Tag: ingérences étrangères
Le Liban en contrechamp 1/5 : Du quadrillage du Liban par l’OTAN
René Naba soutient que l’OTAN quadrille le Liban, verrouillant airs, mers et frontières via alliés occidentaux, tandis que sanctions et ingérences affaiblissent l’État. Entre contrôle des points vitaux, soft power des fondations et pressions américaines, le pays devient un terrain d’influence, loin des récits lissés des médias occidentaux, selon l’auteur.
Edito: Pourquoi le Liban est-il le seul pays réellement démocratique au Moyen-Orient et non...
Le Liban, malgré ses crises et ses ingérences, demeure la seule démocratie pluraliste du Moyen-Orient. Son système confessionnaliste et sa société civile active contrastent avec Israël, souvent présenté comme un modèle mais accusé de théocratie, d’apartheid et de dérives autoritaires sous Netanyahu. Ce contraste met en lumière les fragilités libanaises mais aussi son effort unique pour préserver un espace démocratique dans un environnement régional autoritaire.
Le piège sombre d’Ahmad El Chareh : Quand la vengeance détruit la Révolution
L’accession d’Ahmad El Chareh au pouvoir après la chute d’Assad aurait pu marquer le renouveau de la Syrie. Mais sa gouvernance, marquée par la revanche sunnite et l’exclusion des minorités, a transformé l’espoir en fragmentation. Incapable de freiner les représailles, Chareh a ouvert la voie aux ingérences étrangères et au démembrement du pays. La révolution, détournée de sa promesse, se referme sur un échec politique dont les Syriens paient le prix.
Edito: Cinq collines, un cessez-le-feu, et une bénédiction américaine
Edito: À ce rythme, le sud du Liban va bientôt ressembler à une annexe officielle du Golan, avec des pancartes « Propriété d’Israël – Ne pas toucher » plantées sur chaque monticule. Ça va faire plaisir aux colons messianiques, tiens – un peu plus de terres grignotées pour leur grand projet divin, mais il y en aura encore à prendre jusqu’à l’Euphrate. Parce que, soyons clairs, cette occupation – pardon, cette « présence stratégique » – va à l’encontre des accords de cessez-le-feu qui, en théorie, étaient censés calmer le jeu.
Najib Mikati lance un appel à préserver la souveraineté nationale
Dans un contexte de crise multidimensionnelle, les déclarations de Naguib Mikati sur la souveraineté libanaise mettent en lumière les défis du pays. Entre l’occupation israélienne, les violations du cessez-le-feu, et les pressions économiques internationales, le Liban lutte pour préserver son indépendance. La vacance présidentielle et les divisions internes compliquent cette tâche, tandis que la dépendance envers les aides extérieures amplifie les vulnérabilités. Restaurer la souveraineté exige des réformes profondes et un soutien international plus ferme.
La crise de gouvernance au Liban selon Foreign Affairs
Le Liban traverse une crise de gouvernance aggravée par un système confessionnel défaillant et une corruption systémique. L’incapacité à mener des réformes structurelles, combinée à des ingérences étrangères, a plongé le pays dans une crise économique sans précédent. Le défi majeur reste la refonte du système politique pour éviter une perpétuation des cycles de crises. Une solution nécessitera un consensus national soutenu par des partenaires internationaux et des changements profonds.
L’instabilité au Moyen-Orient : le Liban au cœur des tensions
Le Liban se retrouve au cœur des tensions géopolitiques du Moyen-Orient, entre rivalités Iran-Arabie saoudite, la guerre Israël-Hamas et la crise syrienne. Victime des ingérences étrangères et d’une économie dévastée, le pays subit l’instabilité régionale tout en cherchant un rôle stratégique. Une réforme interne et une neutralité proactive pourraient offrir au Liban une chance de survie dans un environnement en mutation constante.
Le retour des milices au Moyen-Orient : quel avenir pour le Liban ?
Le retour des milices armées redessine le paysage géopolitique du Moyen-Orient, fragilisant des États déjà affaiblis. Au Liban, l’émergence de nouvelles factions et la réorganisation du Hezbollah après l’assassinat de Nasrallah accroissent le risque de confrontation. Les puissances régionales instrumentalisent ces milices, aggravant l’instabilité. Sans une autorité étatique renforcée et un soutien international, le Liban pourrait devenir un champ de bataille entre acteurs externes profitant du vide laissé par des institutions défaillantes.









