L’ancien premier ministre Saad Hariri a estimé, dans des tweets, que la loi d’amnistie prévue pour tenter de contenir l’épidémie de coronavirus, devrait inclure les islamiques emprisonnés dont la peine de prison s’achèverait d’ici 6 mois. Il a également dénoncé les conditions d’incarcération “de centaines de prisonniers islamistes qui payent le prix du ralentissement des procès et qui sont détenus en détention préventive durant des années”.
En ce temps d’épidémie de coronavirus, ceux-ci doivent être pardonnés en premier. Nous avons précédemment rejeté une proposition de loi d’amnistie générale qui traitait injustement cette affaire. Aujourd’hui, il y a une épidémie qui présente des risques illimités pour la vie des citoyens. Une amnistie générale est devenue une demande urgente qui est plus importante que tous les calculs limités. Les considérations politiques ne sont plus acceptables