mardi, mai 20, 2025

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Revue de presse du 27/02/25: Un gouvernement libanais sous haute surveillance

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Le gouvernement de Nawaf Salam a obtenu un vote de confiance écrasant au Parlement libanais avec 95 votes favorables contre 12 opposants et 4 abstentions, marquant ainsi une étape politique clé (Al Joumhouriyat, 27 février 2025). Ce résultat traduit une volonté d’engagement vers des réformes économiques et administratives majeures, mais aussi un soutien international prudent, notamment de la part des puissances occidentales et des États du Golfe. Cependant, des tensions sont apparues au sein du Parlement, notamment avec les députés du Courant patriotique libre qui ont vivement critiqué certaines nominations et l’absence d’un plan concret pour résoudre la crise énergétique (Ad Diyar, 27 février 2025).

En parallèle, l’Arabie saoudite affiche un soutien conditionnel à cette nouvelle administration, ce qui pourrait faciliter des accords financiers et des investissements, mais impose également des attentes en matière de lutte contre la corruption et de stabilité sécuritaire (Al Liwa’, 27 février 2025).

Washington pousse à la normalisation avec Israël

Les États-Unis exercent une pression accrue sur Beyrouth et Damas pour engager un processus de normalisation avec Israël, à l’image des accords d’Abraham signés par d’autres pays arabes. Selon Nahar (27 février 2025), l’administration américaine voit dans ce rapprochement une opportunité de stabiliser la région, mais les résistances restent fortes au Liban, notamment du côté du Hezbollah et d’une partie de la classe politique.

Des contacts discrets auraient été établis entre responsables américains et libanais pour discuter des enjeux sécuritaires et économiques d’un tel rapprochement, en particulier sur l’exploitation des ressources énergétiques en Méditerranée orientale. La Syrie, quant à elle, semble plus réticente, bien que des négociations indirectes via la Russie soient en cours (Al Sharq Al Awsat, 27 février 2025).

Montée des tensions au Sud-Liban

La situation sécuritaire dans le sud du Liban reste tendue, avec une frappe israélienne présumée ayant ciblé un véhicule dans la région de la Bekaa. Selon Ad Diyar (27 février 2025), cette attaque aurait visé un cadre du Hezbollah impliqué dans des opérations en Syrie. L’armée israélienne n’a pas confirmé l’opération, mais le Hezbollah a dénoncé un acte d’agression qui ne restera pas sans réponse.

Par ailleurs, le gouvernement libanais se trouve dans une position délicate, cherchant à éviter une escalade militaire tout en assurant une réponse proportionnée à ces attaques. Selon Al Akhbar (27 février 2025), des discussions internes sont en cours pour renforcer la présence de l’armée libanaise dans cette zone et prévenir de nouvelles provocations israéliennes.

Israël intensifie ses frappes en Syrie

En parallèle, Israël a multiplié les frappes sur des positions militaires en Syrie, notamment dans le sud de Damas et à Deraa, ciblant des bases soupçonnées d’abriter des forces iraniennes et des membres du Hezbollah. Al Quds (27 février 2025) rapporte que ces attaques interviennent dans un contexte où Israël souhaite empêcher toute consolidation militaire iranienne en Syrie, alors que le pays traverse une période d’incertitude politique avec la transition vers une gouvernance post-Assad.

Ces attaques israéliennes ont également suscité une réaction du roi Abdallah II de Jordanie, qui a rencontré à Amman le président syrien intérimaire Ahmed Char’ pour évoquer la sécurisation des frontières et la lutte contre la contrebande d’armes et de drogue, de plus en plus préoccupante pour la Jordanie (Al Bina’, 27 février 2025).

L’Ukraine, enjeu central des tensions entre Trump et l’Europe

Sur le plan international, Donald Trump a provoqué un séisme diplomatique en déclarant que l’Ukraine ne rejoindrait jamais l’OTAN et que les États-Unis allaient imposer de nouvelles taxes douanières à l’Union européenne. Selon Nahar Int’l (27 février 2025), ces déclarations ont été accueillies avec consternation en Europe, notamment en France et en Allemagne, qui cherchent à renforcer leur autonomie stratégique face à une Amérique de plus en plus imprévisible.

Dans ce contexte, Volodymyr Zelensky doit se rendre à Washington pour négocier un accord sur l’exploitation des ressources minières ukrainiennes, perçu comme une tentative de marchandage de la part de Trump pour garantir le soutien américain en échange de concessions économiques majeures (Al Sharq Al Awsat, 27 février 2025).

Accord en vue entre Israël et le Hamas sur les prisonniers

Un accord partiel entre Israël et le Hamas semble avoir été trouvé, avec la libération de 620 prisonniers palestiniens en échange de quatre otages israéliens morts (Al 3arabi Al Jadid, 27 février 2025). Ce développement intervient après des semaines de blocage, marqué par des interventions du Caire et du Qatar pour débloquer la situation. Israël a cependant refusé d’inclure certains hauts responsables du Hamas dans l’accord, ce qui pourrait compromettre la deuxième phase des négociations (Al Akhbar, 27 février 2025).

