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Revue de presse israélienne: Une situation régionale en pleine ébullition

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Selon Shaharit et HaDerekh, les forces rebelles en Syrie ont lancé une offensive stratégique dans les régions d’Alep et de Hama, ciblant des positions importantes tenues par le régime d’Assad. Ces attaques, profitant des failles temporaires des défenses loyalistes, ont conduit à des gains territoriaux significatifs pour les insurgés. HaMevasser rapporte que ces succès ont forcé le régime à réorganiser ses troupes et à intensifier les frappes aériennes, appuyées par la Russie, afin de freiner cette progression.

Israël et le Hezbollah : la tension monte aux frontières
Au Liban, la frontière sud reste un point chaud. Selon HaModia, les frappes israéliennes se concentrent sur des infrastructures présumées utilisées par le Hezbollah pour stocker des armes transférées depuis l’Iran et la Syrie. Israël justifie ces actions comme nécessaires pour maintenir sa sécurité, mais Globes note que ces opérations intensifient la pression sur les populations civiles libanaises, poussant de nombreuses familles à quitter leurs foyers.

Crise humanitaire aggravée par les conflits
Les conflits en Syrie et au Liban aggravent une situation humanitaire déjà critique. Selon Jerusalem Post, des milliers de civils syriens fuient les zones de combat pour se réfugier dans des camps à la frontière turque, qui manquent de ressources essentielles. Au Liban, HaMevasser rapporte que les habitants des zones frontalières subissent des pénuries d’eau et d’électricité, et que les services de base sont insuffisants pour répondre aux besoins des évacués.

Gaza : le drame des otages israéliens
À Gaza, la question des otages israéliens détenus par le Hamas reste une priorité nationale. Yedioth Ahronoth décrit les négociations en cours comme lentes et complexes, malgré les efforts de médiateurs internationaux tels que l’Égypte et le Qatar. Les familles des otages appellent à une intervention plus rapide, tandis qu’Israël renforce ses pressions diplomatiques et militaires.

Enjeux géopolitiques régionaux
Les tensions locales s’inscrivent dans un cadre régional élargi. D’après Maariv, l’Iran continue d’intensifier son soutien militaire au Hezbollah et au régime syrien, en collaboration avec la Russie. Ces alliances stratégiques suscitent des préoccupations en Israël, qui surveille de près les mouvements transfrontaliers. HaDerekh souligne que ces développements pourraient déclencher une escalade régionale impliquant plusieurs acteurs majeurs.

Focus sur la situation en Syrie et au Liban

Syrie : une avancée rebelle sous le regard russe
Les rebelles syriens poursuivent leur progression dans les régions stratégiques d’Alep et de Hama, d’après HaDerekh et Shaharit. Ces gains territoriaux, rendus possibles par des failles dans les défenses loyalistes, mettent en difficulté le régime d’Assad. Les forces russes, alliées de Damas, intensifient leurs frappes aériennes pour contrer l’avancée des insurgés. HaMevasser rapporte que ces opérations militaires ont détruit plusieurs infrastructures civiles, alimentant une crise humanitaire croissante. Ces combats fragilisent encore davantage le nord de la Syrie, déjà touché par des années de conflit.

Liban : Israël cible les infrastructures du Hezbollah
Au Liban, les affrontements restent concentrés sur les zones frontalières. Selon HaModia et Globes, Israël a intensifié ses frappes contre des installations stratégiques du Hezbollah, accusées de stocker des armes acheminées par l’Iran. Ces attaques visent également à réduire les capacités de l’organisation chiite à répondre à des offensives militaires. Jerusalem Post souligne que ces frappes touchent souvent des zones civiles, aggravant les conditions de vie dans le sud du Liban.

Tensions entre Israël et le Hezbollah
Selon Yedioth Ahronoth, malgré un cessez-le-feu annoncé récemment, les deux camps restent sur le qui-vive. Le Hezbollah continue de renforcer ses positions défensives dans le sud du Liban, tandis qu’Israël surveille de près les mouvements militaires près de sa frontière nord. Cette situation, décrit Maariv, alimente les craintes d’une escalade rapide si l’un des deux belligérants dépasse les lignes rouges tacites.

