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69 % de la population libanaise utilise les réseaux sociaux en 2024
#SOCIETE: En 2024, 69 % de la population libanaise utilise les réseaux sociaux, soit 4,2 millions de personnes. L’accès mobile représente 96,5 % des usages. Facebook reste la plateforme dominante, suivie d’Instagram et TikTok. Les utilisateurs actifs passent en moyenne 2 heures 18 minutes par jour connectés. Les campagnes publicitaires atteignent plus de 3 millions de profils. La progression du taux de pénétration se poursuit malgré des inégalités régionales en matière d’accès à la 4G.
Le Liban classé 41ᵉ mondial et 3ᵉ arabe en liberté sur Internet selon Freedom...
Le Liban est classé 41ᵉ mondial et 3ᵉ arabe en liberté sur Internet par le rapport Freedom House 2024, avec un score de 50/100. Le pays combine un accès relativement libre au web avec des pratiques croissantes de surveillance, de pressions judiciaires et d’intimidation numérique. L’absence de loi sur la protection des données et l’augmentation des poursuites pour diffamation compromettent la liberté d’expression en ligne dans un environnement déjà marqué par la méfiance institutionnelle.
Réseaux sociaux : la nouvelle voix de l’opinion publique libanaise
#SOCIETE: 72 % des Libanais s’informent via les réseaux sociaux, où Twitter et TikTok servent à dénoncer la corruption et mobiliser l’opinion, selon une étude. Face à la méfiance envers les médias traditionnels, ces plateformes redéfinissent la politique au Liban. Mais elles posent des défis : désinformation et manipulation menacent une société polarisée, où la vérité devient floue dans un pays en crise.
Les fake news et la manipulation de l’opinion publique au Liban
La prolifération des fake news et de la désinformation est devenue un enjeu majeur au Liban, où l'instabilité politique et la crise économique favorisent la diffusion massive d’informations non...
Lumière Noire : Une idéologie politique et son influence aux États-Unis et dans les...
#CHRONIQUE: Trump, inspiré par la 'Lumière noire' ? Dérégulation économique, pouvoir concentré, soutien des élites technocrates : ses choix redessinent le monde. Rejetant la démocratie, cette vision impose une hégémonie libérale globale. Jusqu’où ira cette idéologie ? Une réflexion s’impose sur son impact planétaire et économique.
Réseaux sociaux et fausses nouvelles : une crise mondiale de l’information en 2025
#INTOX: les réseaux sociaux amplifient une crise mondiale de l’information, propageant des fausses nouvelles à une échelle inédite. De X à TikTok, algorithmes et influenceurs diffusent rumeurs et complots, comme une « attaque chimique » au Yémen vue 12 millions de fois. États, extrémistes et entreprises lucratives alimentent cette infodémie, érodant la confiance dans les médias et institutions. Malgré les efforts de modération et le DSA, la désinformation menace démocratie et stabilité globale.
Algorithmes et polarisation : qui contrôle ce que nous lisons en 2025 ?
#SOCIETE: les algorithmes des réseaux sociaux comme X et TikTok amplifient la polarisation en privilégiant des contenus émotionnels et clivants, créant des bulles de filtre. Contrôlés par des géants technologiques avides d’engagement, influencés par des pressions politiques, ils façonnent ce que nous lisons, exacerbant divisions et désinformation. Malgré le DSA européen et des initiatives citoyennes, leur opacité et leur puissance persistent, posant la question : qui détient vraiment le pouvoir sur l’information ?
Comment les influenceurs redéfinissent l’information au Liban ?
Le journalisme libanais connaît une révolution avec l’essor des influenceurs et des plateformes numériques. Grâce à Instagram, TikTok et Twitter, des créateurs de contenu imposent une nouvelle manière de consommer l’information, plus rapide et interactive. En contournant les médias traditionnels, ils influencent l’opinion publique et le débat politique, mais soulèvent aussi des défis liés à la viabilité financière et à la régulation de l’information. Entre opportunités et risques, le journalisme numérique pourrait redéfinir l’avenir de l’information au Liban.
Le trumpisme est-il une maladie de l’Occident ou une folie ?
#OPINION: Le Trumpisme est un phénomène politique et culturel qui reflète un profond malaise dans les démocraties occidentales. Né de la mondialisation, des inégalités économiques, de la crise démocratique et des clivages idéologiques exacerbés, il défie ouvertement les institutions traditionnelles. Sa montée s’accompagne d’une fragmentation sociale et d'une remise en question des valeurs démocratiques libérales, menaçant ainsi la stabilité politique et sociale tout en inspirant d’autres mouvements populistes et autoritaires à travers le monde.
Quand les délires de la politique étrangère de Trump mènent au boycott des produits...
#Perspective: En ce 3 mars 2025, une vague de défiance envers les produits américains s’intensifie à travers le Canada, l’Europe et le Moyen-Orient, portée par des tensions géopolitiques exacerbées par le retour de Donald Trump. Ce boycott, amplifié par la guerre commerciale, l’annexion proposée du Canada, le désengagement en Ukraine et le soutien à Israël, perturbe le commerce mondial et interroge l’impact sur le PIB des États-Unis et des pays boycotteurs, révélant les limites de la stratégie transactionnelle de Trump.
Chronique: La vérité, un idéal à double tranchant
#Chronique: Les réseaux sociaux orchestrent une manipulation chirurgicale, attisant peurs et rancunes. Trump ressurgit en 2024 via des récits bidons sur X et TikTok. En France, le Rassemblement National, et en Allemagne, l’AfD, surfent sur des posts accusant migrants ou élites. Pseudo-journalistes vomissent des fake news pour la haine : un blogueur invente des villages brûlés, des trolls se prenant pour des cadors – mais simples bas de gamme – sèment des mensonges, dopant les extrêmes.
De Twitter à TikTok : comment les réseaux sociaux façonnent la politique libanaise
Les réseaux sociaux jouent un rôle clé dans la formation de l’opinion politique au Liban, en devenant des outils de mobilisation et de débat public, mais aussi des espaces de désinformation et de polarisation. Influenceurs, activistes et journalistes digitaux s’imposent comme de nouvelles figures politiques, défiant les médias traditionnels. Toutefois, la régulation des contenus et l’éducation aux médias restent des défis majeurs, qui détermineront l’impact futur des plateformes numériques sur la démocratie libanaise.
Pourquoi les médias traditionnels libanais n’arrivent plus à attirer le public ?
Les médias traditionnels libanais font face à une crise sans précédent, entre effondrement économique, concurrence des plateformes numériques et perte de crédibilité. Avec la montée des réseaux sociaux et des médias indépendants, les chaînes de télévision et journaux historiques peinent à s’adapter aux nouvelles habitudes de consommation de l’information. Certains tentent une transition numérique, mais leur modèle économique reste fragile. L’avenir du journalisme libanais repose désormais sur sa capacité à innover et à trouver des financements durables.
FocusLiban: L’explosion des réseaux sociaux, une transformation numérique en marche
Le Liban connaît une transformation numérique majeure avec un taux de pénétration d'Internet de 85,6 % et une adoption massive des réseaux sociaux. YouTube, TikTok et Facebook dominent un paysage numérique en pleine mutation, mais des défis subsistent en matière d'infrastructures et de monétisation.