Dans le même temps, un scandale a éclaté autour d’une vidéo générée par intelligence artificielle, publiée par des proches de Donald Trump, montrant une version futuriste de Gaza transformée en station balnéaire. Cette mise en scène a été perçue comme une provocation cynique par les Palestiniens et une stratégie de communication controversée (Al Quds, 27 février 2025).

Politique locale : Tensions parlementaires et défis du gouvernement Salam

Un gouvernement sous pression après le vote de confiance

Le gouvernement de Nawaf Salam a officiellement obtenu la confiance du Parlement avec 95 votes favorables, 12 opposants et 4 abstentions. Ce score marque une adhésion relativement large, mais il masque des divisions profondes au sein du paysage politique libanais. Selon Al Joumhouriyat (27 février 2025), le climat lors des débats parlementaires a révélé des tensions croissantes entre les blocs pro-gouvernementaux et les factions d’opposition, en particulier le Courant patriotique libre (CPL) de Gebran Bassil, qui s’est abstenu avant de boycotter les dernières discussions.

Le Premier ministre a promis une série de réformes prioritaires sur l’économie, la justice et la lutte contre la corruption, mais des désaccords internes risquent de compliquer leur mise en œuvreAd Diyar (27 février 2025)signale que le gouvernement devra aussi faire face à une pression accrue des bailleurs de fonds internationaux, qui exigent des réformes structurelles rapides avant de débloquer une aide financière.

Un front politique fracturé

L’alignement politique autour de Salam reste fragile. Le Hezbollah et le mouvement Amal ont soutenu le gouvernement, mais avec des réserves sur certaines nominations ministérielles, notamment dans les portefeuilles de l’Intérieur et de l’Économie (Al Akhbar, 27 février 2025). L’opposition, menée par le CPL et plusieurs figures indépendantes, critique un gouvernement manquant d’ambition et craint qu’il ne soit qu’une extension des précédentes administrations inefficaces.

Une autre source de tension majeure concerne le partage des postes clés dans l’administration publique. Selon Al Bina’ (27 février 2025), plusieurs ministres envisageraient une réorganisation de la haute fonction publique, ce qui inquiète les factions politiques soucieuses de préserver leurs positions acquises.

Un soutien international en demi-teinte

Malgré le soutien affiché par la France et les États-Unis, le Liban peine à convaincre ses partenaires internationauxde son engagement envers les réformes économiques et financières. Selon Al Sharq Al Awsat (27 février 2025), Paris a rappelé à Beyrouth la nécessité d’adopter rapidement un budget réaliste et de relancer les négociations avec le Fonds monétaire international (FMI), au point mort depuis plusieurs mois.

En parallèle, l’Arabie saoudite semble adopter une approche plus prudente. Selon Al Liwa’ (27 février 2025), Riyad attend des garanties claires sur la politique économique et sécuritaire du gouvernement avant de s’engager dans de nouveaux investissements. Un signe encourageant pourrait être une rencontre prévue la semaine prochaine entre Joseph Aoun et le prince héritier Mohammed ben Salmane, qui pourrait déboucher sur un plan d’aide économique spécifique.

Le spectre de nouvelles manifestations sociales

Sur le terrain, les promesses de réformes n’ont pas suffi à apaiser le mécontentement social grandissantAl Akhbar (27 février 2025) rapporte que plusieurs syndicats préparent des mobilisations pour exiger une hausse des salaires et des garanties sur le pouvoir d’achat, alors que l’inflation continue d’exploser.

Le prix des produits de première nécessité a encore augmenté ce mois-ci de 15 à 20 %, mettant en difficulté une grande partie de la populationAl 3arabi Al Jadid (27 février 2025) évoque une colère croissante dans les classes populaires, qui redoutent un resserrement budgétaire dicté par le FMI au détriment des aides sociales.

Dans ce contexte, le gouvernement se retrouve pris en étau : d’un côté, la nécessité d’appliquer des réformes impopulaires pour obtenir des financements, et de l’autre, la pression d’une opinion publique épuisée par la crise économique.

Les tensions autour de la réforme judiciaire

Un autre sujet sensible divise la classe politique : la réforme judiciaire. Nahar (27 février 2025) rappelle que les débats sont enlisés autour de l’indépendance du pouvoir judiciaire, un point crucial exigé par les instances internationales pour restaurer la confiance des investisseurs.

Plusieurs magistrats ont récemment dénoncé des pressions politiques sur les enquêtes sensibles, notamment celles concernant la corruption et l’explosion du port de Beyrouth. Selon Ad Diyar (27 février 2025)plusieurs dossiers impliquant des personnalités influentes restent bloqués, faute de décisions judiciaires indépendantes.