Crise humanitaire dans les zones frontalières
D’après HaMevasser et HaModia, les populations civiles dans les zones touchées par les frappes israéliennes au Liban font face à des conditions de vie de plus en plus précaires. Les pénuries d’eau et d’électricité, associées à l’effondrement des infrastructures locales, poussent des milliers de personnes à se déplacer. En Syrie, HaDerekhrapporte que les combats dans le nord ont entraîné l’exode de dizaines de milliers de civils vers des camps de réfugiés à la frontière turque, où les ressources sont insuffisantes pour répondre aux besoins croissants.

Un équilibre régional précaire
Selon Maariv, les tensions en Syrie et au Liban s’inscrivent dans une dynamique régionale plus large, impliquant l’Iran, la Russie et Israël. L’Iran continue de fournir un soutien logistique et militaire au Hezbollah, tandis qu’Israël redouble d’efforts pour contrer ces activités. HaDerekh note que les affrontements actuels pourraient se transformer en une crise régionale plus vaste si les acteurs internationaux ne parviennent pas à calmer les tensions.

Politique locale

Israël : la gestion des tensions sous pression
En Israël, la gestion des conflits sur plusieurs fronts, notamment avec le Hezbollah au Liban et le Hamas à Gaza, exerce une pression croissante sur le gouvernement. Selon Yedioth Ahronoth et Maariv, le Premier ministre Netanyahu est critiqué pour son approche perçue comme insuffisamment décisive concernant les négociations pour la libération des otages à Gaza. Des voix au sein de la coalition appellent à des mesures plus fermes, tandis que l’opinion publique, frustrée par la lenteur des avancées, exige des résultats rapides.

Les régions frontalières israéliennes continuent de vivre sous la menace de tirs sporadiques et de tentatives d’infiltration. HaModia rapporte que les habitants de ces zones demandent une sécurité renforcée, alors que l’armée concentre ses efforts sur des frappes préventives et la surveillance accrue des frontières.

Liban : une paralysie politique prolongée
Au Liban, l’absence prolongée de consensus sur l’élection d’un président continue de bloquer toute avancée politique. Selon HaMevasser, cette impasse politique affaiblit la capacité du pays à faire face aux défis sécuritaires et économiques. Les factions politiques restent divisées sur des priorités essentielles, notamment la question de la gestion des tensions avec Israël et le rôle du Hezbollah dans la défense nationale.

D’après Globes, l’armée libanaise, sous-financée et mal équipée, joue un rôle limité dans les zones frontalières, laissant le Hezbollah comme principal acteur sur le terrain. Cette situation soulève des critiques internes, certains accusant l’organisation chiite d’agir en dehors des intérêts de l’État libanais.

Une crise économique qui alimente les tensions
La crise économique au Liban, exacerbée par les sanctions contre le Hezbollah, affecte également la dynamique politique. Selon HaDerekh, la population libanaise, confrontée à une inflation galopante et à une dévaluation continue de la livre libanaise, perd confiance dans les dirigeants politiques, qu’elle accuse d’inaction face à la situation. Ces conditions économiques précaires aggravent les tensions sociales, augmentant le risque de manifestations sporadiques.

Divisions au sein du gouvernement israélien
En Israël, les tensions internes au gouvernement s’intensifient. D’après HaMevasser, certaines factions politiques plaident pour une approche plus diplomatique dans la gestion des tensions avec Gaza, tandis que d’autres poussent pour des actions militaires plus agressives. Cette fragmentation complique la prise de décisions stratégiques, au moment où le pays est confronté à des défis sécuritaires et humanitaires majeurs.

Perspectives politiques locales
Selon Jerusalem Post et Maariv, l’instabilité politique actuelle au Liban et en Israël pourrait avoir des répercussions durables. Au Liban, la dépendance à des acteurs non étatiques comme le Hezbollah limite la capacité de l’État à agir de manière autonome. En Israël, l’incapacité à résoudre rapidement les crises en cours pourrait entraîner une érosion de la confiance dans le gouvernement, alimentant des appels à des élections anticipées.

Politique internationale

L’administration Trump et son rôle au Moyen-Orient
Selon Jerusalem Post et Globes, l’administration Trump intensifie ses efforts pour consolider les alliances stratégiques des États-Unis au Moyen-Orient. Washington met l’accent sur le soutien à Israël et l’imposition de sanctions économiques accrues contre l’Iran. Ces mesures visent à affaiblir l’influence régionale de Téhéran, notamment en Syrie et au Liban. D’après Yedioth Ahronoth, l’administration américaine pousse également pour une résolution rapide de la crise des otages israéliens à Gaza, mobilisant des médiateurs tels que le Qatar et l’Égypte.

