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Liban : adoption du projet de réforme bancaire
Le Liban vote une réforme bancaire historique, visant à restructurer un secteur en ruine et à répondre au FMI. Mais face à 73 milliards de dollars de pertes et une méfiance généralisée, le texte soulève des doutes.
Le secret bancaire et gestion des pertes au centre du débat de la nomination...
#CONTROVERSE: le Liban approuve un projet pour lever le secret bancaire, visant la transparence, selon Al Joumhouriyat. Mais Karim Souaid, gouverneur de la BDL, défend les banques face aux pertes de 72 milliards de dollars, invoquant la Constitution, suscitant des critiques (Al Liwa’). ONG et ministres exigent audits et fonds pour les déposants, dans un pays en crise où justice et confiance restent hors de porté
2019-2024 : En route pour l’effondrement financier final du Liban
De 2019 à 2024, les dépôts nominaux chutent de 170 à 88,39 milliards USD, les réels de 45-65 à 13-43 milliards USD. En 2024, les dépôts réels (15-49 % des nominaux) reflètent un schéma de Ponzi insoutenable. Le refus des banques en 2020 de restructurer, minimisant les pertes à 20 milliards USD contre 73 milliards USD (FMI), aggrave la crise. Les déposants, limités à 400 USD/mois à taux désavantageux, subissent un "haircut" de 75-90 %, contre 25-50 % possible en 2019 avec collaboration.
Secteur bancaire en crise : vers un « Bail-in » au Liban ?
#ECO: Le secteur bancaire libanais, en crise depuis 2019, envisage un "bail-in" pour absorber 70 milliards de dollars de pertes, selon Al Sharq (3 mars 2025). Ce mécanisme, recapitalisant les banques via les dépôts, suscite la fureur des épargnants, déjà privés d’accès à leurs fonds. Les associations exigent une enquête sur les milliards évaporés, tandis que le gouvernement Salam fait face à des pressions du FMI et à un Parlement divisé. Le Liban risque le chaos.
FocusLiban: Crise bancaire au Liban, Les leçons d’une gestion opaque
La crise bancaire au Liban, marquée par des pertes de 70 milliards de dollars et des restrictions sur les dépôts, illustre les failles d’un système opaque et politisé. Nawaf Salam, nouveau Premier ministre, devra restaurer la confiance des citoyens et mettre en œuvre des réformes structurelles profondes. Ces mesures incluent la recapitalisation des banques, une meilleure régulation et la protection des petits déposants. Cependant, il devra affronter des résistances politiques pour surmonter cette crise systémique.