Le gouvernement a promis de renforcer l’autonomie des tribunaux, mais cette mesure rencontre l’hostilité de certaines factions politiques, qui craignent une remise en cause de leur influence sur l’appareil judiciaire.

Vers un remaniement anticipé ?

Dès son investiture, le gouvernement Salam est sous le feu des critiques. Certains analystes estiment qu’un remaniement ministériel pourrait être envisagé si les tensions persistent. Selon Al Bina’ (27 février 2025), plusieurs ministres seraient déjà sur la sellette, notamment ceux chargés de l’Énergie et des Finances, accusés de lenteurs dans la mise en place des réformes.

Dans ce contexte, le Premier ministre pourrait être contraint de réajuster son équipe pour éviter une crise gouvernementale prématurée.

Diplomatie : Entre pressions internationales et repositionnements régionaux

Un Liban sous influence internationale

Le Liban, bien qu’embourbé dans une crise économique et politique, demeure au cœur des stratégies diplomatiques internationales. La France, les États-Unis et l’Arabie saoudite surveillent de près l’évolution du gouvernement de Nawaf Salam, espérant des avancées sur les réformes et une plus grande stabilité politique. Selon Al Sharq Al Awsat (27 février 2025)Paris pousse Beyrouth à accélérer les discussions avec le FMI, tandis que Washington met l’accent sur les enjeux sécuritaires et la normalisation régionale avec Israël.

L’Arabie saoudite, quant à elle, adopte une position plus prudente, en attente de garanties concrètes sur les réformes économiques et la gestion des institutions publiques avant tout engagement financier. Al Liwa’ (27 février 2025) rapporte que des discussions sont en cours entre Riyad et Beyrouth sur une éventuelle aide économique conditionnée à des réformes structurelles, notamment sur la lutte contre la corruption et l’indépendance judiciaire.

Pressions américaines sur Beyrouth et Damas pour une normalisation avec Israël

Selon Nahar (27 février 2025), les États-Unis exercent une pression croissante sur Beyrouth et Damas pour amorcer un dialogue en vue d’une normalisation avec Israël. Washington, déjà impliqué dans les accords d’Abraham, verrait d’un bon œil une avancée dans les relations israélo-libanaises et israélo-syriennes.

Toutefois, le dossier est extrêmement sensible, notamment pour le Hezbollah, qui s’oppose fermement à toute reconnaissance d’Israël. Selon Al Akhbar (27 février 2025), cette question pourrait renforcer les divisions au sein du gouvernement libanais, certaines factions refusant toute discussion alors que d’autres, plus pragmatiques, envisagent des concessions pour garantir un soutien économique occidental.

Du côté syrien, le gouvernement intérimaire de Ahmed Char’, sous supervision russe, semble également soumis à des pressions américaines et russes pour amorcer un dialogue. Mais les frappes israéliennes répétées en Syrie, notamment à Deraa et dans le sud de Damas, compliquent tout processus diplomatique (Al Quds, 27 février 2025).

L’axe syro-jordanien se renforce face aux menaces transfrontalières

En parallèle, la diplomatie jordanienne s’active. Le roi Abdallah II a rencontré Ahmed Char’, le président intérimaire syrien, pour discuter de la sécurisation des frontières et de la lutte contre la contrebande d’armes et de drogue (Al Bina’, 27 février 2025). Amman craint que la Syrie en pleine transition ne devienne un espace de non-droitfacilitant les infiltrations djihadistes et le trafic illégal.

Lors de cette rencontre, la Jordanie a également dénoncé les frappes israéliennes sur la Syrie, les qualifiant de menace pour la stabilité régionale. Mais, comme le rappelle Al Sharq Al Awsat (27 février 2025)Amman reste proche des États-Unis et d’Israël, ce qui limite sa marge de manœuvre diplomatique.

Le Qatar et la Russie intensifient leur coopération

Sur un autre plan, le Qatar renforce ses liens avec la Russie. Une rencontre entre le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov et l’émir Tamim ben Hamad Al Thani s’est tenue à Doha pour discuter de coopérations énergétiques et de coordination diplomatique sur la Syrie et la Palestine (Al Quds, 27 février 2025).

Moscou, bien que fragilisé par la guerre en Ukraine et les sanctions occidentales, cherche des soutiens arabes pour diversifier ses relations économiques et diplomatiques. Le Qatar, de son côté, pourrait jouer un rôle de médiateur dans plusieurs dossiers régionaux, notamment la stabilisation de Gaza et des pourparlers indirects entre Moscou et Washington.

Les tensions entre la France et l’Algérie

Sur le front diplomatique, les relations franco-algériennes connaissent un nouveau cycle de tensions, alimenté par le refus de Paris d’extrader des opposants algériens recherchés par Alger. Al Sharq Al Awsat (27 février 2025)rapporte que le gouvernement algérien a riposté en restreignant l’accès à plusieurs entreprises françaises sur son territoire et en durcissant ses conditions de visa pour les ressortissants français.

