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Le bras de fer diplomatique autour du mandat de la FINUL
À l’approche du renouvellement du mandat de la FINUL, un bras de fer diplomatique s’installe entre Washington, Paris et Beyrouth. Les États-Unis plaident pour une mission plus intrusive, tandis que la France défend le statu quo. Le Liban, pris en étau entre pressions extérieures et clivages internes, cherche à préserver sa souveraineté. Le sort de cette mission onusienne, essentielle à la stabilité du Sud, cristallise les tensions d’un pays en crise politique et sécuritaire.
Mandat de la FINUL : démentis américains, critiques israéliennes et négociations en coulisse
Alors que des rumeurs évoquaient un retrait de la FINUL, les États-Unis et les Nations unies ont formellement démenti. Le mandat de la mission onusienne reste au cœur de négociations diplomatiques complexes. Les critiques israéliennes, les pressions budgétaires et la coopération avec l’armée libanaise rythment le débat autour du renouvellement prévu en août. Sur le terrain, la mission fait face à des entraves et à une instabilité persistante le long de la Ligne bleue.
Tensions autour de la FINUL : patrouilles entravées, mandat contesté
Les tensions autour de la FINUL se sont accrues après de nouveaux incidents impliquant des patrouilles onusiennes dans le Sud-Liban. La mission des Nations unies dénonce des agressions répétées et rappelle son droit à circuler librement, avec ou sans l’armée libanaise. Ces développements interviennent alors que le renouvellement de son mandat est contesté au Conseil de sécurité. Entre incidents locaux et pressions diplomatiques, l’avenir de la FINUL suscite de vives inquiétudes.
FINUL sous tension : Paris et Washington en duel à Beyrouth
À l’approche d’un Conseil de sécurité crucial, la diplomatie s’active à Beyrouth. La visite simultanée de Jean-Yves Le Drian et Thomas Barrack incarne les tensions entre Paris, soucieuse de préserver la FINUL, et Washington, qui envisage un retrait. Le Liban, au cœur de ces tractations, tente de préserver son autonomie stratégique. Un duel diplomatique révélateur d’un multilatéralisme sous pression, à l’heure des choix cruciaux pour la stabilité au Sud.
FINUL, pressions croisées et fracture libanaise : entre jeu diplomatique, insécurité et déni institutionnel
La pression diplomatique et militaire autour du mandat de la FINUL révèle les fractures politiques et stratégiques du Liban. Entre tensions avec Israël, clivages internes sur le rôle du Hezbollah et dépendance à la sécurité internationale, la mission onusienne est plus que jamais au cœur des équilibres régionaux. Alors que la population du Sud craint un vide sécuritaire, les négociations à l’ONU illustrent les limites du multilatéralisme dans un pays en crise de souveraineté.
Guterres condamne les frappes sur Beyrouth au nom du droit humanitaire
Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a dénoncé les frappes israéliennes sur la banlieue sud de Beyrouth comme des violations possibles du droit international humanitaire. Il a appelé à la protection des civils, à un accès humanitaire immédiat, et à la documentation des faits. Une déclaration mesurée mais ferme qui replace le droit au centre du débat, malgré les blocages diplomatiques du Conseil de sécurité.
Moyen-Orient : une escalade militaire relance les tensions régionales
#CONFLIT: e 19 mars 2025, Israël a appelé à évacuer Beit Hanoun, Khirbet Khuza’a et Abasan al-Jadida à Gaza après des frappes tuant plus de 400 personnes, rompant un cessez-le-feu. Les Houthis ont attaqué une base israélienne depuis le Yémen, Hezbollah soutient Gaza, et des jets israéliens ont frappé Homs en Syrie. La Syrie a déposé une plainte à l’ONU, dénonçant une occupation, dans une escalade régionale appelant à une action internationale urgente.
Vote à l’ONU : l’Europe et les États-Unis en désaccord sur l’Ukraine
Les États-Unis et l’Europe s’affrontent à l’ONU sur l’Ukraine. Tandis que l’Union européenne exige un retrait immédiat des forces russes, Washington privilégie une approche plus diplomatique, appelant simplement à une paix négociée. Ce revirement s’inscrit dans la volonté de l’administration Trump d’ouvrir des discussions directes avec Moscou, sans Kiev ni Bruxelles. Le vote de lundi révélera si le soutien international à l’Ukraine reste intact ou si la lassitude diplomatique favorise la position russe.
Frontière sud : le Liban durcit le ton face aux infractions israéliennes
Le président libanais Joseph Aoun a convoqué une réunion d’urgence avec Nabih Berri et Nawaf Salam pour discuter des violations israéliennes à la frontière sud. Le Liban exige un retrait total d’Israël et s’appuie sur la résolution 1701 de l’ONU. Soutenu par une déclaration franco-américaine, le pays annonce quatre mesures pour renforcer sa position, dont une saisine du Conseil de sécurité. L’État libanais affirme sa détermination à défendre ses droits et sa souveraineté.
Sud Liban: Déploiement de l’armée et sécurisation des zones reprises
Tandis que l’armée libanaise déploie ses unités pour sécuriser les zones reprises, l’ONU appelle à respecter les accords de cessez-le-feu pour éviter une escalade.
Le Liban exige le retrait israélien et saisit le Conseil de sécurité
Lors d’une réunion à Baabda, les dirigeants libanais ont décidé de saisir le Conseil de sécurité pour exiger l’application stricte de la résolution 1701 et un retrait total des forces israéliennes encore présentes sur sept points stratégiques du sud du Liban. Tandis que l’armée libanaise déploie ses unités pour sécuriser les zones reprises, l’ONU appelle à respecter les accords de cessez-le-feu pour éviter une escalade.
Retrait israélien partiel du Sud-Liban : Maintien de l’armée israélienne dans cinq zones stratégiques...
L’armée israélienne devait finaliser son retrait du Sud-Liban le 18 février 2025, mais maintient sa présence dans cinq zones stratégiques, suscitant l’indignation de Beyrouth. Malgré les pressions internationales, Tel-Aviv invoque des impératifs sécuritaires pour justifier cette occupation partielle. La diplomatie tente d’éviter une escalade militaire, alors que le Hezbollah surveille de près l’évolution de la situation. Les tensions restent vives, et une réunion du Conseil de sécurité est attendue pour examiner les suites à donner à cette crise.
Les violations israéliennes de l’espace aérien libanais : une escalade programmée ?
Depuis plusieurs mois, Israël multiplie les violations de l’espace aérien libanais, intensifiant ses incursions militaires malgré les protestations de Beyrouth. Face à l’inaction des grandes puissances et au blocage diplomatique, le Liban explore différentes options pour contrer cette menace, allant de la mobilisation onusienne au renforcement de ses capacités de défense. Alors que les tensions régionales s’accroissent, cette escalade pourrait être un prélude à une nouvelle confrontation, mettant en péril la stabilité du pays.
La diplomatie libanaise face à l’intransigeance israélienne : quels leviers d’action ?
Alors que le Liban tente d’imposer le respect de l’accord de cessez-le-feu, Israël refuse de retirer ses troupes de plusieurs localités stratégiques. La diplomatie libanaise cherche à mobiliser ses alliés internationaux et régionaux, mais les résistances israéliennes et les hésitations des puissances occidentales compliquent la situation. Entre pressions onusiennes, recours juridiques et menaces de sanctions, Beyrouth explore différentes options pour défendre sa souveraineté sans basculer dans une confrontation militaire aux conséquences imprévisibles.