Tag: Taëf
Edito: Une minute de silence, un pas tardif vers la mémoire, 50 ans après...
#EDITO: Le 13 avril 2025, Nawaf Salam décrète une minute de silence pour les victimes de la guerre civile, un geste tardif brisant l’amnésie. Mais pourquoi si tard ? Les criminels, intouchables, menacent le chaos. Pourquoi un tribunal pour Hariri, pas pour les 150 000 morts ? Pourquoi protéger banquiers véreux et marchands d’armes ? Un État de droit est vital pour punir, empêcher la violence. Sans justice, la mémoire est vide, et le Liban risque de sombrer.
Yassine Jaber et l’ABL : un dialogue sous tension alors que Nawaf Salam pousse...
#DEPOTS: Yassine Jaber a rencontré l’ABL pour préparer les négociations avec le FMI, mais l’association, critiquée pour son inertie, bloque les réformes. Le même jour, Nawaf Salam, recevant des déposants, a exigé un audit juricomptable et la levée du secret bancaire.
Le ministère de l’Intérieur annonce les dates des élections municipales au Liban pour mai...
#DEMOCRATIE: Le 24 mars 2025, le ministre Ahmad Hajjar a annoncé les élections municipales : 4 mai au Mont-Liban, 11 mai dans le Liban-Nord et Akkar, 18 mai à Beyrouth, Bekaa et Baalbek-Hermel, et 25 mai dans le Liban-Sud et Nabatieh. Après des reports depuis 2016, ce scrutin sous Nawaf Salam est crucial, mais la crise (82 % de pauvres, livre à 92 000 LBP/USD) et les tensions, notamment à Baalbek-Hermel et au Sud, menacent sa tenue.
Nawaf Salam met en avant la levée du secret bancaire comme clé de la...
#BANQUE: Le 24 mars 2025, Nawaf Salam, Premier ministre, a rencontré « Cri des déposants », insistant sur la levée du secret bancaire pour lancer la réforme financière et restituer les fonds gelés (93 milliards de dollars en 2019). Il exige des banques plus de capitaux et une restructuration, dans un Liban où la livre vaut 92 000 LBP pour 1 USD et 82 % des habitants sont pauvres. Les déposants réclament un audit pénal, mais les divisions politiques menacent ce projet.
Gouvernement libanais : Nawaf Salam face aux défis de la répartition des portefeuilles
Le Premier ministre désigné Nawaf Salam s’efforce de former un gouvernement au Liban dans un paysage politique fragmenté. La répartition des portefeuilles, notamment les Finances et l’Intérieur, reflète les tensions entre blocs politiques, notamment le duo Hezbollah-Amal et les Forces libanaises. Les défis incluent l’application de la résolution 1701 et la gestion de la crise économique. Salam doit également composer avec les attentes de Joseph Aoun et un calendrier serré avant le retrait israélien prévu fin janvier.
Un gouvernement pour le changement ? Salam face aux blocs parlementaires
Nawaf Salam se prépare aux consultations parlementaires prévues les 15 et 16 janvier pour former un gouvernement capable de répondre aux défis du Liban. Après avoir rencontré le président Joseph Aoun et le Premier ministre sortant Najib Mikati, Salam a dévoilé ses priorités : réformes économiques, justice pour les victimes de l’explosion du port et application des dispositions de l’accord de Taëf. Ces consultations rassemblent les principaux blocs parlementaires pour garantir un consensus autour des priorités nationales.