Cette crise s’inscrit dans un contexte de tensions historiques entre les deux pays, où la mémoire coloniale et les enjeux économiques continuent d’être des points de friction récurrents.

L’Europe face aux menaces protectionnistes de Trump

Sur le plan global, Donald Trump a une fois de plus pris l’Europe de court, annonçant que les États-Unis allaient imposer de nouvelles taxes douanières à l’Union européenne en réponse à ce qu’il appelle un « déséquilibre commercial structurel » (Nahar Int’l, 27 février 2025).

L’Union européenne, notamment la France et l’Allemagne, s’inquiète de l’impact économique de ces nouvelles barrières commerciales et cherche à renforcer son autonomie stratégiqueAl Sharq Al Awsat (27 février 2025)indique que les ministres des Finances du G20 discutent actuellement des réponses à adopter face à cette nouvelle posture américaine, qui remet en question les bases du libre-échange transatlantique.

Politique internationale : Reconfigurations stratégiques et tensions globales

La crise ukrainienne au centre des tensions entre Trump et l’Europe

Les déclarations de Donald Trump sur l’Ukraine ont provoqué une onde de choc diplomatique. Lors d’une conférence de presse, le président américain a déclaré que Kyiv devait « oublier » toute ambition d’intégration à l’OTAN, une prise de position qui aligne Washington sur les exigences de Moscou et remet en question le soutien occidental à l’Ukraine (Nahar Int’l, 27 février 2025).

Selon Al Sharq Al Awsat (27 février 2025), Trump a également annoncé de nouvelles taxes sur les importations européennes, ajoutant ainsi une dimension économique au bras de fer diplomatique. Paris et Berlin ont réagi avec fermeté, soulignant leur engagement à soutenir Kyiv, tandis que l’UE cherche à renforcer son autonomie stratégique pour réduire sa dépendance aux décisions américaines.

En parallèle, le président ukrainien Volodymyr Zelensky doit se rendre à Washington, où il espère obtenir des garanties sécuritaires et économiques en échange d’un accord sur l’exploitation des ressources minières ukrainiennes par des entreprises américaines (Al Sharq Al Awsat, 27 février 2025).

La guerre en Syrie et les ambitions régionales de l’Iran

Israël a intensifié ses frappes aériennes sur des positions militaires en Syrie, visant des infrastructures soupçonnées d’abriter des membres du Hezbollah et des forces iraniennes (Al Quds, 27 février 2025). Le gouvernement israélien justifie ces attaques en affirmant vouloir empêcher la consolidation militaire iranienne en Syrie, alors que le pays traverse une période d’instabilité avec la transition politique post-Assad.

Dans ce contexte, Téhéran renforce ses liens avec Moscou, cherchant à accroître sa présence militaire et technologique dans la région. Al Sharq Al Awsat (27 février 2025) rapporte que des négociations sont en cours pour un renforcement de la coopération militaire russo-iranienne, ce qui inquiète Israël et les États-Unis.

Accord fragile entre Israël et le Hamas sur les prisonniers

Un accord partiel entre Israël et le Hamas a été conclu sous l’égide de médiateurs égyptiens et qatariens, aboutissant à la libération de 620 prisonniers palestiniens en échange de quatre otages israéliens morts (Al 3arabi Al Jadid, 27 février 2025). Cet échange intervient après des semaines de blocage, où Israël exigeait des garanties sur les futurs engagements du Hamas en matière de sécurité.

Cependant, des tensions persistent sur la deuxième phase des négociations, qui concerne les prisonniers de haut niveau du HamasAl Akhbar (27 février 2025) rapporte que Netanyahu fait face à des pressions internes, notamment de son aile droite, qui rejette toute concession supplémentaire.

Dans ce contexte, un scandale a éclaté après la diffusion d’une vidéo générée par intelligence artificielle, montrant une version futuriste de Gaza transformée en station balnéaire, avec Donald Trump et Benjamin Netanyahu y figurant comme investisseurs principaux. Cette initiative, lancée par des proches de l’ex-président américain, a été perçue comme une provocation cynique, surtout dans un climat de crise humanitaire à Gaza (Al Quds, 27 février 2025).

Le Soudan en proie à une crise politique majeure

Au Soudan, la formation d’un gouvernement parallèle soutenu par des factions militaires et des groupes rebellesexacerbe les tensions internes et l’instabilité régionaleAl Sharq Al Awsat (27 février 2025) rapporte que la capitale kényane Nairobi a accueilli des pourparlers entre ces factions, une initiative perçue comme une tentative d’imposer un pouvoir alternatif au gouvernement central de Khartoum.

Face à cette menace, le gouvernement soudanais a annoncé des représailles contre le Kenya, en restreignant le passage aérien et le commerce bilatéral. Cette situation risque de déstabiliser davantage un pays déjà fragilisé par des années de guerre civile et d’intervention étrangère.

