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Les 11 milliards de dollars de CEDRE et les 3 milliards du FMI pourraient relancer l’économie libanaise, à condition de réformes profondes. L’audit financier et la restructuration des banques sont des prérequis cruciaux pour rétablir la confiance. Face aux blocages internes, l’élection de Joseph Aoun et la désignation de Nawaf Salam symbolisent un espoir pour relancer les négociations et renforcer la souveraineté du Liban.
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