De nombreux jeunes considèrent qu’ils sont peu ou non concernés par la gouvernance actuelle au Liban. On leur promet certes des réalisations et un rôle plus large mais sans les convier à exposer leurs dispositions pour initier un processus de changement interactif et dynamique.
Cependant cela requiert chez les mentors et les suiveurs des tendances politiques diverses une réelle disposition pour écouter autrement et dialoguer vraiment avec des universitaires et tant de jeunes professionnels, avides de servir effectivement notre pays avec leurs potentiels.
Eux ne sont pas rodés à la routine des intérêts à plusieurs mais ambitieux de transmettre des raisonnements et des solutions pratiques pour répondre à de graves besoins élémentaires.
Ils constituent une large tranche de notre population qui peut faire de chaque idée utile un acte et de chaque innovation locale une économie de frais. Ce pouls neuf au sein du pouvoir est une incontournable différence positive qui ne va plus encore attendre pour souffrir comme leurs parents des néfastes conséquences d’un système politique en équilibre toujours précaire.
Grâce à leurs perceptions effectives du présent et de l’avenir, le progrès devient possible et tangible par la progression de nouvelles initiatives. Elles se nourrissent de recherches et d’avancées créatives qui considèrent des résolutions valables quand elles sont fonctionnelles, adaptées aux contextes et aux conditions divers et à la tolérance des libanais.
L’unité du rassemblement national ne s’annonce pas uniquement pour éviter le pire mais pour “..investir dans le capital humain à toutes les étapes du cycle de vie,…”