L’Arabie saoudite et les États du Golfe entre repositionnement et prudence

L’Arabie saoudite poursuit une diplomatie pragmatique, cherchant à consolider ses alliances stratégiques sans s’aligner ouvertement sur Washington. Selon Al Liwa’ (27 février 2025), Riyad est en négociation avec la Chine et la Russie pour diversifier ses partenaires économiques et militaires, tout en maintenant une relation équilibrée avec les États-Unis.

Le prince héritier Mohammed ben Salmane s’apprête à recevoir plusieurs dirigeants internationaux, dont Joseph Aoun, pour discuter de la situation au Liban et des possibilités d’aide financière. Cette rencontre pourrait être décisive pour le futur économique du Liban, qui dépend en grande partie des investissements saoudiens.

Les défis du sommet du G20 et la menace sur la croissance mondiale

Le sommet des ministres des Finances du G20, qui se tient actuellement en Inde, se focalise sur les tensions économiques croissantes, notamment en raison des politiques protectionnistes de Donald Trump. Al Sharq Al Awsat (27 février 2025) rapporte que les discussions portent principalement sur l’inflation mondiale, les taux d’intérêt élevés et la fragmentation du commerce international.

Les pays européens, en particulier la France et l’Allemagne, tentent de convaincre leurs homologues asiatiques de renforcer leur coopération face aux menaces américaines, mais la position de la Chine reste ambivalente, préférant négocier directement avec Washington.

Économie : Pressions financières, réformes sous contrainte et crise énergétique

Un gouvernement sous pression pour relancer l’économie

Le gouvernement de Nawaf Salam fait face à une pression intense pour accélérer les réformes économiques nécessaires à la relance du Liban. Selon Al Joumhouriyat (27 février 2025), la priorité est de stabiliser la monnaie nationale, dont la valeur continue de fluctuer fortement sur le marché parallèle.

Le Premier ministre a promis une réforme du secteur bancaire, un dossier sensible qui oppose les créanciers internationaux et les déposants libanais, toujours en attente d’un plan de remboursement des fonds bloqués. Ad Diyar (27 février 2025) rapporte que le gouvernement planche sur une loi de restructuration bancaire qui permettrait de protéger les petits déposants tout en imposant des pertes aux grandes fortunes et aux actionnaires des banques.

Cependant, les négociations avec le FMI stagnentAl Sharq Al Awsat (27 février 2025) souligne que le Fonds monétaire international exige des garanties sur la lutte contre la corruption et l’indépendance du pouvoir judiciaire avant tout déblocage de fonds. Ces conditions, bien que cruciales, sont fortement contestées par certaines factions politiques qui craignent une ingérence internationale accrue.

L’Arabie saoudite et la France en arbitres financiers

Face aux blocages avec le FMI, Riyad et Paris tentent d’offrir des alternativesAl Liwa’ (27 février 2025) indique que l’Arabie saoudite envisage un programme d’aide conditionnelle, axé sur des projets d’investissement ciblés plutôt que sur un simple soutien budgétaire.

De son côté, la France pousse Beyrouth à adopter une approche plus rigoureuse en matière de transparence financière. Lors d’une réunion récente, Paris aurait exprimé ses réserves sur la gestion des finances publiques libanaises, soulignant le risque d’un détournement des fonds destinés à la reconstruction.

Une inflation incontrôlée et une crise du coût de la vie

Le quotidien des Libanais reste marqué par une inflation galopanteAl Akhbar (27 février 2025) rapporte que les prix des produits alimentaires ont augmenté de 18 % en un mois, accentuant la précarité de larges franges de la population.

Le gouvernement tente de stabiliser les prix des denrées de base en instaurant des subventions ciblées, mais ces mesures sont critiquées pour leur efficacité limitée et leur coût budgétaire élevéAl 3arabi Al Jadid (27 février 2025) met en avant la frustration grandissante des classes moyennes, qui voient leurs revenus s’éroder face à la hausse des prix et l’effondrement des services publics.

En parallèle, le secteur privé libanais continue de souffrir, avec une augmentation du taux de chômage à près de 40 %Al Bina’ (27 février 2025) indique que plusieurs entreprises ont fermé leurs portes ces derniers mois, faute de pouvoir accéder à des crédits ou faire face aux hausses de coûts.

Une dette publique insoutenable

Le Liban reste l’un des pays les plus endettés au monde, avec une dette qui dépasse 170 % du PIBAd Diyar (27 février 2025) révèle que le gouvernement envisage une renégociation de la dette extérieure, mais les créanciers restent réticents à tout nouvel allègement sans garanties économiques sérieuses.

Un scénario redouté par les experts est celui d’un défaut prolongé, qui limiterait les capacités d’emprunt du Liban sur les marchés internationaux, aggravant encore plus la crise financière.