L’Iran et la Russie : une alliance renforcée
D’après HaDerekh et HaMevasser, l’Iran continue de soutenir activement le Hezbollah et le régime syrien, en coordination avec la Russie. Téhéran fournit un appui logistique et militaire considérable, notamment par des transferts d’armes en direction du Liban via la Syrie. De son côté, Moscou intensifie ses frappes aériennes contre les positions rebelles dans le nord de la Syrie, tout en cherchant à maintenir sa présence économique dans la région. HaModiasouligne que cette collaboration stratégique entre la Russie et l’Iran représente un défi majeur pour Israël, qui surveille de près leurs activités.

L’Union européenne appelle à la désescalade
L’Union européenne, selon Globes, joue un rôle plus modéré, appelant à une désescalade des tensions dans la région. Les diplomates européens mettent l’accent sur l’importance d’une solution à deux États pour résoudre le conflit israélo-palestinien. Cependant, leur capacité à influencer la situation reste limitée, en raison de divergences internes entre les membres de l’Union et de leur faible implication militaire sur le terrain.

Pays du Golfe : coopération stratégique avec Israël
Selon Maariv, les monarchies du Golfe, notamment l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis, renforcent leurs liens avec Israël dans le cadre des accords d’Abraham. Ces accords visent à normaliser les relations diplomatiques et économiques, tout en coordonnant les efforts pour contrer l’influence iranienne dans la région. Ces rapprochements, d’après Jerusalem Post, marquent un tournant dans les relations géopolitiques au Moyen-Orient, bien qu’ils suscitent des critiques dans certains cercles arabes.

La Chine : une montée en puissance discrète
HaDerekh rapporte que la Chine adopte une stratégie prudente mais efficace pour renforcer son influence au Moyen-Orient. Pékin investit massivement dans les infrastructures, notamment dans les ports israéliens et les projets énergétiques en Iran. Bien que la Chine évite de s’impliquer directement dans les conflits régionaux, sa présence économique croissante redéfinit les équilibres de pouvoir dans la région.

Perspectives internationales
Selon HaMevasser et Globes, les tensions actuelles au Moyen-Orient reflètent des intérêts divergents entre les grandes puissances. Les États-Unis, la Russie, l’Iran, et la Chine poursuivent des objectifs souvent incompatibles, ce qui complique la recherche de solutions durables. Les enjeux énergétiques, notamment autour des ressources gazières de la Méditerranée orientale, ajoutent une couche supplémentaire de complexité à ces rivalités géopolitiques.

Économie

Impact des conflits sur les économies locales
Les affrontements en Syrie et au Liban, ainsi que les tensions prolongées avec Gaza, ont un impact significatif sur les économies locales. Selon Globes et HaModia, la Syrie subit des pertes économiques massives dues à la destruction des infrastructures et à la paralysie des secteurs productifs. Les zones contrôlées par les rebelles, particulièrement dans le nord, connaissent une stagnation économique aggravée par l’intensité des combats. De son côté, le Liban voit sa crise économique s’aggraver, en partie à cause des sanctions internationales visant le Hezbollah. HaMevasser rapporte que ces mesures restreignent considérablement les flux financiers dans le pays, exacerbant une situation déjà précaire.

Israël : résilience et défis économiques
En Israël, Globes souligne que les régions frontalières du nord, proches du Liban, subissent des pertes économiques importantes en raison des tensions persistantes. Les activités agricoles et industrielles sont paralysées dans ces zones, tandis que le secteur touristique, particulièrement dans le nord, est en déclin. Cependant, Israël bénéficie de la résilience de son secteur technologique, qui continue de croître malgré les défis sécuritaires. Les exportations de haute technologie permettent de compenser les pertes dans d’autres secteurs.

Gaz méditerranéen : un enjeu stratégique croissant
Le développement des ressources gazières offshore dans la Méditerranée orientale reste une priorité stratégique pour Israël. Selon Jerusalem Post, le pays accélère l’exploitation de ses gisements gaziers pour répondre à la demande européenne, notamment dans le contexte de la réduction de la dépendance au gaz russe. Ce développement économique renforce la position d’Israël comme acteur clé sur le marché énergétique régional. En revanche, le Liban peine à attirer des investissements dans ce secteur, en partie à cause de l’instabilité politique et des différends frontaliers avec Israël, comme le rapporte HaDerekh.

