. La méthode est connue et a été appliquée avec succès dans de nombreux pays : passer en revue chaque politique publique, éliminer les dépenses inutiles, recentrer l’Etat sur ses principales missions. La vérité, c’est qu’il faut enfin sortir de 30 ans de renoncement pour enfin transformer le modèle économique et social de la France. Il faut l’adapter aux réalités du XXIe siècle. Si vouloir faire ce qu’il faut pour retrouver la croissance et le plein emploi, c’est être libéral, alors, François Fillon assumera le terme « libéral » : il faut être pragmatique, on ne renouera pas avec la croissance et l’emploi avec des demi-mesures.

Au sujet de la réduction de 500 000 postes de fonctionnaires, la question n’est pas de savoir si c’est faisable : c’est faisable, d’autre pays l’ont fait (Royaume Uni, Suède). Ceux qui posent cette question sont dans le camp du renoncement. La question est de savoir comment le faire ? La France n’a plus les moyens de consacrer 56% de sa richesse nationale en dépenses publiques. Elle emprunte chaque mois sur les marchés financiers pour payer ses fonctionnaires. Voulons-nous léguer cette dette à nos enfants ?
Chaque année 120 000 fonctionnaires titulaires et 120 000 contractuels (hors titularisation et hors militaires) quittent la fonction publique. Soit 240 000 par an. Sur les trois fonctions publiques (Etat, collectivités territoriale, hospitalière) ce sont donc 1,2 million de fonctionnaires qui quittent la fonction publique en 5 ans. François Fillon a montré de 2007 à 2012 que le non remplacement d’un fonctionnaire sur deux est possible sans réduire la qualité du service public. Et que supprimer 500.000 postes sur le quinquennat est faisable et qu’il ne s’agit pas de geler les recrutements, puisque nous remplacerons un départ sur deux. Cela permettra de continuer à embaucher et de faire évoluer les profils en fonction des besoins, en privilégiant la voie contractuelle comme le ministère de la Défense fait depuis de nombreuses années. L’engagement de François Fillon porte du 500 000 postes en 5 ans et il ne gèlera donc pas les embauches, puisqu’il s’agit de remplacer 1 départ sur 2, ce qui permet de renouveler les profils. Il augmentera le temps de travail dans les fonctions publiques de 35 à 39 heures : C’est une question d’équité puisque parallèlement les 35 heures seront abolies dans le secteur privé et le temps de travail négocié en entreprise. Cela représente un volume d’heures équivalent à 500 000 postes et permettra d’améliorer l’organisation du travail dans les administrations. François Fillon engagera une négociation avec les représentants des fonctionnaires pour améliorer les conditions de travail et les perspectives de carrière Les compensations salariales seront ciblées et limitées, car la réduction de la dépense publique doit primer

Quant à ceux qui disent qu’il va creuser le déficit, ils n’ont pas du bien lire son programme. Cela frise la malhonnêteté intellectuelle. Nous hériterons d’une situation des finances publiques catastrophique en 2017. Dans son programme, il avait pris des hypothèses réalistes. Son estimation, faite en septembre 2016, montrait que nous devrions hériter d’un déficit de l’ordre de 4,7% en 2017. « Ce n’est pas le déficit de François Fillon, c’est celui de François Hollande ». Son programme serait le seul qui permet de revenir à l’équilibre en 2022 et de commencer à rembourser la dette. Si le déficit s’avère moins important que ce que nous avons anticipé, cela nous donnera des marges de manœuvres supplémentaires. Qu’en est-il du vôtre ?

Quand on dit que son programme risque de casser la croissance je vous demande, Monsieur Juppé de quelle croissance s’agit-il ? La France ne crée plus d’emplois. Il faudra donc un choc pour relancer cette croissance et créer des emplois. C’est ce qu’il propose dans son programme : 40 milliards de réductions de charges sociales et fiscales pour la compétitivité des entreprises, 10 milliards pour les ménages et pour leur pouvoir d’achat. Il nous faut ce choc pour relancer la machine et l’emploi. « Les mesures homéopathiques ne suffisent plus ».

Il faut enfin sortir du renoncement et avoir le courage de transformer le modèle économique et social français. Il faut adapter la France aux réalités du 21e siècle. C’est pour cela qu’il a présenté aux Français un diagnostic sans concessions. Et il nous propose un programme à la hauteur des défis que la France doit enfin relever.

Pourquoi avoir voté François Fillon ?
A l’épreuve du pouvoir, François Fillon s’est révélé comme l’un des “meilleurs” Premier ministre de la Ve République comme en témoigne sa popularité exceptionnelle dont il bénéficiait au bout des 5 années à Matignon. L’homme intègre a fondé son projet sur une exigence de vérité. Il n’a jamais rien caché de l’état de la France : il a été le premier à dire qu’il était par exemple à la tête d’un « Etat en faillite ». Aujourd’hui, il a fondé son projet sur un diagnostic lucide de la situation de la France car on ne peut administrer à la France qui est malade le bon remède si on ne fait pas le bon diagnostic. Son intégrité se traduit aussi par une exigence d’exemplarité très forte dans l’exercice de la fonction présidentielle : François Fillon ne sera pas un président des faits divers. Il fixe le cap, et s’engage dans l’action.