Une crise énergétique persistante et des solutions précaires

Le Liban continue de faire face à des pénuries d’électricité chroniques, avec des coupures qui durent jusqu’à 18 heures par jour dans certaines régions. Selon Al Akhbar (27 février 2025), la situation est exacerbée par les dettes de l’État envers les fournisseurs de carburant, qui refusent désormais de livrer sans paiements anticipés.

Les dernières estimations indiquent que le Liban doit plus de 2 milliards de dollars aux compagnies pétrolières, ce qui complique l’approvisionnement régulier en fioul pour les centrales électriques. Le gouvernement a bien tenté de négocier un accord avec l’Irak pour des livraisons de pétrole à crédit, mais les discussions restent au point mort(Al Sharq, 27 février 2025).

Une alternative envisagée serait un renforcement du partenariat avec l’Égypte et la Jordanie, qui pourraient fournir du gaz naturel à des conditions avantageuses. Cependant, ces accords sont entravés par des enjeux géopolitiques, notamment le blocage du gazoduc traversant la Syrie, pays sous sanctions internationales.

Un secteur immobilier en crise malgré des opportunités d’investissement

Le marché immobilier libanais traverse une phase de ralentissement, avec une baisse des prix de 20 % sur les biens de luxe, mais un maintien de la demande pour les logements de classe moyenneNahar (27 février 2025) souligne que des investisseurs étrangers, notamment du Golfe, commencent à racheter des biens à bas prix, ce qui pourrait stabiliser le marché dans les mois à venir.

Cependant, les perspectives de relance restent incertaines, en raison du manque de financements bancaires et des craintes sur la stabilité politique.

Justice : Enjeux judiciaires et blocages institutionnels

La réforme judiciaire, un dossier toujours bloqué

La question de la réforme du système judiciaire reste un sujet brûlant au Liban, alors que les pressions internationales pour garantir l’indépendance des magistrats se heurtent à de vives résistances politiques. Selon Nahar (27 février 2025)le gouvernement de Nawaf Salam peine à imposer des changements structurels en raison de blocages institutionnels et d’ingérences politiques.

Le principal point de friction concerne la nomination des juges et la gestion des dossiers de corruptionAl Akhbar (27 février 2025) rappelle que plusieurs enquêtes sensibles sont toujours en suspens, notamment celles liées au détournement de fonds publics et à l’explosion du port de Beyrouth.

L’enquête sur l’explosion du port de Beyrouth au point mort

L’une des affaires les plus symboliques du manque d’indépendance de la justice reste celle de l’explosion du port de Beyrouth en août 2020Ad Diyar (27 février 2025) souligne que les pressions politiques ont conduit à l’arrêt de l’enquête depuis plusieurs mois.

Le juge chargé du dossier, Tarek Bitar, continue d’être la cible de pressions politiques et judiciaires, empêchant toute avancée significative. Plusieurs hauts responsables, y compris des anciens ministres et des figures influentes du Hezbollah et du mouvement Amal, sont accusés d’entraver la justice pour éviter des inculpations de haut niveau.

Selon Al Sharq Al Awsat (27 février 2025)les familles des victimes ont intensifié leur mobilisation pour réclamer une reprise immédiate de l’enquête, appelant la communauté internationale à exercer plus de pression sur le gouvernement.

La lutte contre la corruption, un chantier paralysé

Alors que la corruption a coûté des milliards de dollars à l’État libanais, les efforts pour poursuivre les responsables politiques et économiques restent minimes. Selon Al Bina’ (27 février 2025)seuls quelques dossiers mineurs ont abouti, tandis que les grandes affaires sont bloquées par des jeux d’influence au sein de l’appareil judiciaire.

Parmi les cas emblématiques, l’affaire des banques libanaises et leur rôle dans l’effondrement économique reste sans réponse. Plusieurs grands banquiers et anciens ministres des Finances sont suspectés d’avoir manipulé les taux de change et dissimulé des fonds, mais aucune inculpation majeure n’a été prononcée.

Dans ce contexte, Al Liwa’ (27 février 2025) souligne que les pays donateurs hésitent à soutenir financièrement le Liban, tant que la justice ne démontre pas une réelle volonté de combattre la corruption.

Les ingérences politiques dans le système judiciaire

Le principal obstacle à une réforme judiciaire efficace est l’ingérence des partis politiques dans les nominations des juges et les décisions judiciaires. Selon Al 3arabi Al Jadid (27 février 2025)plusieurs magistrats se sont plaints de pressions directes, certains ayant même été menacés lorsqu’ils tentaient de rouvrir des dossiers sensibles.

Le Conseil supérieur de la magistrature, censé garantir l’indépendance des juges, est lui-même soumis à des influences partisanesAl Joumhouriyat (27 février 2025) rapporte que des désaccords internes freinent toute tentative de réforme, laissant la justice dans un état de paralysie.

Pressions internationales pour des réformes judiciaires

Face à cette situation, les États-Unis, la France et l’Union européenne ont conditionné leurs aides financières à des avancées dans la réforme judiciaireAl Sharq Al Awsat (27 février 2025) indique que Washington envisage même des sanctions contre des responsables politiques accusés de bloquer les enquêtes judiciaires.

