Tag: consommation
Les transferts de fonds vers le Liban atteignent 6,9 milliards USD en 2024, en...
Les transferts de fonds vers le Liban ont atteint 6,9 milliards USD en 2024, en hausse de 6 % sur un an. Ce flux, qui représente près de 30 % du PIB, est vital pour l’économie. Il soutient la consommation, compense la faiblesse des exportations et stabilise temporairement la monnaie. Mais sa bancarisation reste limitée, et son effet macroéconomique faible. Sans réformes, cette manne pourrait se tarir, aggravant la fragilité structurelle du pays.
En 2025, la TVA représente plus de 50 % des recettes fiscales du Liban
En 2025, la TVA représente plus de 50 % des recettes fiscales du Liban, selon le budget officiel. Cette concentration révèle une dépendance à l’imposition indirecte, socialement régressive, qui pénalise les ménages modestes. L’impôt sur le revenu reste faible malgré une hausse prévue de 135 %. Cette structure fragilise la soutenabilité budgétaire en cas de choc sur la consommation. Des réformes sont nécessaires pour rééquilibrer le système fiscal et renforcer son équité.
L’inflation alimentaire progresse de 6,8 % en janvier 2025 au Liban
#ECO: En janvier 2025, l’inflation alimentaire au Liban a atteint 6,8 % sur un an, affectant principalement les boissons, les fruits et les légumineuses. Les gouvernorats du Sud et de Baalbeck-Hermel enregistrent les hausses les plus fortes, conséquence des tensions géopolitiques et des perturbations logistiques. La dépendance du Liban aux importations et la volatilité des prix mondiaux laissent présager une persistance des tensions sur les prix alimentaires, accentuant la précarité des ménages
Hausse du salaire minimum au Liban : un remède au pouvoir d’achat ou une bombe inflationniste ?
#FOCUSECO: Un projet de loi au Liban propose un salaire minimum à 550 dollars pour relancer le pouvoir d’achat face à l’inflation. Mais cette mesure risque d’alimenter une spirale inflationniste et de détruire des emplois dans un secteur privé exsangue, incapable de suivre. Loin de doper la consommation durablement, elle pourrait creuser les inégalités et aggraver la crise, faute d’un plan économique solide dans un pays en ruines.
Fitch Solutions prévoit une amélioration de la consommation au Liban en 2025
Fitch Solutions prévoit une croissance de 4,1 % de la consommation au Liban en 2025, après une contraction de 18 % du PIB en 2024. Cette reprise serait portée par un cessez-le-feu stabilisateur, une baisse de l’inflation à 25,0 %, et une reprise des secteurs clés. Toutefois, la consommation réelle resterait 30 % inférieure à son niveau de 2019, nécessitant des réformes économiques durables pour assurer une croissance soutenue.
L’inflation annuelle atteint 12 % en 2024 au Liban, portée par l’éducation et l’alimentation
L’inflation au Liban a atteint 12 % en 2024, avec une hausse marquée des prix de l’éducation (+30,5 %) et de l’alimentation (+14,4 %). L’indice des prix à la consommation a augmenté de 11,7 % en décembre, impactant directement le pouvoir d’achat des ménages. Le coût des services financiers a explosé (+569,7 %), contribuant à l’inflation globale. L’absence de réformes économiques et les tensions monétaires laissent présager une poursuite de cette tendance en 2025.
L’activité commerciale au Liban en recul au deuxième trimestre 2024, un secteur toujours en...
Le secteur commercial libanais est en recul, avec une baisse de 18,2 % des ventes au deuxième trimestre 2024. L’effondrement du pouvoir d’achat, la dévaluation monétaire et la faillite du système bancaire ont réduit la consommation, notamment dans les secteurs de l’électroménager (-25,4 %), du textile (-21,7 %) et des produits électroniques (-19,8 %). Une relance du secteur dépendra de réformes économiques, d’un accès facilité aux devises et d’une stabilisation monétaire.
L’indice des prix à la consommation progresse de 22,1 % en octobre 2024 selon...
L’indice des prix à la consommation au Liban a progressé de 22,1 % en octobre 2024, reflétant l’impact de la crise économique. L’éducation (+310,7 %), les biens et services (+45,1 %) et les transports (+35,5 %) enregistrent des hausses record. Dans un contexte de dévaluation monétaire et d’inflation persistante, les ménages subissent une pression économique accrue.








