Tag: restructuration bancaire
Affaires bancaires et soupçons d’évasion de fonds : le retour d’un dossier explosif
#CORRUPTION: Un dossier explosif refait surface au Liban, révélant des transferts suspects de fonds par des banques vers Chypre, la Suisse, le Luxembourg et Malte, via des structures écrans. Alors que les épargnants étaient privés de leurs dépôts dès 2019, des cercles juridiques exigent la réouverture des enquêtes. Ces pratiques présumées de blanchiment menacent les négociations avec le FMI et ravivent la défiance envers les autorités, tandis que des plaintes collectives se préparent.
FocusLiban: Peut-on encore sauver le secteur bancaire libanais ?
En mars 2025, le secteur bancaire libanais, avec 70 milliards de pertes, vacille. Karim Souaïd mise sur l’or, évitant l’audit FMI, mais une restructuration ordonnée (bail-in, aide internationale) reste possible. Inspirée de Chypre ou de la Grèce, elle exige un consensus politique improbable. Sans réformes, l’effondrement menace, avec des conséquences sociales dévastatrices pour une population déjà à 80 % pauvre.
Karim Souaid : Un choix controversé à la tête de la Banque du Liban qui menace l’avenir du pays
#ANALYSE: Karim Souaid, soutenu par Joseph Aoun et une élite bancaire, propose d’utiliser les réserves d’or de la BdL pour compenser les déposants, une idée irresponsable face à une insolvabilité de 65 milliards de dollars. Hostile au FMI, il rejette les réformes nécessaires à un prêt de 3 milliards, préférant protéger les banques. Le Growth Lab prône dollarisation et restructuration, mais Souaid risque de prolonger la crise, sacrifiant une population déjà exsangue sur l’autel des intérêts particuliers.
Nawaf Salam met en avant la levée du secret bancaire comme clé de la...
#BANQUE: Le 24 mars 2025, Nawaf Salam, Premier ministre, a rencontré « Cri des déposants », insistant sur la levée du secret bancaire pour lancer la réforme financière et restituer les fonds gelés (93 milliards de dollars en 2019). Il exige des banques plus de capitaux et une restructuration, dans un Liban où la livre vaut 92 000 LBP pour 1 USD et 82 % des habitants sont pauvres. Les déposants réclament un audit pénal, mais les divisions politiques menacent ce projet.
FOCUSLIBAN: La situation monétaire au Liban se dégrade
#ECO: Le 24 mars 2025, le FMI revient à Beyrouth, où la livre libanaise s’échange à 92 000 pour un dollar, les réserves de la Banque du Liban tombent à 7,9 milliards, et 82 % des Libanais sont pauvres. Les réformes – banques, secteur public, budget – exigées pour débloquer 3 milliards d’aide stagnent. La dollarisation atteint 78 % des transactions, et l’économie s’effondre. Sans volonté politique, le pays de Nawaf Salam reste au bord du précipice.
Liban: La crise de liquidités et la défiance croissante envers les banques s’accentue
#ECO: Le 21 mars 2025, les banques libanaises font face à une crise de liquidités et à une défiance accrue des déposants. Des tensions émergent entre institutions refusant les règles de restructuration de la Banque du Liban, tandis que les retraits restent limités et les dollars convertis en livres à des taux défavorables. Cette situation pousse les Libanais vers le cash et les circuits informels, accentuant la crise bancaire.
Liban : réformes ou sanctions, l’ultimatum occidental
Washington et Bruxelles exigent des réformes urgentes au Liban, menaçant de sanctions les élites. Nawaf Salam face à une classe politique divisée, ce 20 mars 2025.
Liban : Nawaf Salam face à une crise institutionnelle insoluble
#Crise: e Liban s’enfonce dans une crise institutionnelle sous Nawaf Salam, entre blocages sur les réformes économiques, la gouvernance et les nominations judiciaires. Enjeux et tensions au 20 mars 2025.
2019-2024 : En route pour l’effondrement financier final du Liban
De 2019 à 2024, les dépôts nominaux chutent de 170 à 88,39 milliards USD, les réels de 45-65 à 13-43 milliards USD. En 2024, les dépôts réels (15-49 % des nominaux) reflètent un schéma de Ponzi insoutenable. Le refus des banques en 2020 de restructurer, minimisant les pertes à 20 milliards USD contre 73 milliards USD (FMI), aggrave la crise. Les déposants, limités à 400 USD/mois à taux désavantageux, subissent un "haircut" de 75-90 %, contre 25-50 % possible en 2019 avec collaboration.
Plan de restructuration bancaire : L’influence de l’ABL sur le draft law de Baabda...
#RESTRUCTURATION: Le draft law de Baabda, influencé par l’ABL, propose un « bail-in », une recapitalisation publique, des fusions, et un remboursement sur 10 ans via des obligations pour les dépôts de moins de 100 000 dollars.
Secteur bancaire en crise : vers un « Bail-in » au Liban ?
#ECO: Le secteur bancaire libanais, en crise depuis 2019, envisage un "bail-in" pour absorber 70 milliards de dollars de pertes, selon Al Sharq (3 mars 2025). Ce mécanisme, recapitalisant les banques via les dépôts, suscite la fureur des épargnants, déjà privés d’accès à leurs fonds. Les associations exigent une enquête sur les milliards évaporés, tandis que le gouvernement Salam fait face à des pressions du FMI et à un Parlement divisé. Le Liban risque le chaos.
Perspective: Comment Les banques libanaises ont-elles coulé l’État ?
#ECO: Les banques alpha libanaises, insolvables dès novembre 2019, ont précédé le défaut de l’État de mars 2020. Leur schéma de Ponzi, avec 148,77 milliards USD de dépôts fictifs, a précipité la crise. Incapables de diversifier leurs actifs, elles ont misé sur la dette souveraine et la BDL, s’effondrant avant l’État. Leur responsabilité, qu’elles esquivent, doit guider la restructuration bancaire pour éviter un nouveau désastre.
FMI : La dernière chance pour sauver l’économie libanaise ?
L'arrivée du FMI au Liban soulève de nombreuses interrogations. Entre promesse de stabilité économique et crainte d'une austérité dévastatrice, le pays se trouve à un tournant critique. Si les réformes proposées sont mises en œuvre efficacement, elles pourraient relancer l'économie, mais les risques sociaux et politiques demeurent importants.
Les dépôts du secteur privé au Liban atteignent 88,6 milliards de dollars fin 2024
Les dépôts du secteur privé au Liban atteignent 88,6 milliards de dollars fin 2024, mais seuls 22,4 milliards sont réellement accessibles. Depuis 2019, les banques libanaises limitent fortement les retraits, aggravant la méfiance des déposants. Sans un plan de restructuration clair, le secteur bancaire risque de rester en crise prolongée. Une intervention du FMI et une recapitalisation des banques sont nécessaires pour restaurer la confiance et débloquer progressivement les fonds des épargnants.