L’Iran face aux sanctions économiques
D’après HaModia et HaMevasser, l’Iran subit des pressions économiques accrues en raison des sanctions internationales renforcées par les États-Unis. Pour pallier ces restrictions, Téhéran intensifie sa coopération économique avec des partenaires comme la Chine et la Russie. Cette stratégie offre un certain répit, mais l’économie iranienne reste fragilisée, avec une inflation élevée et une dévaluation continue de sa monnaie.

Initiatives internationales de reconstruction
Selon Globes et HaDerekh, des initiatives internationales visent à financer la reconstruction des infrastructures en Syrie et au Liban, mais elles se heurtent à des défis considérables. Les problèmes de gouvernance, la corruption et l’insécurité limitent la mise en œuvre de ces projets. De plus, les donateurs internationaux hésitent à investir massivement sans garanties de stabilité à long terme.

Perspectives économiques régionales
Les tensions géopolitiques et les conflits prolongés freinent les perspectives économiques à court terme au Moyen-Orient. D’après Maariv, une stabilisation des tensions permettrait une reprise des investissements régionaux, notamment dans le secteur énergétique, mais cette hypothèse reste lointaine. En attendant, les économies locales, particulièrement en Syrie et au Liban, continuent de souffrir d’un manque de stabilité et de ressources, tandis qu’Israël tente de maintenir son dynamisme économique malgré les défis sécuritaires.

Justice

Syrie : accusations de crimes de guerre
Les conflits en Syrie continuent de générer des accusations de violations graves du droit international humanitaire. Selon HaDerekh et HaMevasser, les récentes offensives dans le nord du pays ont entraîné des pertes civiles massives, en partie dues aux frappes aériennes russes. Les rebelles et le régime d’Assad sont également accusés d’attaques aveugles contre des zones habitées. HaModia rapporte que des organisations internationales comme Human Rights Watch appellent à des enquêtes indépendantes sur ces crimes présumés, mais les perspectives de justice restent limitées en raison du veto russe au Conseil de sécurité de l’ONU.

Israël et le Hezbollah : procédures judiciaires internationales
En Israël, les autorités poursuivent leurs efforts pour cibler le Hezbollah sur la scène judiciaire internationale. Selon Jerusalem Post, des dossiers sont en cours de constitution pour documenter les liens financiers entre l’organisation chiite et ses soutiens internationaux. Ces démarches visent à geler les actifs du Hezbollah et à renforcer les sanctions économiques contre ses membres. HaMevasser précise que ces actions juridiques s’inscrivent dans une stratégie plus large visant à affaiblir le groupe à travers des moyens non militaires.

Plaintes contre les frappes israéliennes au Liban
Selon HaModia, les frappes israéliennes dans le sud du Liban, bien qu’annoncées comme ciblant des infrastructures militaires du Hezbollah, ont fait l’objet de critiques pour leurs impacts sur les civils. Des groupes de défense des droits humains dénoncent des violations potentielles du droit humanitaire international. Israël, de son côté, justifie ses actions comme des mesures défensives nécessaires face aux menaces transfrontalières posées par le Hezbollah.

Gaza : le statut des otages au cœur des débats
La détention d’otages israéliens par le Hamas à Gaza soulève des questions juridiques et humanitaires. Selon Globes et Maariv, Israël explore des options pour engager des démarches auprès de la communauté internationale afin d’obtenir leur libération. Les familles des otages appellent à une intervention rapide, tandis que des juristes israéliens plaident pour des sanctions renforcées contre le Hamas. Cependant, Jerusalem Post souligne que les efforts diplomatiques restent prioritaires pour éviter une escalade militaire.

Lutte contre l’impunité au Moyen-Orient
Selon HaDerekh, les récents développements au Moyen-Orient illustrent les lacunes des mécanismes internationaux de justice. Les divisions politiques entre les grandes puissances empêchent la mise en place de tribunaux spéciaux pour enquêter sur les crimes de guerre en Syrie ou sur les violations présumées au Liban. HaMevasser rapporte que des experts appellent à un renforcement des institutions internationales pour garantir une meilleure responsabilisation des acteurs impliqués.

Perspectives judiciaires
D’après HaModia, les efforts pour traduire en justice les responsables des violations au Moyen-Orient restent entravés par des considérations politiques et des alliances stratégiques. En Syrie, l’impunité prévaut pour les crimes commis par le régime d’Assad, soutenu par la Russie et l’Iran. Au Liban, la dépendance du gouvernement envers le Hezbollah limite toute initiative locale visant à enquêter sur les activités du groupe. Malgré ces obstacles, les appels à la justice continuent de croître, portés par des organisations de la société civile et des acteurs internationaux.

