Tag: Ministère des finances
Le déficit commercial du Liban dépasse 6,7 milliards USD en cinq mois : une...
Le déficit commercial du Liban s’est creusé de 15 % à 6,7 milliards USD sur les cinq premiers mois de 2025. Les importations repartent à la hausse tandis que les exportations stagnent. L’économie reste dépendante des biens étrangers, sans substitution industrielle ni politique commerciale cohérente. Cette situation pèse sur la balance des paiements et aggrave la vulnérabilité externe du pays, dans un contexte de réserves de change limitées.
Crise de courant au sommet : duel budgétaire entre Énergie et Finances
La querelle entre les ministères de l’Énergie et des Finances paralyse le plan d’urgence électrique. L’un défend la priorité aux métropoles, l’autre exige une répartition selon les recettes douanières. Ce blocage retarde l’arrivée du carburant, paralyse les centrales et menace les hôpitaux. Faute d’accord, les coupures se généralisent. Le Premier ministre tente une médiation, sans succès. Le risque d’une panne nationale totale à l’horizon août grandit.
Casino du Liban : argent sale, pouvoir et silences d’État
Le dossier du Casino du Liban ressurgit au cœur de l’actualité judiciaire. Une série de révélations pointent des opérations suspectes liées à la plateforme de jeux en ligne OSS, soupçonnée de blanchiment d’argent à grande échelle. Des plaintes, des connexions politiques, et l’absence de contrôle du ministère des Finances relancent les interrogations sur les responsabilités institutionnelles. Cette affaire complexe mêle finances occultes, conflits d’intérêts, et silences stratégiques dans l’un des établissements les plus sensibles du pays.
Dépenses sans contrôle et budget bloqué : une gouvernance sous tension
Le budget rectificatif libanais reste bloqué, faute de quorum au Parlement. En réponse, l’exécutif multiplie les décrets exceptionnels pour financer les dépenses urgentes, suscitant des accusations de dérive autoritaire. Cette situation alarme les bailleurs de fonds, qui conditionnent leur soutien à une gouvernance transparente. Les conséquences sociales s’intensifient, les services publics étant pris en étau entre pénurie de ressources et absence de cadre légal.
Chute des recettes, explosion des dépenses : le déficit libanais dépasse 11 % au...
Le déficit budgétaire du Liban a atteint 11,2 % au premier trimestre 2025, selon un rapport interne du ministère des Finances. En cause : la baisse des recettes fiscales, l’augmentation des dépenses énergétiques et l’absence de réformes. Ce niveau dépasse largement les engagements pris avec le FMI, menaçant le versement d’une nouvelle tranche d’aides. Le gouvernement est sous pression pour adopter des lois fiscales et rétablir la transparence budgétaire.
Les recettes douanières du Liban atteignent un record de 196,3 millions USD au T1...
Les recettes douanières du Liban ont atteint 17 569,2 milliards LBP au T1 2025, soit 196,3 millions USD, en hausse de 163,6 % par rapport à 2024. Cette progression historique s'explique par l’unification du taux de change à 89 500 LBP/USD. La TVA à l’importation constitue plus de 60 % des recettes. Bien qu’encourageant, ce rebond reste en grande partie nominal, sans réelle reprise des volumes d’importation, et soulève des questions sur la durabilité du modèle fiscal.
Le déficit commercial du Liban chute de 44,6 % en 2024 pour s’établir à...
#ECO: Le déficit commercial du Liban a chuté de 44,6 % en 2024, atteignant 7,8 milliards de dollars selon les données officielles. Cette baisse résulte d'une forte contraction des importations (-36 %) combinée à une stabilité des exportations. Les produits agroalimentaires et les bijoux restent les principales exportations. Bien que cette évolution améliore temporairement les comptes extérieurs, elle reflète avant tout une chute de la consommation intérieure.