Cependant, ces menaces restent limitées, et aucune mesure concrète n’a encore été prise. Pour le moment, le gouvernement Salam tente d’éviter un affrontement direct avec les partis politiques, tout en maintenant un discours favorable à la réforme de la justice.

Le cas de la magistrature militaire

Un autre point de tension concerne les tribunaux militaires, qui sont régulièrement accusés d’être utilisés comme un outil de répression politiqueAl Akhbar (27 février 2025) rapporte que des opposants politiques et des activistes ont été traduits devant la justice militaire, soulevant des critiques sur le manque de transparence et les violations des droits de l’homme.

La communauté internationale a plusieurs fois demandé une limitation des prérogatives de la justice militaire, mais le gouvernement libanais ne semble pas prêt à engager une réforme en profondeur sur ce sujet.

Culture : Nouvelles dynamiques et influences artistiques

Littérature libanaise : un espace de mémoire et de résistance

La scène littéraire libanaise reste dynamique malgré les crisesHoda Barakat et Alexandre Najjar figurent parmi les auteurs en lice pour des prix internationaux, mettant en lumière une production littéraire qui explore les fractures identitaires et les souvenirs de guerre​.

Par ailleurs, un nouveau recueil de poésie de Hobeika Younes, intitulé Liban Plus Grand, revisite l’histoire du pays à travers des vers engagés. Ce livre sera présenté lors d’un événement à la Maison de la Culture d’Antélias en mars​.

Le cinéma libanais en quête de reconnaissance

Le film « Baï Baï Tiberiade », réalisé par Lina Soualem, a été projeté au Metropolis de Beyrouth après avoir été présenté au Festival de Venise. Ce documentaire suit quatre générations de femmes palestiniennes exilées, reliant ainsi mémoire collective et identité fragmentée​.

De plus, « Yalla Parkour », un documentaire sur les jeunes de Gaza utilisant le sport comme forme de résistance, a reçu un accueil enthousiaste lors du Festival de Berlin, où il représentait une nouvelle vague de cinéma arabe indépendant​.

Le théâtre libanais se réinvente face aux défis

Le Théâtre al-Madina annonce la reprise de pièces contemporaines traitant de la mémoire collective et de la satire politique. Selon Al Joumhouriyat (27 février 2025), la pièce Le Cri de Beyrouth, écrite par Fadi Abi Samraexplore la vie après l’explosion du port, mêlant tragédie et comédie noire​.

Musique : entre héritage et modernité

La scène musicale libanaise reste vivace. Marcel Khalifé, toujours actif, a annoncé une tournée européenne où il mettra en avant des mélodies traditionnelles revisitées​.

De plus, la pop libanaise s’exporte bien, notamment grâce à Yasmina, une artiste qui a récemment signé avec un label européen​.

Agenda culturel à venir

  • Festival du Film Libanais Indépendant – Projections et rencontres avec les réalisateurs émergents.
  • Exposition « Mémoire de Beyrouth » – Un regard photographique sur la ville à travers les époques.
  • Concert de Marcel Khalifé – Représentation exceptionnelle au Théâtre al-Madina.
  • Lancement du livre « Liban Plus Grand » – Une rencontre avec l’auteur et des lectures publiques.

Sport : Dynamisme du sport libanais malgré la crise

Le championnat de basket-ball libanais sous les projecteurs

Le championnat de basket-ball libanais a été marqué par des performances remarquables, notamment avec la victoire spectaculaire de l’équipe de Tadamon Harajel face à NSA. Le tournoi de la saison 2024-2025 se poursuit avec une forte affluence malgré les difficultés financières des clubs, qui peinent à obtenir des sponsors en raison de la crise économique persistante​.

Un football en mutation

Le football libanais connaît des évolutions notables cette saison. L’équipe du Racing Beyrouth a décroché une victoire importante contre Al-Borj (1-0) lors de la septième journée du championnat, grâce à un but marqué par Jimmy Kazan sur penalty. Par ailleurs, le Najmeh SC, champion en titre, a battu Tajamo Chabab Baalbek (3-1) avec des buts de Rabi’ Ataya, Kassem Zein et Mehdi Zein​. Cependant, les clubs continuent de faire face à des difficultés financières, ce qui a contraint certains à revoir leurs ambitions sportives.

Célébration des talents sportifs libanais

Lors d’un gala organisé à Casino du Liban, plusieurs figures du sport libanais ont été mises à l’honneur. Parmi elles, la taekwondoïste Leticia Aoun, qui a terminé cinquième aux Jeux Olympiques de Paris, ainsi que des personnalités du basket-ball, dont l’ancien capitaine de l’équipe nationale Nadim Saïd, qui a annoncé sa retraite​.

