Tag: secteur bancaire Liban
Les efforts du Premier ministre Nawaf Salam pour rassurer ses partenaires étrangers sur les...
#ANALYSE: Nawaf Salam se démène pour convaincre le FMI, la France et l’Arabie saoudite avec des réformes choc : haircut bancaire, lutte contre la corruption, stabilisation monétaire. Mais le Hezbollah, les banquiers et les divisions internes paralysent tout. Sans succès, le Liban risque l’isolement total, une inflation à 300 % et un effondrement irréversible. Les prochaines semaines diront si Salam peut sauver son pays ou s’il s’effondrera avec lui.
Le soutien financier conditionné à des réformes profondes – Les exigences de Riyad
#Arabie: L’Arabie saoudite conditionne son aide au Liban à des réformes radicales : transparence, restructuration bancaire, lutte contre la corruption. Jadis généreuse, Riyad se méfie d’un pays miné par la crise et l’influence du Hezbollah. Sans ces changements, Beyrouth reste dans l’impasse, ses réserves s’épuisant et ses alternatives (UE, Chine) limitées. Pour Nawaf Salam, céder risque des tensions internes ; refuser, un effondrement total. Le Liban joue sa survie.
Crise économique au Liban : le FMI accueille favorablement la demande d’un nouveau programme...
#FMI: Le FMI salue la demande d’aide du nouveau gouvernement libanais, un espoir après des années de crise. Hyperinflation, banques en ruine et tensions régionales ont dévasté l’économie, plongeant 80 % des Libanais dans la pauvreté. Un prêt de 4 milliards pourrait relancer le pays, mais exige des réformes : restructuration bancaire, transparence, stabilité monétaire. Sans action rapide, le Liban risque un effondrement total en 2026.
Blocage institutionnel et crise des réformes au Liban : Le Parlement face à l’exécutif
#BLOCAGE: La paralysie institutionnelle au Liban bloque l’adoption de réformes essentielles, notamment sur le secteur bancaire et la lutte contre la corruption. Le Premier ministre Nawaf Salam fait face à l’opposition du Parlement, dominé par des forces politiques refusant des changements qui nuiraient à leurs intérêts. Entre pressions du FMI et tensions internes, le pays se retrouve dans une impasse, menaçant son économie et sa stabilité politique. Peut-il éviter un effondrement institutionnel ?
Secteur bancaire en crise : vers un « Bail-in » au Liban ?
#ECO: Le secteur bancaire libanais, en crise depuis 2019, envisage un "bail-in" pour absorber 70 milliards de dollars de pertes, selon Al Sharq (3 mars 2025). Ce mécanisme, recapitalisant les banques via les dépôts, suscite la fureur des épargnants, déjà privés d’accès à leurs fonds. Les associations exigent une enquête sur les milliards évaporés, tandis que le gouvernement Salam fait face à des pressions du FMI et à un Parlement divisé. Le Liban risque le chaos.
Revue de presse du 28/02/25: Israël obtient un feu vert américain pour maintenir ses...
L’actualité libanaise du 28 février 2025 met en lumière une crise économique persistante, avec une livre libanaise en forte dévaluation et des tensions politiques majeures. La diplomatie régionale s’accélère tandis que les affaires de corruption alimentent les débats judiciaires. Sur le plan culturel et sportif, les événements majeurs témoignent de la résilience du pays. Les nouvelles technologies et les médias émergent malgré les défis. Une revue de presse détaillée de la situation au Liban.
Revue de presse du 15/02/25: Une crise aérienne entre Beyrouth et Téhéran
Le Liban traverse une crise économique et sociale sans précédent, affectant tous les secteurs, de la justice au sport en passant par la technologie. L’instabilité politique et le blocage des réformes exacerbent l’effondrement du pays, tandis que l’exode massif des talents affaiblit encore plus ses perspectives d’avenir. Entre corruption, sanctions internationales et faillite du système bancaire, le Liban est à la croisée des chemins : pourra-t-il redresser son économie ou sombrera-t-il davantage ?
Les défis économiques du nouveau gouvernement : la réforme bancaire et l’accord avec le...
Le Liban est en faillite totale et le gouvernement de Nawaf Salam doit prendre des décisions cruciales pour relancer l’économie. Entre réforme bancaire, négociations avec le FMI et crise sociale, chaque choix est déterminant. Accepter l’accord du FMI signifie des réformes douloureuses, mais refuser pourrait condamner le pays à un isolement financier fatal. Le Liban est à un tournant, et les prochains mois décideront de son avenir économique et politique.
FocusLiban: Les banques responsables du blocage du marché immobilier
L’effondrement du système bancaire a provoqué l’arrêt total des crédits immobiliers au Liban, paralysant l’accession à la propriété et gelant le marché immobilier. Sans financement, seules les personnes disposant de dollars frais peuvent acheter un bien, excluant une majorité de la population. Pour relancer l’immobilier, des réformes bancaires et économiques sont indispensables, notamment la réintroduction progressive des prêts et la stabilisation du système financier. Sans intervention, la crise du logement s’aggravera.