Tag: Ghada Aoun
Signature du partenariat entre Villepreux et Aazour
La signature du #partenariat entre Villepreux (France) et Aazour (Liban) a eu lieu le 29 mars 2025 : une journée franco-libanaise placée sous le signe de la fraternité, la convivialité et l’amitié, organisée par l’association « Les Libanais en Yvelines », présidée par Joe Abinader.
Ghada Aoun: la levée du secret bancaire, clé de la réforme financière au Liban
#BANQUES: Ghada Aoun a salué sur X les propos de Nawaf Salam, qui voit dans la levée du secret bancaire une clé pour la réforme financière au Liban. Soulignant son combat pour cette cause, elle propose des mesures radicales, comme la liquidation des banques récalcitrantes, pour assainir un secteur en crise. Face à un système judiciaire et bancaire résistants, cette convergence offre un espoir fragile de transparence et de justice.
Dossier: Le chaos judiciaire libanais, quand la corruption paralyse la justice
#Corruption: Le système judiciaire libanais, paralysé par la corruption, bloque les enquêtes sur les fraudes bancaires et l’explosion du port de Beyrouth. Tarek Bitar et Ghada Aoun, retirée le 1er mars 2025, ont défié les partis confessionnels qui dictent la loi. Les pressions internationales, de l’ONU au FMI exigeant des réformes judiciaires, peinent à briser l’impunité. Dans un Liban en crise économique, cette paralysie menace tout espoir de redressement.
Ghada Aoun remplacée : un tournant judiciaire au Liban
#JUSTICE: Sami Sader a succédé par intérim à Ghada Aoun au parquet du Mont-Liban le 3 mars 2025, après des tensions sur ses enquêtes anticorruption contre des figures comme Riad Salamé. Connue pour sa fermeté, Aoun était critiquée pour sa gestion controversée. Sader, avocat général, a pris ce poste dans un climat judiciaire tendu, alors que le Liban fait face à une crise économique et bancaire majeure.
Ghada Aoun : Une magistrate controversée tire sa révérence après un parcours tumultueux
Le 1er mars 2025, Ghada Aoun, procureure générale du Mont-Liban, prend sa retraite après quarante ans de combats judiciaires. Figure controversée, elle s’attaque à Riad Salamé, Najib Mikati, Qard el-Hassan et aux banques, défiant corruption et impunité. Soutenue par la France, les États-Unis et des ONG, elle fait face aux coups bas de Hariri, Mikati et Berri. Alors que le FMI exige des réformes judiciaires, son action, souvent bloquée, révèle l’urgence d’une justice indépendante au Liban.
Revue de presse du 21/02/25: dans l’attente des funérailles de Nasrallah
Le Liban traverse une crise multidimensionnelle marquée par un effondrement économique, des blocages politiques et une montée des tensions sociales. La livre libanaise continue de se déprécier tandis que la pauvreté atteint des niveaux records. L’explosion du port reste impunie, et la justice, entravée par l’ingérence politique, peine à avancer. Malgré tout, le pays montre des signes de résilience, notamment à travers son secteur technologique et culturel, qui tentent de survivre face à l’adversité.
Ghada Aoun : Une magistrate sous pression dans la lutte contre la corruption
La juge Ghada Aoun, figure clé de la lutte contre la corruption au Liban, fait face à des pressions croissantes. Connue pour ses enquêtes sur les crimes financiers, notamment les transferts bancaires frauduleux, elle se heurte aux interventions politiques et judiciaires qui tentent de limiter son action. Alors que le Liban s’enfonce dans la crise, son travail soulève des questions cruciales sur l’indépendance de la justice et la possibilité d’une réelle réforme du système.
La juge Ghada Aoun relance le processus judiciaire dans l’affaire Optimum
La juge Ghada Aoun a relancé l’affaire Optimum, un scandale financier majeur, en inculpant plusieurs figures bancaires, dont Riad Salamé. Cette reprise intervient alors que le Premier ministre Nawaf Salam plaide pour une réforme judiciaire et que le juge Tarek Bitar a rouvert les enquêtes sur l’explosion du port de Beyrouth. Ces dossiers marquent un tournant pour la justice libanaise, qui tente de briser l’impunité et de restaurer la confiance des citoyens dans les institutions.
Nouvelle polémique autour du gouverneur par intérim de la Banque du Liban, Wassim Mansouri
Le procureur général près la Cour de cassation par intérim, le juge Jamal al-Hajjar, a publié un communiqué confirmant qu’il avait demandé au juge d'instruction de première instance du Mont-Liban, Nicolas Mansour, de lui transmettre le dossier d'accusation contre le gouverneur par intérim de la Banque du Liban, Wassim Mansouri. Celui-ci est actuellement donné comme favori comme prochain ministre des finances pour le camp du président de la chambre Nabih Berri. Cette affaire, initiée par la procureure Ghada Aoun, soulève de nouvelles interrogations sur les tensions au sein de la justice libanaise et la gestion des affaires publiques.
Ghada Aoun dénonce la manipulation de la justice dans l’affaire Riad Salamé
À travers ses interventions, Ghada Aoun met en lumière un système judiciaire qui semble embourbé dans des luttes de pouvoir internes. Le rôle de la justice libanaise est de plus en plus remis en question, notamment dans sa capacité à résister aux pressions politiques. Aoun déplore que les réformes nécessaires pour rendre le système judiciaire plus transparent et efficace ne soient pas mises en œuvre, et qu’au contraire, des personnalités influentes continuent de s’y opposer pour préserver leur position et leurs intérêts financiers.
Fioul Algérien et Scandale Sonatrach : Un Jeu de Pouvoirs et de corruption au...
En 2005, un contrat est signé entre Sonatrach et le Liban pour fournir du fioul. Cependant, en 2020, le scandale éclate lorsque des cargaisons de fioul de mauvaise qualité sont livrées, provoquant des coupures d’électricité massives. À la tête de l'enquête, la procureure du Mont Liban, la juge Ghada Aoun, joue un rôle clé en poursuivant les responsables impliqués. Des personnalités influentes sont rapidement mises en cause pour corruption, incluant des fonctionnaires libanais et des entreprises privées comme ZR Energy, accusées de falsifier les résultats des tests de qualité.En 2024, le Liban s’est tourné vers l’Algérie pour garantir son approvisionnement en fioul, suite à l’échec de l’accord avec l’Irak. Mais derrière cette nouvelle entente se cache une histoire complexe mêlant scandale de corruption, défaillances institutionnelles et stratégies politiques.
اصدر المرصد الأوروبي للنزاهة في لبنان البيان التالي
أشار المرصد الأوروبي للنزاهة في لبنان في بيان نشره على حسابه الخاص على منصة "اكس" الى أنه في أسبوع واحد، أكدت ثلاثة أعمال رئيسية...
وزّع المرصد الأوروبي للنزاهة في لبنان ملفاً كاملاً على المسؤولين السياسييين ورجال الصحافة في...
وجه المرصد الاوروبي للنزاهة في لبنان رسالة، نشرها على حسابه الخاص على منصة "أكس" تطرق فيها الى قضية القاضية اللبنانية غادة عون التي تمثل...
Une juge libanaise démise de ses fonctions porte de nouvelles accusations contre Riad Salamé,...
Ghada Aoun a été licenciée de son bureau le 4 mai, mais reste en poste dans l'attente d'une décision finaleLa procureure général du Mont-Liban,...