Le quotidien An Nahar a révélé que le taux de chômage touchant la population libanaise atteindrait 40% de la population active alors que 2 millions de libanais environ vivraient désormais sous le seuil de pauvreté.

Ainsi, 300 000 travailleurs libanais seraient actuellement au chômage.

785 restaurants auraient fermé leurs portes depuis septembre 2019, ce qui aurait abouti à la mise au chômage de 25 000 personnes. Rien que pour la ville de Saïda, au Sud Liban, 120 entreprises auraient baissé leurs rideaux.

Le Liban s’installerait dans la crise, avec des entreprises qui prennent désormais des dispositions. Ainsi, selon, le quotidien, les bijoutiers quitteraient les Malls pour des boutiques plus modestes, d’autres auraient transféré les marchandises auprès des fabricants étrangers.

Toujours selon le An Nahar, nombreuses sont les entreprises qui ont réduit de moitié les salaires alors qu’un contrôle des capitaux – illégal selon le journal – pourrait ne pas empêcher la mise en place d’une procédure de décote des dépôts bancaires.

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