Perspectives sportives et événements à venir

La scène sportive libanaise s’apprête à accueillir plusieurs compétitions dans les mois à venir. Des tournois de football, de basketball et d’athlétisme sont prévus, notamment une compétition de taekwondo et un tournoi international de tennis de table qui devraient rassembler des athlètes de haut niveau. Le pays espère également renforcer sa présence dans les compétitions internationales malgré les défis logistiques et financiers.

Technologie : Innovation et transformation numérique au Liban

L’essor des startups technologiques libanaises malgré la crise

Malgré un contexte économique difficile, le secteur technologique libanais connaît un essor notable, notamment grâce aux startups spécialisées en intelligence artificielle et en solutions numériques. Selon Al Akhbar (27 février 2025), plusieurs jeunes entrepreneurs ont réussi à lever des fonds auprès d’investisseurs internationaux, notamment dans les domaines de la fintech, de la cybersécurité et de l’IA appliquée​.

Des initiatives telles que Beirut Digital District (BDD) continuent de soutenir l’écosystème des startups, malgré la fuite des talents. Al 3arabi Al Jadid (27 février 2025) souligne que plusieurs entreprises locales développent des solutions d’IA adaptées aux besoins du marché libanais, notamment dans les services financiers et la gestion des données​.

Intelligence artificielle et cybersécurité : des enjeux majeurs

L’intelligence artificielle prend une place croissante dans l’économie libanaise, avec une attention particulière portée à la reconnaissance faciale et aux systèmes automatisés. Toutefois, ces avancées soulèvent des questions éthiques et sécuritaires. Un rapport récent met en garde contre l’utilisation de l’IA pour la surveillance et le contrôle des populations​.

Par ailleurs, les menaces de cyberattaques se multiplient, poussant les entreprises libanaises à renforcer leur protection des données. Selon Nahar (27 février 2025), plusieurs institutions financières et gouvernementales ont investi dans des solutions avancées de cybersécurité pour éviter les fuites d’informations sensibles​.

La participation du Liban au Web Summit Qatar 2025

Le Liban a été représenté lors du Web Summit Qatar 2025, où plusieurs startups libanaises ont présenté leurs innovations. Al Sharq Al Awsat (27 février 2025) rapporte que les entreprises libanaises ont mis en avant leurs solutions technologiques dans les domaines de la fintech et de la santé numérique, attirant l’intérêt d’investisseurs étrangers​.

Selon les experts présents, le Liban possède un potentiel technologique important, mais manque d’infrastructures solides et de soutien gouvernemental pour assurer un développement durable du secteur numérique.

Les défis de la transformation numérique au Liban

Si le pays possède un écosystème dynamique, l’accès à Internet reste limité dans certaines régions, ce qui freine l’adoption des nouvelles technologiesAl 3arabi Al Jadid (27 février 2025) indique que les autorités travaillent sur des projets d’extension du réseau haut débit, mais que ces initiatives peinent à voir le jour en raison du manque de financements et de coordination politique​.

People : Actualité des célébrités et personnalités libanaises

Retour de Jessica Azar au Liban après un séjour aux États-Unis

La journaliste et animatrice Jessica Azar est de retour au Liban après plusieurs mois passés aux États-Unis, où elle a donné naissance à sa fille, Shahe. Elle a partagé des photos de son retour et de la fête organisée en l’honneur de sa fille à Beyrouth, soulignant son attachement à son pays natal malgré son long séjour à l’étranger​.

« Dr Food » impliqué dans une affaire de drogue

L’influenceur gastronomique libanais Georges Hanna Dib, plus connu sous le pseudonyme de Dr Food, fait face à des accusations de trafic et de fabrication de stupéfiants. L’affaire a été portée devant la justice, et il devra comparaître devant la Cour criminelle du Mont-Liban. Cette affaire a provoqué un vif débat sur le rôle des influenceurs et leur impact sur la société libanaise​.

Un acteur libanais aux côtés de Yasmine Sabri dans une série égyptienne

L’acteur libanais Nicolas Mouawad joue un rôle majeur dans la nouvelle série égyptienne « Zill Hayta », où il incarne un personnage manipulateur tentant de contrôler la protagoniste interprétée par Yasmine Sabri. Ce projet marque une avancée importante pour l’acteur libanais sur la scène télévisuelle arabe​.

Le gala annuel des stars libanaises au Casino du Liban

Le Casino du Liban a accueilli un grand gala rassemblant des célébrités du monde artistique et sportif. Parmi les invités d’honneur figuraient des musiciens, des acteurs et des athlètes renommés. Cet événement a mis en avant les talents libanais et leur influence sur la scène internationale​.

Hiba Nour se lance dans l’haltérophilie

L’actrice Hiba Nour a récemment surpris ses fans en partageant des vidéos de ses entraînements d’haltérophilie, un sport dans lequel elle semble vouloir se spécialiser. Cette annonce a suscité des réactions enthousiastes, notamment parmi ses abonnés qui la félicitent pour son engagement sportif​.

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