Suite à une réunion extraordinaire et urgente de son Conseil d’Administration, le RDCL a considéré que le Liban ne peut pas se permettre, d’un point de vue déontologique, en termes de réputation et de conformité internationale, d’avoir le gouverneur de la Banque Centrale sous mandat d’arrêt.

Par conséquent, il est impératif que les autorités étatiques compétentes prennent immédiatement toutes les mesures nécessaires pour faire face à cette situation exceptionnelle et dangereuse, qui met en péril l’intérêt supérieur de notre nation.

Il est essentiel de nommer un nouveau gouverneur de la Banque Centrale afin d’ouvrir la voie à une plus grande transparence, à une meilleure gouvernance et à une politique monétaire saine, et ce, afin de restaurer la confiance et de parvenir à un accord avec le Fonds Monétaire International.

Cela permettrait de protéger les Libanais et le secteur privé légal des conséquences et des répercussions potentielles que ce mandat d’arrêt pourrait engendrer. Il est également urgent et primordial d’élire un président de la République et de rétablir le fonctionnement de nos institutions nationales. Le temps presse!

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