En plus de son programme, il est clair sur sa méthode. C’est cette méthode qui garantit le résultat : tout mettre sur la table, ” on ne peut réformer si l’on ne passe pas avec les Français avant l’élection un pacte de confiance consistant à leur dire ce que l’on fera et faire ce que l’on a dit Ne rien laisser au hasard”. Préparer dès aujourd’hui les grandes réformes, pour être prêt à appuyer sur le bouton d’exécution dès mai 2017 et mettre à la tête du pays une équipe de France expérimentée, ayant fait ses preuves et jouissant d’une autorité maximale

Nous avons besoin d’un calendrier précis des réformes et c’est ce dont il nous propose : agir vite et fort dans les 100 premiers jours après la présidentielle et engager les réformes fondamentales pour qu’elles soient bouclées dès le mois d’octobre 2017 avec un suivi rigoureux de la réforme avec le recours au référendum après la présidentielle pour éviter le « blocage de la rue », et continuer à entretenir l’élan de l’élection présidentielle, et appeler le peuple à trancher sur des sujets majeurs, comme la diminution du nombre de parlementaires ou le principe d’égalité des régimes sociaux. Ceux qui prétendent qu’on peut reformer la France en trois semaines par ordonnances ne sont pas sérieux

Dans son programme, la lutte contre les injustices a aussi sa place : injustices des revenus de l’assistance qui peuvent être supérieurs à ceux du travail, injustice du logement, injustices entre secteur public et le secteur privé : N’y-a-t’il y a des iniquités entre ces deux secteurs qui ne sont absolument plus justifiées de nos jours ?
En matière de politique étrangère, François Fillon n’est guidé que par une seule ligne : défendre les intérêts de la France. Pour lui la priorité est de vaincre l’Etat Islamique qui menace nos valeurs, notre territoire et souhaite nous imposer une idéologie mortifère.

C’est pour tout cela, le 27 novembre prochain, je Vote Fillon parce qu’il est le candidat de la Vérité, du courage et de l’intégrité, parce qu’il a le meilleur programme pour diminuer le chômage et réduire la pauvreté, parce qu’il défend l’apprentissage des fondamentaux et des valeurs à l’école, parce qu’il propose de baisser les charges salariales pour augmenter le pouvoir d’achat des Français, qu’il veut mettre la Famille au cœur de son projet pour notre société.

Dimanche 27 novembre, je Vote Fillon parce qu’il a toujours eu une position claire et constante sur la révision de la Loi Taubira, parce qu’il place le Numérique au cœur de son programme pour la croissance, parce que son projet sur le Numérique fera de la France une StartUp Nation, parce qu’il saura rétablir l’Autorité nécessaire dans notre pays, parce qu’il donnera plus de moyens aux forces de police pour réaliser leurs missions, parce qu’il consacrera plus de moyens à la Police, la Gendarmerie, la Justice et la Défense, parce qu’il s’engage à la construction de 16.000 places de prison pour mettre fin à l’impunité.

Je Vote Fillon parce qu’il est le seul à faire le diagnostic juste sur l’état du pays et proposer un projet à la hauteur , parce qu’il est le seul à porter un projet courageux pour redresser le pays, parce que son projet est le plus en rupture avec l’échec de la politique de François Hollande.

Je Vote Fillon parce qu’il a le meilleur projet pour les agriculteurs et qu’il est le candidat de la ruralité, parce qu’il s’engage à rétablir le jour de carence dans la fonction publique, parce qu’il supprimera les 35h et laissera le temps de travail se négocier au niveau des entreprises, parce qu’il donnera le dernier mot aux salariés en cas de blocage du dialogue social par le référendum d’entreprise.

Je Vote Fillon parce qu’il saura défendre les intérêts des Français face aux grandes puissances.
Je Vote Fillon pour son engagement sans faille pour défendre les Chrétiens d’Orient.
Je Vote Fillon parce qu’il sera le meilleur candidat de droite pour battre Marine Le Pen à la présidentielle, parce qu’il sera le meilleur candidat pour faire gagner la droite à la présidentielle,

Je Vote Fillon parce qu’il sera un Président capable de faire entendre la voix de la France à l’international.
Fillon Président Ce Serait un Président choisi par les Français, et non par des alliances de partis politiques.

Jinane CSM

Jinane Chaker Sultani Milelli
Jinane Chaker-Sultani Milelli est une éditrice et auteur franco-libanaise. Née à Beyrouth, Jinane Chaker-Sultani Milelli a fait ses études supérieures en France. Sociologue de formation [pédagogie et sciences de l’éducation] et titulaire d’un doctorat PHD [janvier 1990], en Anthropologie, Ethnologie politique et Sciences des Religions, elle s’oriente vers le management stratégique des ressources humaines [diplôme d’ingénieur et doctorat 3e cycle en 1994] puis s’affirme dans la méthodologie de prise de décision en management par construction de projet [1998].

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