En 2025, la TVA représente plus de 50 % des recettes fiscales du Liban
En 2025, la TVA représente plus de 50 % des recettes fiscales du Liban, selon le budget officiel. Cette concentration révèle une dépendance à l’imposition indirecte, socialement régressive, qui pénalise les ménages modestes. L’impôt sur le revenu reste faible malgré une hausse prévue de 135 %. Cette structure fragilise la soutenabilité budgétaire en cas de choc sur la consommation. Des réformes sont nécessaires pour rééquilibrer le système fiscal et renforcer son équité.
La fiscalité des revenus fonciers au Liban : nouvelles mesures annoncées par le ministère...
Le ministère des Finances a annoncé une réforme de la fiscalité des revenus fonciers, avec un impôt progressif allant de 4 % à 14 %. Les propriétaires occupants bénéficient d’une exonération de 363 millions de LP, tandis que les bailleurs sont soumis à des contrôles renforcés. Cette réforme vise à optimiser la collecte fiscale et s’inscrit dans les recommandations du FMI. Toutefois, elle pourrait entraîner une hausse des loyers et affecter la rentabilité locative.
Nabih Berri sur la crise libanaise : « Nous devons former un gouvernement, mais pas...
La crise gouvernementale au Liban se prolonge alors que Nabih Berri insiste pour conserver le ministère des Finances, un poste clé pour les réformes exigées par la communauté internationale. Accusé de bloquer les changements nécessaires et de maintenir un système de clientélisme, Berri refuse toute concession. Les tensions politiques entravent la formation du gouvernement, plongeant le pays dans l'incertitude et retardant les négociations cruciales avec le FMI pour une aide économique indispensable.
Formation du gouvernement libanais : une avancée sous influence saoudienne ?
La formation du gouvernement libanais est en phase finale, avec des négociations serrées sur la répartition des ministères. L’Arabie saoudite joue un rôle clé, mais l’attribution du portefeuille des Finances au Hezbollah et à Amal suscite une forte opposition. Un accord pourrait être conclu avant la fin de la semaine, mais le Courant patriotique libre pourrait se retirer du gouvernement. Le Liban est à un tournant politique majeur.
L’interprétation erronée de Nabih Berri sur l’Accord de Taëf et le ministère des finances :un ministère stratégique au service d’intérêts particuliers
Depuis plusieurs années, Nabih Berri, président du Parlement libanais, affirme que l’Accord de Taëf consacre le ministère des Finances comme un portefeuille devant être confié à un ministre chiite. Cette prétention repose, selon lui, sur la nécessité de garantir un regard chiite sur l’exécutif. Cependant, cette interprétation est incorrecte. En réalité, elle masque des intérêts politiques et personnels qui, sous couvert de prérogatives communautaires, freinent la transparence et les réformes essentielles au Liban.
Optimiser l’Administration Libanaise : Une Collaboration Essentielle entre Ressources Humaines et Ministère des Finances
La réforme de l’administration libanaise nécessite une collaboration étroite entre un Human Resource Management modernisé et un ministère des Finances structuré. Cette synergie vise à éliminer le clientélisme, rationaliser les ressources humaines et aligner les budgets sur les priorités nationales. Avec une gestion prudente des fonds publics et des formations adaptées, ces mesures pourraient réduire les gaspillages et restaurer la confiance des citoyens dans leurs institutions. Une administration compétente et transparente deviendrait le moteur d’une renaissance nationale.
Nabih Berri : Une mainmise sur le ministère des finances et les dossiers de...
Nabih Berri, président du Parlement libanais et leader du mouvement Amal, exerce une emprise stratégique sur le ministère des finances, clé dans le système politique libanais. Ce contrôle alimente l’opacité et bloque les enquêtes sur la corruption, paralysant les réformes et exacerbant la crise économique. En freinant toute transparence et en protégeant les intérêts des élites, Berri symbolise les blocages institutionnels qui empêchent le Liban d’avancer vers un avenir où l’État de droit prévaudrait.