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Tag: exportations libanaises

Le commerce extérieur du Liban en 2025 : exportations en hausse de 41,2 %,...

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#FOCUS: Les exportations libanaises ont progressé de 41,2 % début 2025, tirées par la flambée des métaux précieux, tandis que les importations augmentent de 4,1 %, toujours dominées par les produits pétroliers. La concentration des flux commerciaux vers des partenaires comme la Suisse masque la vulnérabilité structurelle du commerce extérieur du Liban. Le déficit commercial reste élevé à 2,2 milliards de dollars, et les perspectives demeurent incertaines face aux tensions géopolitiques et à l’absence de réformes internes.
مرفأ بيروت قبل الانفجار

Le déficit commercial du Liban diminue de 3,2 % au début de 2025 grâce...

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#ECO: Le déficit commercial du Liban s’est réduit de 3,2 % début 2025 pour atteindre 2,2 milliards de dollars, porté par une progression de 41,2 % des exportations. L’essor des ventes de métaux précieux et la diversification vers des marchés comme la Suisse ont permis une amélioration partielle de la balance commerciale. Toutefois, la dépendance aux importations énergétiques et la concentration des exportations sur des biens volatils soulignent la fragilité structurelle de l’économie libanaise.

Les États-Unis imposent un tarif de 10 % sur les exportations libanaises à compter...

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#TRUMP: À partir du 5 avril 2025, les exportations libanaises vers les États-Unis sont soumises à un tarif douanier de 10 %, impactant directement des secteurs clés comme les produits chimiques et l’agroalimentaire. Avec 153,15 millions de dollars exportés en 2024 vers ce marché, la mesure pèse sur la compétitivité des entreprises libanaises. Ce déséquilibre commercial, aggravé par une dépendance aux importations américaines, souligne la vulnérabilité de la stratégie d’exportation du Liban face aux pressions tarifaires.

Le Liban : vers un renouveau comme hub commercial régional?

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#PERSPECTIVE: Le #Liban peut redevenir un hub en renforçant ses échanges avec le Golfe et l’Europe. Si le Golfe échoue, le hinterland (Syrie, Irak, Iran) offre un volume et un chiffre d’affaires supérieurs malgré les défis. Dubaï a supplanté Beyrouth depuis 1970. Beyrouth et Tripoli peinent face à Haïfa et Suez, mais avec investissements et stabilité, le Liban pourrait relier ces marchés, défiant logistique et politique.