Société

Civils pris au piège des conflits
Les populations civiles en Syrie, au Liban, et dans les zones frontalières israéliennes continuent de subir les effets dévastateurs des affrontements prolongés. Selon HaDerekh, des milliers de Syriens ont été déplacés par les récents combats dans le nord du pays. Ces familles, fuyant les zones de conflit à Alep et Hama, se réfugient dans des camps déjà surpeuplés à la frontière turque. Les conditions de vie dans ces camps, souligne HaMevasser, sont précaires, marquées par un manque d’accès à l’eau potable, à la nourriture et aux soins médicaux.

Au Liban, HaModia rapporte que les habitants des zones frontalières touchées par les frappes israéliennes vivent dans une situation critique. Les coupures d’électricité et les pénuries d’eau aggravent leur quotidien, forçant de nombreuses familles à abandonner leurs maisons. Cette crise humanitaire est exacerbée par l’absence de soutien des autorités locales, qui peinent à répondre aux besoins des populations déplacées.

Stress et traumatisme en Israël
En Israël, les communautés vivant près des frontières avec Gaza et le Liban sont confrontées à une insécurité permanente. Maariv et Globes décrivent un climat d’anxiété croissante parmi les habitants, accentué par les sirènes d’alerte et les évacuations fréquentes. Les écoles dans ces régions fonctionnent par intermittence, et les entreprises locales signalent des pertes importantes en raison de la paralysie économique liée aux tensions sécuritaires. Les services sociaux israéliens intensifient leurs efforts pour fournir un soutien psychologique aux familles touchées.

Appels internationaux pour l’aide humanitaire
Selon Jerusalem Post et HaDerekh, les organisations humanitaires appellent à une mobilisation internationale pour répondre à la crise humanitaire dans les zones de conflit. En Syrie, les Nations Unies avertissent que les déplacements massifs de population exercent une pression insoutenable sur les infrastructures des camps de réfugiés. Au Liban, les ONG locales dénoncent l’insuffisance des ressources disponibles pour aider les communautés les plus touchées par les frappes israéliennes.

La résilience des communautés locales
Malgré des conditions de vie difficiles, les communautés affectées par les conflits montrent des signes de résilience. D’après HaMevasser, des initiatives locales au Liban visent à organiser des réseaux d’entraide pour fournir des vivres et des vêtements aux déplacés. En Israël, Globes rapporte que des collectes de fonds et des campagnes solidaires se multiplient pour soutenir les familles vivant près des frontières, offrant une lueur d’espoir dans un contexte tendu.

Perspectives sociales
Les tensions prolongées au Moyen-Orient, selon HaModia, risquent de laisser des traces durables sur le tissu social des pays affectés. En Syrie, les générations d’enfants grandissant dans les camps de réfugiés font face à un avenir incertain, avec un accès limité à l’éducation et aux opportunités économiques. Au Liban, la pauvreté croissante dans les régions frontalières alimente les frustrations contre les acteurs politiques, tandis qu’en Israël, l’insécurité constante continue d’éroder la qualité de vie des communautés du nord et du sud.

Culture

L’impact des conflits sur le patrimoine syrien
Les combats en Syrie continuent de menacer gravement le patrimoine culturel du pays. Selon HaDerekh, plusieurs sites historiques dans les régions d’Alep et de Hama ont été endommagés par les affrontements récents entre les forces loyalistes et les rebelles. Ces destructions s’ajoutent à une longue liste de pertes culturelles, exacerbées par les pillages et les attaques ciblées sur des monuments. Les efforts de conservation sont quasiment inexistants en raison des priorités militaires et humanitaires.

Résilience culturelle au Liban
Malgré les frappes israéliennes et la crise économique, le Liban tente de préserver son héritage culturel. HaMevasserrapporte que des initiatives locales visent à restaurer des bibliothèques, des musées et d’autres espaces culturels endommagés par les conflits. Cependant, le manque de fonds et les préoccupations sécuritaires ralentissent considérablement ces projets. Les artistes libanais, selon HaModia, continuent d’utiliser leurs œuvres pour dénoncer les ravages de la guerre et promouvoir des messages de paix et de solidarité.

