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Un gouvernement sous haute pression : Nawaf Salam promet des réformes pour sauver le...
Le Liban a un nouveau gouvernement dirigé par Nawaf Salam, officialisé après des négociations tendues sur la répartition des ministres. Le Premier ministre promet un gouvernement de réformes, condition essentielle pour stabiliser l’économie et relancer les négociations avec le FMI. Cependant, la présence de figures politiques traditionnelles et les résistances internes soulèvent des doutes sur sa capacité à agir. Ce gouvernement peut-il réellement transformer le pays ou sera-t-il un nouvel exécutif paralysé ?
Le Liban inaugure le gouvernement Nawaf Salam
Après plus de deux ans sans gouvernement fonctionnel, Joseph Aoun a signé le décret formant un gouvernement de 24 ministres dirigé par Nawaf Salam. Cette nomination met fin à une longue période de blocage politique, mais les défis restent immenses : crise économique, instabilité politique, reconstruction et négociations avec le FMI. Alors que la société civile réclame des réformes urgentes, ce gouvernement sera-t-il capable de répondre aux attentes ou restera-t-il paralysé par les tensions internes ?
Un endettement insoutenable : Comment le Liban en est arrivé là ?
La crise budgétaire libanaise atteint des niveaux critiques, avec une dette publique dépassant 150 % du PIB et un déficit aggravé par la chute des recettes fiscales. Le gouvernement peine à négocier une aide internationale face aux résistances politiques et économiques. Entre privatisations, restructuration de la dette et réduction des subventions, les options sont limitées et risquées. Sans réformes urgentes, le pays pourrait s’enfoncer davantage dans une crise économique et sociale sans précédent.
Edito: Réformes gouvernementales au Liban, un chemin semé d’embûches
Le Liban fait face à une crise sans précédent nécessitant des réformes urgentes. Entre la restructuration du secteur bancaire, la réforme fiscale et la privatisation de l’électricité, le gouvernement tente d’appliquer un programme ambitieux mais fortement contesté. Entre résistances politiques, pressions des institutions financières internationales et méfiance populaire, la mise en œuvre de ces réformes s’annonce particulièrement compliquée. La situation reste bloquée, illustrant les profondes divisions qui empêchent toute transformation structurelle du pays.