Le Président de la République, le Général Michel Aoun, a déclaré, devant une délégation de familles de militaires libanais tués, qu’il ne signera aucune amnistie pour les individus condamnés suite à l’assassinat de soldats.

Cette information fait suite à des rumeurs concernant la possibilité de l’extension du projet d’amnistie à des personnes ayant participé à des combats contre l’institution militaire. Ce projet de pardon est le plus important depuis la fin de la guerre civile de 1975 à 1990.

La clarification du chef de l’état, le Général Michel Aoun, vise notamment les islamistes arrêtés lors des incidents de Denniyeh en 2000, de Nahr Bared en 2007 et des individus ayant visé, par des opérations terroristes les soldats de l’Armée à Saïda, à Tripoli ou encore à Aarsal depuis 2010.

Cette amnistie est notamment réclamée par les familles des ces individus alors que le Liban organise ses premières élections législatives depuis 10 ans. Elles seront prévues le 6 mai prochain.

1 COMMENTAIRE

  1. Ne jamais les amnistier!
    Ils diront que c’est Dieu qui les a aveugler en les poussant à décider d’une amnistie car ils étaient sur la bonne voie! Et ce afin qu’ils poursuivent leur combat avec plus de violence!

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