La culture comme outil de résilience en Israël
En Israël, Maariv et Globes mettent en avant le rôle des événements culturels dans le soutien moral des communautés vivant près des zones de conflit. Des concerts, expositions et représentations théâtrales sont organisés dans des abris et des centres communautaires, offrant aux habitants un moment de répit face aux tensions. Le ministère de la Culture soutient également des initiatives artistiques visant à documenter la vie quotidienne des populations touchées par les affrontements, renforçant ainsi le rôle de la culture comme vecteur de résilience.

Appels internationaux pour la sauvegarde du patrimoine régional
D’après Jerusalem Post, les organisations internationales, telles que l’UNESCO, appellent à des efforts concertés pour protéger le patrimoine en danger au Moyen-Orient. En Syrie, les interventions pour restaurer les sites endommagés restent limitées par les conditions sécuritaires. Au Liban, les institutions culturelles locales sollicitent une aide financière et technique de la part des pays donateurs pour préserver ce qui peut encore l’être.

Perspectives culturelles
Selon HaDerekh et HaModia, la destruction du patrimoine culturel au Moyen-Orient laisse des cicatrices profondes sur l’identité collective des populations locales. En Syrie, la perte de sites historiques emblématiques représente un effacement de l’héritage national. Au Liban, la culture continue de jouer un rôle crucial dans la résilience des communautés, mais elle reste vulnérable face aux crises successives. En Israël, les initiatives artistiques témoignent de la capacité des citoyens à surmonter les défis grâce à la créativité et à la solidarité.

International

Les tensions régionales au cœur des préoccupations mondiales
Selon Jerusalem Post et HaDerekh, les récents développements en Syrie, au Liban, et à Gaza attirent l’attention de la communauté internationale. Les États-Unis, sous l’administration Trump, renforcent leur soutien à Israël tout en multipliant les sanctions contre l’Iran. Ce positionnement vise à affaiblir l’influence de Téhéran au Moyen-Orient, notamment son rôle dans le soutien au Hezbollah et au régime syrien. Ces initiatives américaines suscitent cependant des critiques de la part de certains acteurs internationaux, qui appellent à des approches moins coercitives.

La Russie et l’Iran solidifient leur alliance stratégique
D’après HaModia et HaMevasser, la Russie et l’Iran coordonnent leurs efforts pour maintenir le régime d’Assad au pouvoir en Syrie. Moscou intensifie ses frappes aériennes contre les positions rebelles dans le nord de la Syrie, tandis que Téhéran continue de fournir des armes et des conseillers militaires au Hezbollah et aux forces syriennes. Ces actions, perçues comme des provocations par Israël, alimentent des tensions croissantes dans la région.

Le rôle discret mais croissant de la Chine
Selon Globes, la Chine renforce discrètement son influence au Moyen-Orient en multipliant les investissements dans les infrastructures et l’énergie. Pékin collabore avec des partenaires comme l’Iran et la Syrie, tout en développant des projets stratégiques en Israël, notamment dans le secteur portuaire. Bien que la Chine évite de s’impliquer directement dans les conflits régionaux, sa présence économique croissante redéfinit les dynamiques de pouvoir dans la région.

L’Union européenne plaide pour la paix
D’après Maariv, l’Union européenne adopte une approche modérée, appelant à une désescalade des tensions dans la région. Les diplomates européens insistent sur l’importance de trouver une solution à deux États pour le conflit israélo-palestinien. Cependant, leur capacité à influencer les événements reste limitée, en raison de divergences internes entre les États membres et de leur faible présence militaire dans la région.

Les pays du Golfe approfondissent leurs relations avec Israël
Selon Jerusalem Post et HaModia, les monarchies du Golfe, en particulier l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis, continuent de renforcer leurs liens avec Israël dans le cadre des accords d’Abraham. Ces rapprochements se concentrent sur des projets économiques et technologiques, tout en visant à contenir l’influence iranienne. Ces relations, bien qu’encouragées par les États-Unis, suscitent des critiques dans le monde arabe, certains accusant ces pays de trahir la cause palestinienne.

Perspectives internationales
D’après HaDerekh et Globes, la région du Moyen-Orient reste un champ de bataille d’intérêts divergents entre les grandes puissances. Les États-Unis cherchent à consolider leurs alliances stratégiques, tandis que la Russie et l’Iran poursuivent leurs objectifs en Syrie et au Liban. La Chine, en arrière-plan, développe une influence économique discrète mais efficace. Ces rivalités, combinées aux enjeux énergétiques et sécuritaires, rendent toute résolution durable des tensions régionale difficile à envisager à court terme.

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